Les archiduchesses Gabrielle (Oscar) et Marie Antoinette, sœur jumelle arrivent en en France pour se marier, l’une d’elle doit épouser le dauphin de France mais lors d’un bal masqué, elles tombent sous le charme de deux jeunes nobles dont elles ne connaissent pas le titre, l’un brun aux yeux émeraude, l’autre aux yeux bleu gris….
PROLOGUE :
Décembre 1755, Au palais de Schonnbrün, des crient déchirèrent la nuit, l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche donna naissance à deux merveilleuses petites filles, les archiduchesses Marie-Antoinette et Gabrielle de Habsbourg. Toute la cour vint à la rencontre de ses petites princesses qui éblouissaient déjà de leur beauté. Dernière-née de cette dynastie imposante, elles jouissaient lors de leurs premières années d’une grande liberté en dehors des soirées, des audiences ou des cérémonies qui exigeaient leur présence.
Marie-Antoinette et Gabrielle se plaisait à faire tourner la tête à la cour d’Autriche, elle n’avait que 11 ans mais leur beauté était déjà inégalable, un moindre de leur sourire suffisait à chambouler tout le château, elles prenaient même un malin plaisir à faire tourner la tête de leur professeur en échangeant leur place ou encore en trouvant le moyen de ne pas avoir cours. Cela amusait quelque peu leur mère mais elles étaient trop insouciantes à son goût d’autant qu’elle ne se quittait jamais. Lorsque l’une était blessée ou malade l’autre ressentait la même douleur, et plus que tout elle communiquait par la pensée. Le lien unissant les jumelles était indéfinissable mais il ne pouvait être mis en doute.
Des éclats de rires se faisaient entendre dans les jardins, ils étaient accompagnés d’échos de lame, deux jeunes silhouettes sveltes appartenant à deux jeunes filles d’à peine 14 ans s’affrontaient dans les jardins, les jeunes princesses étaient vêtues d’une de leur nombreuse tenue d’équitation et ferraillaient gaiement sans ce préoccuper d’autre chose, elles avaient oubliées la fête donnée en leur honneur au château, le jeune prodige Mozart venait jouer en leur honneur à la cour d’Autriche.
Gabrielle : Marie serais-tu fatiguée ?
Marie-Antoinette : pas du tout pourquoi dis-tu ça ?
Gabrielle fit voler l’épée de sa sœur et la rattrapa avec la sienne en souriant de façon angélique. On entendit des éclats de voix indignés et deux furies arrivées vers les princesses.
Servantes : VOS ALTESSES !!!!!!!!!!! PAR PITIE CESSEZ SES ENFANTILLAGES AVEZ VOUS OUBLIEE QUE VOUS ETIEZ ATTENDUE A LA COUR !!!!!!!!
Lorsqu’elles voulurent prendre la poudre d’escampette elles furent rattrapées par les servantes qui les soulevèrent et les ramenèrent dans leurs appartements communs ou elles durent se laisser apprêter bien malgré elles. Elles rejoignirent leur mère et leurs frères et sœurs pour la soirée, se tenant la main. La cour les accueillis comme à chaque fois avec admiration, elles représentait dignement la couronne d’Autriche et leur naturelle charmait tout le monde. Assis à son piano, un jeune prodige tomba sous le charme de ses deux petites filles. Il entama ses compositions pour rendre hommage à la beauté de ses jeunes déesses. Il alla ensuite faire la révérence et un baise main aux petites filles avant de saluer le reste de la famille royale, charmée par les jeunes filles d’un an ses aînées, il loua auprès de l’impératrice leur beauté et demanda leur main expressément. Personne dans la cours ne pouvait se prévaloir de leur beauté. Leur mère les appela. Gabrielle et Marie-Antoinette s’avancèrent et firent une révérence dans un parfait ensemble.
L’IMPERATRICE : Mes filles j’ai décidé de vous envoyer en France pour vous y marier… L’une d’entre vous deviendra l’épouse du futur roi de France.
M-A et Gabrielle : L’épouse du dauphin du trône de France !!!!!!!!!!
L’IMPERATRICE : Oui l’une d’entre vous deviendra reine de France et l’autre épousera l’un des frères du dauphin ou un noble de haut titre… Vous partirez dans trois jours pour la France, un cortège venant de France viendra vous chercher et vous escortera là-bas…
On pouvait sentir dans la voix de l’impératrice la douleur et l’inquiétude de se détacher de ses deux petites filles alors qu’elles étaient encore si jeune mais elle était avant tous Impératrice et devait penser à son pays avant tout. Elle avait élevé ses filles afin qu’elles connaissent tout de leur futur tâche mais elles étaient si inséparable et si insouciante avait- elle fait le bon choix.
A suivre…………………
[ VOILA JE REVIENT AVEC UNE NOUVELLE FIC EN ESPERANT QU'ELLE VOUS INTERESSERA ] |