Auteur : Anita Hits : 6002
Lady Oscar > Lemon/Lime > Une Nuit d'Amour >
Note : cette fanfic est dédiée à tous les fans romantiques de Berubara qui ont attendu patiemment (comme André) ce merveilleux moment dans l’anime < soupirs > (enfin !) ;D

NOTE : Cet fanfic est en anglais et espagnol sur Yue’s chan fanfiction page : En Algún lugar de Arras (http://yuefanworks.bravehost.com/fanficsRV.htm) et sur Yue’s chan Berubara forum (http://berubara.forumfree.net/)

Merci à :
* Lady Charlotte pour m’avoir encouragée à écrire sur ce sujet et pour m’avoir donné ses conseils et ses merveilleuses idées. Elle était la muse.
* Laney pour avoir été si enthousiaste à propos de mes premières idées écrites. Voilà le travail fini ! Merci pour la traduction :D
* Yue (Yanin), Maritza, Soffy, Eliana, Beru (Jany), Shophy et tous les fans de Berubara pour leur amitié et leur soutien.

ATTENTION !!!!!!! :
Il y a beaucoup de descriptions sensuelles/sexuelles dans cette fanfic.
OUI, C’EST UN LEMON, C’EST UN LEMON, CELA PARLE D’UN RAPPORT SEXUEL.
J’ai dû utiliser tout mon imagination « épicée » (et celle d’André ;D) pour écrire sur ce sujet merveilleux, charmant et intime.
Souvenez-vous, c’est la manière dont je voudrais que les choses se passent (croyez-moi, je n’étais pas de l’autre côté de la rivière ;D (merci Yue pour l’expression)).

C’est la première fois que j’écris ce genre de fanfic.
Si vous avez moins de 18 ans ou si vous n’aimez pas ce genre de fic, ne la lisez pas et ne me blâmez pas.
Si vous l’aimez et/ou vous n’avez pas de problème avec ce genre de FF… eh bien, profitez-en ! ;D

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UNE NUIT D’AMOUR

Par Lady Ana (traduit de l’anglais par Laney)

Au milieu de la forêt, près d’une rivière, la lune au plus haut dans le ciel, une belle femme blonde se rapprocha de l’homme qu’elle aimait. Enfin, elle lui avoua ses véritables sentiments pour lui.

« André… André… Je t’aime… Je t’aime » dit Oscar, en pleurant sur la poitrine d’André.

André prit ses mains. Enfin, son Oscar lui donnait le cadeau le plus attendu depuis des années.

« Chère Oscar… Je le savais. Je le savais depuis longtemps. Non, même depuis avant ma naissance » dit André.

Oscar leva la tête et ils se regardèrent dans les yeux l’un de l’autre. Puis ils se rapprochèrent et partagèrent un doux et long baiser.

André l’entoura de ses bras. Son cœur était rempli de joie. Il ressentait une douce chaleur dans chaque fibre de son être.

Oscar avait l’impression de fondre dans les bras puissants d’André et dans son baiser. Elle ne s’était jamais sentie si protégée et aimée. Elle sentait une sensation chaude en elle.

Au bout d’un moment, ils s’éloignèrent un peu l’un de l’autre.

« Mon Oscar adorée » murmura André.

« Mon cher André » chuchota Oscar.

Ils s’embrassèrent de nouveau tendrement. André approfondit son baiser, encouragé par les lèvres douces d’Oscar.
Petit à petit, le baiser devint plus vigoureux et exigeant, jusqu’à ce qu’il devienne vraiment passionné.

André tenait encore mieux Oscar et il commençait à caresser doucement son dos.

« J’aime tellement ça. Mon Dieu ! Je me sens si heureuse et… excitée ?! » Le cœur d’Oscar battait si fort et elle pouvait à peine respirer.

« Je t’aime tant Oscar. Je veux te tenir dans mes bras pour toujours… Oscar… chère Oscar… » pensait André.

André la tenait fermement, comme s’il avait peur qu’Oscar glisse hors de ses bras.

« J’aimerais sentir ta peau… » pensa André.

Puis il déplaça ses lèvres jusqu’à sa joue, en la frôlant d’une infinie tendresse.

« Oh… c’est si délicat » pensa-t-il.

« Ah… c’est si doux » pensa Oscar.

Puis les lèvres d’André commencèrent à se déplacer vers son cou, en lui donnant de doux baisers sur son passage.

« Quel est ce sentiment étrange ? » pensait Oscar.

A présent, André embrassait son cou avec la même passion qu’il avait eue en embrassant ses lèvres. Cela fit légèrement trembler Oscar.

« Ah… » fit Oscar en haletant.

Oscar avait peur car elle sentait un désir brûlant et soudain en elle, lorsque André la toucha à ce moment.

« Je t’aime, Oscar » murmura doucement André, en souhaitant que le temps se fige.

« J’ai l’impression de brûler ! Mon Dieu ! Pourquoi ?! Est-ce à cause de toi, André ? Est-ce ce qu’une femme ressent quand elle est amoureuse ? » se demandait Oscar.

Elle pensa à se dégager pour réfléchir plus posément, mais tout son corps la trahissait.

« Je ne peux pas m’en aller… non, je n’en ai pas la moindre envie… je… j’aime ça… mais pourquoi suis-je aussi si effrayée ? » pensait Oscar.

« Ah, Oscar… Oscar, j’ai… j’ai envie… j’ai envie de toi… Oh, Seigneur ! » pensait André.

André se rendit compte de ce à quoi il pensait, et de ce qu’il faisait. Il cessa d’embrasser Oscar. Il ne savait pas quoi faire, à part poser sa tête sur son épaule et caresser ses cheveux.
Un des deux bougea. André continuait à serrer Oscar dans ses bras, pendant que tous les deux haletaient. L’amour, la passion et le désir qui étaient enfermés dans leur cœur se libérèrent à cet instant.

« Oscar… ma chère Oscar… je voudrais t’aimer en cette belle nuit… » pensait André.

Mais André ne voulait pas la forcer ou la persuader de le faire si elle ne le voulait pas. Il se souvenait parfaitement de ce qui s’était passé quand il avait été dépossédé de ses moyens : il l’avait embrassée violemment, l’avait jetée sur son lit et avait déchiré sa chemise… grâce à Dieu il s’était arrêté à ce moment.

La dernière chose qu’il voulait était que cette situation se répète.
La dernière chose qu’il voulait était d’obtenir ce qu’il désirait le plus d’une manière plus forte.
La dernière chose qu’il voulait était de faire l’amour alors qu’Oscar n’était pas prête.
Pour cette raison, il s’arrêta.

Depuis plusieurs années Oscar avait toujours caché ses sentiments de femme. Elle n’avait pas réalisé que le véritable amour se trouvait près d’elle… ou peut-être n’avait-elle pas voulu le remarquer. Elle avait toujours refoulé ses sentiments parce qu’elle ne savait pas comment leur faire face et cela lui faisait peur.
Mais, pas cette fois. Plus jamais.

A présent, elle avait finalement dit ce qu’elle savait depuis longtemps. Elle ressentait de l’amour pour André, l’homme qui se tenait en face d’elle : il était son plus cher ami et fidèle compagnon.
Mais il était en fait beaucoup plus que ça : il était son âme sœur, il l’avait attendue depuis le jour où ils s’étaient rencontrés.
Elle souhaitait lui montrer à quel point elle l’aimait, donc elle écouta son cœur, son âme, ses sentiments.
Et ses lèvres s’ouvrirent.

« An… André… » dit Oscar.

André la regarda bien en face.

« André… je veux… je veux… » dit Oscar.

André la connaissait très bien, il regarda ses yeux tendres et vit son amour et sa passion. Il sentait, d’instinct, ce qu’elle voulait dire ; mais il sentait aussi sa peur et sa honte, car c’était une toute nouvelle expérience pour elle.

Il avait envie d’entendre ces mots merveilleux qu’il avait rêvés tant de fois dans ses nuits solitaires. Il essaya donc de l’encourager et de lui donner confiance. Il déplaça sa main pour toucher délicatement son visage.

« Oscar… tu veux… tu veux la même chose que moi ? » lui demanda-t-il tendrement en caressant son visage.

Oscar connaissait très bien les sentiments d’André à son égard. Depuis plus de vingt ans, il l’avait protégée et aimée dans son ombre silencieuse. Il lui avait complètement dédié sa vie.
Malgré sa peur, elle savait ce qu’André souhaitait parce qu’elle se sentait comme lui maintenant.

C’était la première fois de sa vie qu’Oscar suivait son âme de femme, elle voulait suivre son cœur, elle voulait suivre ses sentiments. Ses sentiments de femme.
Désormais, il n’y avait plus de barrières, plus de regrets, plus de peurs, plus de honte pour l’arrêter.

« André, tout ce que je veux c’est être avec toi. Je veux te montrer combien je t’aime… » pensa Oscar.

Elle posa sa main sur la sienne, la prit et l’embrassa. André fut surpris de sa réaction. Ensuite, elle le regarda dans les yeux.

« Oui, André… je veux que tu m’aimes… et je veux t’aimer » dit Oscar d’une voix vibrante et déterminée.

« Ma chère Oscar… » murmura André avec passion, et il lui donna un baiser doux sur ses lèvres.

Ils étaient heureux tous les deux.

Oscar le poussa doucement, fit quelques pas en arrière, se retourna et enleva son pistolet et son épée. Elle prit une grande inspiration et enleva ses bottes. Puis, ses mains arrivèrent à son écharpe.

André la regardait tendrement. C’était bien sa courageuse Oscar, rien ne pouvait l’arrêtait quand elle prenait une décision. C’était une des choses pour lesquelles il l’admirait et l’aimait.
Il recula d’un pas et commença à enlever son uniforme également, pendant qu’il la regardait.

Oscar avait décidé d’enlever ses vêtements elle-même parce qu’elle avait pensé que si André l’avait fait, la peur et la honte auraient gâché ce moment. Malgré son courage, elle tremblait car elle savait qu’André était derrière elle, en train d’enlever ses vêtements aussi.

Au bout d’un moment, l’uniforme d’Oscar se retrouva sur le sol. Il ne lui restait que sa chemise. Elle la déboutonna lentement. Finalement, le dernier vêtement qui couvrait le corps d’Oscar tomba par terre.

Oscar était nerveuse et elle avait honte, car c’était la première fois qu’elle se retrouvait nue devant un homme. Elle ne voulait pas se sentir comme ça, parce que cet homme était son cher André, mais elle ne pouvait s’en empêcher. Elle ferma les yeux, croisa ses bras sur sa poitrine et se retourna.

Ils se faisaient face tous les deux, nus.

André n’en croyait pas ses yeux. Son rêve languissant se tenait devant lui : son Oscar était si belle, si parfaite, si tentante, si provocante, plus qu’il n’avait pu l’imaginer.

Oscar ouvrit les yeux. Elle n’avait jamais vu André nu auparavant, et cette vision la stupéfia. Son André était si beau, si fort, si sexy, qu’elle voulait l’embrasser, toucher son corps, sentir ses mains sur sa peau…
Cette dernière pensée la fit rougir, car elle se rendait compte de la dimension de son propre désir pour André.

« André, je n’ai jamais imaginé à quel point tu étais attirant. Tu sembles aussi parfait qu’un Dieu grec » pensa Oscar.

Soudain, une autre pensée se forma dans l’esprit d’Oscar.

« Est-ce que tu me trouverais belle ? Tu ne me l’as jamais dit. Je suppose que oui… mais j’aimerais l’entendre… je ne sais pas pourquoi… » pensa Oscar.

Comme si André avait pu lire dans ses pensées, il s’avança lentement vers Oscar. Il la regarda dans les yeux et caressa délicatement son visage.

« Oscar, tu es vraiment très belle, si parfaite. Enfin, j’ai pu te dire ce que j’ai toujours pensé et voulu te dire » dit André.

Oscar sourit timidement, heureuse de ses mots.

« Ta peau est si douce » dit André.

André voulait la mettre en confiance, donc il la serra dans ses bras seulement, en plaçant doucement sa tête sur son épaule.

Oscar était toute rouge de sentir la peau d’André près de sa joue, et de sentir son parfum masculin.
Elle se rendit compte qu’André voulait la mettre à l’aise d’abord.
Elle se rendit compte qu’il avait toujours pensé à ses sentiments à elle, avant les siens.
Ce geste tendre détendit Oscar petit à petit.
Elle se sentait aimée, elle voulait le toucher aussi, donc elle posa ses mains sur la poitrine d’André.

André était heureux de sentir ses doigts hésitants sur sa poitrine, la douce pression de son corps, le parfum de ses cheveux…

Au bout d’un moment, les mains d’André commencèrent à caresser lentement son dos. Un frisson soudain parcourut le corps d’Oscar.
Tous deux pouvaient entendre leur cœur battre à toute vitesse. Puis ils s’embrassèrent tendrement.

« André Grandier, quand tu es avec moi, j’ai envie de vivre… j’ai envie de vivre » pensait Oscar. « Je veux vivre pour toi… avec toi… je t’aime »

« Je t’aime tant, mon Oscar » pensait André.

Quelques instants plus tard, les lèvres d’André touchèrent son cou, et l’embrassèrent jusqu’à la nuque.
Oscar haleta. Ses mains commencèrent à caresser doucement la poitrine d’André.

« Je t’aime » murmura André.

A présent, les mains d’André touchaient légèrement ses fesses, car il n’était pas sûr qu’Oscar voulait ce genre de caresse trop tôt. Mais cela eut pour effet de faire gémir Oscar.

Cette réponse électrifia André qui toucha le bas de son dos plus fermement.
Oscar se cramponna au cou d’André, ses seins touchant sa poitrine.

« Je t’aime, André » murmura Oscar.

Ils se regardèrent de nouveau, et leur lèvres se rejoignirent en un baiser intense.

Au bout d’un moment, ils s’allongèrent sur le sol.

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Oscar regardait André dans tout son aspect, il était si masculin : son corps était bien formé, son beau visage montrait sa tendresse et sa passion pour elle, et ses yeux rayonnaient comme des étoiles avec la même émotion.

« André, comment ai-je pu être aveugle si longtemps ? Je te promets de ne plus te faire attendre désormais, mon amour » pensait Oscar.

André regardait Oscar dans toute sa beauté, chaque partie d’elle était parfaite : sa peau crémeuse était éclairée par la lune, ses cheveux dorés s’éparpillaient joliment sur l’herbe, et ses yeux magnifiques brillaient de la lumière de l’amour.

André caressa doucement son visage.

« Tu es si merveilleuse » dit André.

« Pas plus que toi » dit Oscar.

André se rapprocha d’elle, et il l’embrassa.

André aimait sentir ses lèvres douces. Il pouvait parier qu’Oscar aimait aussi les siennes car elle l’embrassa avec encore plus d’intensité.
Au bout d’un moment, les lèvres d’André embrassaient son cou pendant que sa main caressait doucement son cœur.

Oscar haletait en sentant ses lèvres et sa main sur sa peau, qui la touchaient délicatement. Sans s’en rendre compte, elle posa ses mains sur ses épaules.

Cette réponse rendit André fou, il faisait un grand effort pour contrôler sa passion. Il voulait lui faire plaisir de toutes les manières possibles, il voulait faire de cette nuit d’amour le moment le plus beau et merveilleux pour elle. Il décida d’aller plus loin petit à petit, ses lèvres descendirent donc et frôlèrent ses seins.

Oscar gémit de plaisir sous son contact. Elle le fit continuer ce qu’il faisait, parce que c’était si bon, si merveilleux.
Puis André les embrassa doucement, en traçant leurs contours avec sa bouche et sa langue.

Oscar ne savait pas quoi faire, mais il semblait que son corps répondait naturellement. Ses mains se déplacèrent pour caresser les cheveux noirs d’André, en voulant le sentir encore plus.

André était heureux qu’elle aime ça, ses mains arrivèrent donc à ses cuisses et commencèrent à les caresser. Il avait décidé d’aller un peu plus loin, il se mit alors à la caresser délicatement entre ses jambes, sentant sa chair chaude et douce.

Oscar aimait beaucoup cette sensation. Elle savourait son toucher doux dans cette partie cachée de son corps. Elle gémissait un peu plus fort. Elle ne savait pas pourquoi elle réagissait comme ça, mais c’était son corps qui lui donnait ces réponses. C’était si merveilleux, elle n’avait jamais rien ressenti comparé à l’amour et aux caresses qu’André lui donnait.

André était plus excité, il appréciait beaucoup la réaction de sa bien-aimée. Il sourit de plaisir.

Il voulait lui faire plaisir de toutes les manières possibles.
Et à ce moment, il pensa à faire une « chose inhabituelle » qu’il avait entendu dans des conversations de soldats des Gardes Françaises. C’était vraiment une « chose osée » qui donnait beaucoup de plaisir à une femme…, enfin c’était ce qu’ils disaient.
Il ne savait pas si c’était vrai parce qu’il ne l’avait jamais faite avant. Il la considérait comme un geste très intime et maintenant, il se sentait excité par l’idée et il était prêt à la faire avec Oscar, mais il devait le faire petit à petit pour ne pas effrayer Oscar.
Il se demandait comment elle allait réagir. Il espérait qu’elle ne le giflerait pas.

Tout d’abord, les lèvres d’André frôlèrent son ventre, arrivèrent aux cuisses d’Oscar, qu’il embrassa doucement.
Oscar sentit un nouveau frisson qui la fit trembler. Elle gémit plus fort et laissa André continuer avec sa nouvelle caresse.

André était fasciné par cette nouvelle « sensation » et aussi par les gémissements d’Oscar.
Puis André déplaça ses lèvres jusqu’à l’endroit où elle gardait l’essence de son être, en l’embrassant doucement. Ce geste fit qu’Oscar cria de surprise, et elle s’assit presque.

« Ah… André ! »

D’instinct, Oscar essaya de rapprocher ses jambes, mais André les gardait doucement ouvertes.
Elle ne savait plus quoi faire ni comment réagir : le repousser pour être si effronté, lui crier dessus parce qu’il était audacieux, le…

Mais le fait de voir les cheveux noirs d’André sur son ventre, ses mains touchant ses cuisses, ses lèvres caressant cette partie intime de son corps, la rendit encore plus excitée et elle ouvrit ses jambes davantage.
Elle était de nouveau étendue sur le sol et elle gémissait toujours, elle voulait encore de cette surprise « inattendue ».

« André… hmmm… continue… oh… » murmura-t-elle doucement.

André crut ce qu’il entendit. Oscar l’appréciait vraiment, celui lui donnait beaucoup de plaisir, et à lui aussi. Et il voulait compléter l’ordre de son Oscar bien-aimée.
Enfin, son feu s’était complètement libéré, et ses mains se mirent à masser fermement les seins d’Oscar ; et il embrassa l’essence de sa rose d’une manière plus exigeante.
Oscar haleta encore plus fort.

« Mon Dieu ! André, c’est si merveilleux » pensa Oscar.
Son corps répondait naturellement, elle posait ses mains sur les siennes, son dos cambré, ses gémissements accentués…

Elle avait l’impression que de l’électricité parcourait son corps, depuis sa tête jusqu’à ses pieds. André le ressentit et prit ses mains dans les siennes.
Oscar n’en pouvait plus, elle s’abandonna à cette sensation, elle tremblait et criait son nom.

André était si heureux de la rendre comme ça. Il posa sa tête sur son ventre, sentant sa peau chaude. Il attendait que les halètements d’Oscar diminuent.

Oscar se sentait… elle ne savait pas comment elle se sentait. Elle n’avait jamais fait aucune expérience de ce genre. Elle était heureuse d’être aimée d’André de cette manière merveilleuse, douce et charmante.

André se déplaça lentement jusqu’à son visage. Il caressa ses joues.

« Je t’aime André » murmura Oscar, le souffle coupé.

André sourit et lui donna des baisers doux sur ses lèvres, ses joues, ses yeux. Puis, doucement, ses lèvres atteignirent ses seins, goûtant les bouts qui étaient complètement dressés après avoir reçu ses caresses merveilleuses.
La sensation de sa langue touchant ses seins fit haleter Oscar de nouveau, et elle l’étreignit.
André sourit et continua à goûter sa poitrine.

Peu après, Oscar sentit une grande chaleur en elle. Elle voulait toucher André avec la même intensité qu’il avait eue plus tôt. Elle prit son visage à deux mains et embrassa passionnément ses lèvres, tout en caressant son dos.
André gémit légèrement. Puis, Oscar embrassa son cou, ce qui fit gémir André plus fort.

« Oscar… » murmura-t-il.

À présent, tous deux brûlaient d’un amour, d’une passion et d’un désir complets. Ils se regardèrent et eurent la merveilleuse envie de ne faire plus qu’un. Le moment était arrivé.
Les mains d’André glissèrent jusqu’à ses cuisses et les ouvrit encore plus. Il étreignit Oscar, la regarda dans les yeux et commença à se presser contre elle délicatement, en contrôlant le feu immense qu’il ressentait à ce moment.

Dans un mélange d’émotion et de peur, d’excitation et de bonheur, elle eut un petit cri.
André s’arrêta. Une larme coulait le long de la joue d’Oscar.

« Est-ce que tout va bien, mon amour ? » demanda André avec inquiétude, en caressant son visage.

« Ou… oui… c’est juste que… ça fait mal… un peu… » dit Oscar.

Elle avait peur parce qu’elle ne s’attendait pas à avoir mal dans cette situation… en fait, elle ne savait pas grand chose sur ce « sujet ». Elle ne savait pas si la douleur qu’elle ressentait était normale.

« Cela va passer très vite, mon amour. Crois-moi » et André l’embrassa doucement.

Puis il la regarda, attendant sa permission pour continuer. Après quelques secondes, Oscar acquiesça et André continua à se presser doucement contre elle.

Finalement, sa masculinité entra complètement dans le corps de sa bien-aimée. Tous les deux n’étaient qu’un : une vraie correspondance de corps, de cœurs et d’âmes.
Les yeux d’André étaient à présents pleins de larmes. Il ne pouvait contenir l’émotion qu’il ressentait. André était perdu dans le beau visage de son amour, qui lui fit un sourire et essuya ses larmes.

Oscar était si heureuse de voir son visage au-dessus du sien.

« Je t’aime, André »

« Je t’aime aussi, Oscar… ma rose »

Ensuite, André commença à bouger lentement.
La douleur s’effaça et Oscar ressentit un doux plaisir parcourir son corps. Dans le même temps, André était perdu dans le parfum de sa rose… sa courageuse rose. Il embrassa doucement son cou.

Cela augmenta le désir d’Oscar. Elle gémit, haleta en caressant fortement son dos. Elle avait envie de bouger, de suivre le pas d’André. Donc, Oscar souleva ses jambes, ce qui fit que ses pieds caressèrent d’abord les cuisses d’André, enfin ses fesses.

André haleta et gémit plus fort en sentant les incroyables touchers et les baisers de son Oscar adorée. Ses mains caressaient ses seins. Ils murmuraient des mots doux, que seuls les amoureux connaissaient.

Le temps passa. Ce n’était qu’un rythme agréable qui s’intensifiait peu à peu. Chaque fois était plus rapide que la précédente, pendant que leurs gémissements et leurs halètements s’accroissaient également. Il étaient pleins d’extase et de plaisir.

Oscar atteignit le paradis la première, en criant le nom d’André. Quelque temps plus tard, André la suivit pendant qu’ils se fondaient dans une étreinte passionnée.

Leur cœur battait très vite en appréciant cette merveilleuse union. Rien dans le monde n’était plus important.

A présent, tous deux étaient complètement essoufflés et épuisés. Mais tous deux restaient enlacés tendrement. A quel point voulaient-ils rester enlacés pour l’éternité…

A bout d’un moment, au prix d’un grand effort, André bougea et regarda sa bien-aimée. Elle souriait et des larmes s’échappaient de ses yeux, roulant sur ses joues rouges.
Il essuya ses larmes et caressa doucement son nez, sa joue et sa mâchoire. Oscar bougea aussi et lui donner un baiser.

André sourit et la tint dans ses bras, contre sa poitrine, en caressant ses cheveux blonds, et sentant sa chaleur près de lui.
Oscar se sentait si protégée et aimée dans les bras d’André.

Dans le silence complet de la nuit, on n’entendit que deux « je t’aime ». Il n’avaient pas besoin d’autres mots pour exprimer ce qu’il ressentaient l’un et l’autre.

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C’était une nuit chaude, une douce brise d’été passait et beaucoup de lucioles volaient au-dessus de la rivière.
La lune et un plafond d’étoiles étaient les témoins silencieux de l’union parfaite de deux âmes dont les sentiments s’étaient rejoints en une complète harmonie.

Deux âmes qui s’étaient cherchées l’une et l’autre depuis longtemps n’étaient finalement devenues plus qu’une.

FIN
Review Une Nuit d'Amour


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