Dans la demeure, si calme on pu entendre une voix forte et militaire , elle appartenait au général de Jarjayes. Le maître de maison c’était un homme froid et fier qui avait fait de sa dernière né un garçon. Etrange que le comportement de cet homme envers cet enfant qu’il chérissait plus que tout.
F J : ANDREEE !!!! DANS MON BUREAU TOUT DE SUITE !!!!!!!!
Lorsque la porte du bureau claqua, on aperçu nos deux amis regarder dans la direction de celle-ci ils étaient perplexe. Il était rare que le général demande André dans son bureau surtout de manière si impromptu. Le jeune homme se posait des questions sur les raisons de cet appel du Général, celui-ci avait-il découvert ce qu’il prouvait pour sa fille ? non c’était impossible se disait-il oscar ne le voyait même pas alors le général encore moins cela ne pouvait. La voix douce d’oscar le sortit de ses pensées.
O J : André ? Que peut-il te vouloir ? c’est sui rare qu’il t’appel ainsi…sans une bonne raison.
L’inquiétude dans la voix de son ami le fit sourire. De la voir s’inquiéter lui faisait penser qu’elle tenait un peu à lui que peut-être elle se faisait du soucis pour lui.
A G : Pour tout te dire ma chère Oscar je n’y entend rien non plus… c’est un mystère mais je pense que j’ai intérêt a vite monté il n’à pas l’air de très bonne humeur.
O J (timidement) : Veux-tu que je… t’accompagne
A G ( souriant) : merci mais ton père s’en prendrais à toi et je ne le veux surtout pas.
O J : D’accord… je t’attends là…
André monta les marches calmement avant de frapper à la porte du bureau du général, lieu craint et sacré de leur enfance à lui et a oscar, c’était un sanctuaire qu’il n’avait jamais franchit sans y être attendu par le général lui-même.
F J : ENTRE MON ENFANT….
André entra et referma la porte doucement derrière lui avant de rejoindre le général qui lui fit signe de s’asseoir en face de lui. Comme à son habitude André était impressionné par le Général même après tant d’année. Oscar n’avais pas bougée, elle tremblais de peur mais pourquoi ? Ce n’était pas la première fois que cette scène arrivait et pourtant elle sentais que quelque chose allait changer, que quelque chose allait des passer et cela l’effrayait même si elle se refusait à l’avouer plus par orgueil qu’autre chose.
1 Heure plus tard, la porte s’ouvrit sur un André plongé dans ses pensé, visiblement c’est entretient l’avais marqué et oscar aurait tout donné pour savoir ce qui s’était dit, aussi s’approcha t elle de son compagnon de toujours. Mais celui-ci ne la vit pas et se retira sans un mot dans sa chambre ce qui blessa profondément la jeune fille même si elle ne l’admettais pas. André bne l’avais jamais ignoré non jamais… Les larmes menaçant de couler elle partis en courant jusqu’au lac de leur enfance lieu de refuge pour se laisser aller. A son retour elle chercha partout son compagnon, allant jusque dans sa chambre mais la trouva vide, inquiète elle l’appela dans la maison.
O J : ANDREEEEEEEEEE ANDRE MAIS OU TE CACHES-TU ?
M G : Tu m’as appelé ma petite Oscar ?
O J : Non grand-mère je cherche André sais-tu ou il se cache ?
La vieille dame pris un air contrit, très contrit.
M G : il est partie ma petite oscar…
O J : PARTIIIIIII Mais ou ?
M G : Il a été demandé par son… oncle… Et je ne serait te dire lorsqu’il rentrera.
O J ( triste) : Je comprends… je vais devoir me passer de lui… quelques temps.
Sur ce Oscar partit dans sa chambre s’enfermer, toute triste à l’idée de ne pas voir son compagnon, de ne pas voir son doux sourire, ses yeux d’u vert émeraude envoûtant… Mais pourquoi donc ce mettait-elle a penser ainsi d’André que lui prenait-il tout d’un coup elle était un homme non ?
A SUIVRE................. |