Auteur : mumu Hits : 6732
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Les retrouvailles

Comme chaque matin Candy se rendit à la clinique du docteur Martin, quand deux personnes entrèrent dans la clinique pour se faire soigner, ils dirent avoir vu Albert des personnes peu recommandables, ce qui inquiéta Candy qui demanda quelques instants au docteur pour aller voir par elle-même Si les drôles d’histoires étaient vraies, car elle aussi se posait certaines questions, depuis quelques temps.
_ Albert est un peu bizarre (NB: pour cause qu ‘il est bizarre c ‘est son père adoptif )
Candy se rendit au zoo là où il était sensé travailler et là pas d‘Albert, inconnu au bataillons, mais Candy avait confiance en Albert. Elle marcha en essayant de comprendre ce qui pouvait bien se tramer avec Albert. Quand soudain à travers la vitrine d‘un bar, elle le reconnu. C‘était donc vrai. Elle entra brusquement et entendit quelqu’un réciter du Shakespeare, un vrai choc. Elle s ‘approcha et reconnu tout suite cette voix Son cœur fit un bond dans sa poitrine

_ Terryyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy ! Que fais-tu là ? Ce n’est pas possible !!!

L’intéressé lui répondit sur le même ton.

_ Je ne suis pas Terry.
_ Oh, je vois tu préfères peut-être le titre exact! Monsieur Terrence Graham Granchester !!!
_ Oh Fouter moi la paix! Petite peste! De quoi je me mêle d‘abord!
_ Si tu te donnais la peine de te retourner, tu reconnaîtrais ta tache de son ou si tu préfères mademoiselle tarzan!!!!

Albert méduser devant cette situation se dit :

_ Ça va vite le dessouler !!
_ Comment vous pouvez répéter ?

Candy s ‘approcha lui et mis une main sur son épaule. Terry leva la tête et s’effondra dans ses bras. Il resserra son étreinte, Candy lui caressa le dos et les cheveux.

_Pleure mon amour. Ça ira mieux après.

Albert s ‘approcha du couple.

_ Tu veux que je le prenne pour l’emmener jusqu'à la maison, ma jeune protégée.
_ Oui Albert, et tu en profiteras pour m‘expliquer ce que tu faisais là, car je te croyais au zoo moi!
_ D’accord Candy.
_ Combien je vous dois monsieur ? Demanda Candy au barman.
_ Rien mademoiselle.
_ Et bien Roméo, tu t ‘en tires à bon compte encore une fois.

Albert essaya de décrocher Terry des bras de Candy, il sentit une résistance les bras de Terry enserraient la taille de Candy.

_ Aller Terry, c‘est Albert, on va te ramener à la maison, je vais prendre soin de toi.
_ Non je veux plus quitter tes bras ma tache de son d‘amour, je n’aurai jamais dû te laisser partir mon amour.
_ Bon très bien, je sais ce qu ‘il me reste à faire
Candy pris son courage à deux mains et le souleva dans ses bras, ce qui fit sourire Albert.
_ Oh Candy tu ne changeras jamais !
_ Bien mon prince charmant ne veut pas lâcher sa belle. Il faut bien rentrer!

Terry enfoui sa tête dans les couettes de Candy, ce qui fait rire celle ci. Ils marchèrent jusqu’à la voiture d‘Albert, et prirent place à l’intérieur. Sur la route du retour Candy posa un tas de questions à Albert ! Celui-ci lui répondit très calmement.

_ Tu vas être surprise, celui que tu tiens ferment dans tes bras, moi je joue mon rôle depuis ma tendre enfance, tu as côté de toi ton tuteur légal, j ‘ai retrouvé ma mémoire, et je sais qui je suis, et j ‘ai repris contact avec George, et je vais bientôt reprendre ma place dans la famille André.

Candy en resta stupéfaite.

_ Et bien ça c‘est une sacrée surprise, et moi qui t’imaginais de toutes les façons possibles !
_ Candy tu vois grand-oncle est un titre. Comme j‘étais trop jeune quand mon père a disparu pour prendre la succession de la famille, on a caché ma véritable identité à tous.
_ Oui je comprends un peu, et tout s’explique maintenant.

Arrivés devant immeuble, Albert ouvrit la porte et Candy descendit de la voiture en remontant son cher Terry dans ses bras .Celui -ci resserra son étreinte .ce qui fit sourire Candy.

_ On dirait qu ‘il est heureux regarde Albert son visage, il est plus détendu que tout à l’heure.
_ Oui Candy.

Albert ouvrit la porte de l’appartement, et laissa entrer Candy qui se dirigea vers sa chambre .Elle demanda à Albert une bassine d’eau tiède, pour débarbouiller celui qui faisait battre son cœur à tout rompre, Candy essaya de déposer Terry sur son lit, mais peine perdu Terry ne l’entendait pas de cette oreille. Il ne lâcha pas Candy .Ce qui amusa celle-ci.

_ Merci Albert.
_ Tenez un pyjama propre, car il est vraiment dans sale état.
_ Merci Albert. Tu vas y arriver ?
_ Oui ne t ‘inquiète pas, ne suis –je pas une bonne infirmière ? J’en ai vu d‘autre.

Ils éclatèrent de rire

_.bon je vais te laisser seule, vous aurez sûrement plein de choses à vous dire une fois qu’il sera réveillé.
_ Merci Albert.
_ Je rentre à Lakewood, si tu as besoin de quoi que ce soit fais-moi signe.
_ Merci Albert, ça va aller, je te rejoins dès que ce sera possible.
_ Bien ma fille

Candy lui sourit.

_ Aller mon grand enfant, je vais te mettre à l ‘aise.

Candy entreprit de le débarrasser de sa veste, qu ‘elle réussit à enlever sans trop de problème. Elle assit Terry sur ses genoux pour enlever la suite, ce qui s’avéra un peu plus compliqué, car Terry emprisonnait la taille de Candy avec ses deux bras. Candy s’allongea, et comme Candy l‘avait imaginé, il s ‘installa sur elle ce qui était plus facile pour faire remonter son pull, elle déboutonna sa chemise et la retira.

_ Et bien que tu es mignon !

Elle déposa un baiser sur ses beaux cheveux. Elle lui retira son pantalon, elle le fit glisser du mieux qu ‘elle put lui et enleva ses chaussures. Elle prit un linge humide pour lui nettoyer le visage, Terry grimaça légèrement mais ne se réveilla pas il était bien nicher dans les bras de Candy. (NB : bin oui enfin il est à sa place). Candy lui caressa le dos les épaules, les cheveux et le visage. Avec son doigt, elle dessina le contour de ses traits si parfait.

_ Bon Candy, on reste calme et on essaye de passer le pyjama.

Ce qu ‘elle fit elle passa une jambe, puis l‘autre et fit remonter la culotte de pyjama jusqu'à sa taille .elle le remonta dans ses bras et tira les couverture du lit, et s‘allongea près de lui, se disant qu’une bonne sieste avec tout ses événements ne lui ferai pas de mal.

_ Et à mon avis toi ça doit faire un moment que tu n ‘as pas dû passer une bonne nuit.
Pour tout réponse Terry se nicha encore plus entre ses deux seins.
_ Oh toi ! Tu es incorrigible! Même endormi tu trouves le moyen d ‘accélérer les battements de mon cœur.
Candy se posa beaucoup de questions. Comment se faisait-il que Suzanne l‘ai mis dans un tel état et le théâtre c‘est toute sa vie.
_ Bon Candy ne te tracasse pas trop la tête, il est dans tes bras, il te donnera certainement les réponses à ces questions.

Elle prit un livre, enfin une pièce de théâtre, et se mit à lire. Quand soudain elle sentit une main se balader sur sa poitrine essayant de lui défaire les boutons de sa robe, ce qui la fit sourire.

_ tu n ‘iras pas plus loin y a que des boutons juste en haut de la robe et j ‘ai un jupon, se dit–elle.

Terry se pressa encore plus près d’elle. Deux ou trois heures plus tard elle sentit une tête remuer et la respiration normale de quelqu’un de parfaitement réveillé, Candy posa son livre et caressa son dos remontant jusqu'à son cou. Quand deux bras glissèrent sur sa taille, Terry avec une mine réjouit remonta sa tête, et s‘écria :

_ Bonjour ma tâche de son.
_ Oh toi tu perds rien pour attendre !!!

Pour toute réponse, il baissa la tête et lui donna un chaste baiser. Candy fit mine de se débattre ce qui amusa Terry. Il lui dit :

_ Tu es encore plus désirable quand tu es en colère.

Cette fois il lui donna un baiser avec tant de passion, d‘amour retenu que Candy lui répondit de la même façon ce qui dura un moment. Quand le baiser pris fin, Terry lui demanda où il était.

_ Et bien tu es dans ma chambre chez moi, enfin chez nous. Dis Terry que c’est-il passé ? Que fais-tu à Chicago...
_ On c’était promis d’y arriver, je dois te l‘avouer ce n’a pas été simple, je t‘aime toujours. Voir en plus chaque jour qui passe sans toi….
Ils s’assirent, Terry lui prit les mains.
_ Je te jure que j‘ai essayé Candy, mais je n ‘y suis pas arrivé, je n’ai pas ta force, ni ton courage et pourtant ce n’est pas faute d‘avoir essayer, mais c’est toi que j ‘aime et ça depuis le premier où je t‘ai vu sur ce bateau, tu as pris mon cœur à jamais. Suzanne s‘en rendait bien compte que je ne l ‘aimait pas, c ‘était encore pire quand madame Marlowe me parlait de mariage. Je n’ai rien contre le mariage, mais je ne ferai ça avec plaisir qu’avec la femme que j‘aime. Suzanne est certes douce et gentille, mais je ne l ‘aime pas et je n ‘arrive pas à faire comme mon père. Épouser une autre lui faire l‘amour et avoir des enfants avec quelqu’un que je n ‘aime pas. Par la suite je n’avais plus goût à jouer la pièce de Roméo, j’ai cessé d’aller au théâtre. Je me suis mis à boire, je ne pensais qu‘a toi. Tu sais Candy l‘amour je crois, j’en suis même persuadé ne s’achète pas. C‘est un cadeau que dieu nous donne.
Candy s’approcha de lui, ils se regardèrent les yeux dans les yeux. Candy déposa un chaste baiser sur ses lèvres. Terry l‘attrapa et l‘installa sur ses genoux. Il continua son récit :

_ Quand madame Marlowe s‘est rendu compte que je n ‘allais plus au théâtre et que j ‘étais devenu un ivrogne selon ses dires, elle a emmener sa fille avec elle dans sa ville natale loin de moi, et je dois dire je n‘ai rien fait pour la retenir.
Candy prit la parole en lui caressant le torse :
_ Oui, tu t ‘es dit, j ‘ai mon amour qui m‘attends à Chicago.
_ Oui mademoiselle tarzan !
Ils éclatèrent de rire.
_ Moi aussi j ‘ai des chose à dire et ça va te faire très sourire, j‘ai un prétendant très **modéré** voir très ennuyeux, c’est mon pire cauchemar.
_ Ah oui souffla Terry ?
_ Oui figures-toi que mon charmant cousin Niels c‘est mis dans la tête qu’il allait m‘épouser.

Terry pouffa de rire.

_ Non tu plaisantes, celui qui prenait un malin plaisir à te faire souffrir ?
_ Oui mon Roméo, pas plus tard qu’hier je suis tombée dans un de ses piéges diabolique, mais il sait y faire ce snob, il m‘a envoyer quelqu’un en disant que c‘était toi qui voulait me voir, et comme je t ‘aime toujours autant je te dis pas le bond que mon cœur a fait dans ma poitrine. Et je suis tomber dans son piége j‘ai dû faire le mur pour m’évadé. J‘ai nager jusqu‘à la rive, alors que je me demandais où j’étais, devine qui m‘a encore sortie de ce mauvais pas.
_ Albert ! S’écria Terry.
_ Gagner. Et devine, il joue encore mieux la comédie que toi. Pouffa Candy. Il est mon père adoptif ! Il est l ‘oncle william !!!
Terry lui donna un doux baiser sur la joue.
_ Et bien mon amour, on en apprends tout les jours et ça c‘est plutôt une bonne nouvelle pour toi ma chérie. Tu peux mettre enfin un visage sur l‘oncle william. Et où est-t-il d’ailleurs?
_ A Lakewood chez lui. Il a préféré nous laisser tout les deux.
_ C‘est sympa de sa part, je le reconnais bien là. Donc on est seul.
_ Oui monsieur !

Terry éclata de rire et allongea Candy sur le lit et se mit au dessus et entrepris de lui faire faire quelques découvertes. Il l’embrassa avec plus d’ardeur, il en voulais plus les yeux de Candy brillèrent d‘émotions, et avec plus de raison que lui :

_ Je sais ce que tu veux, mais plus tard, car moi j ‘ai une faim de loup.
_ Ah non ! Tu vas pas t ‘en sortir comme ça !
_ Et tu crois ça ?

Candy se mit a le chatouiller un peu partout, Terry se mit a bouger dans tout les sens .et Candy se dégagea de son étreinte bondissant hors du lit. Terry la rattrapa bien vite, il fit un bond hors du lit aussi et attrapa sa taille en lui disant :

_ Tu ne perds rien pour attendre ! Je t ‘aime ma tache de son d‘amour.
Il lui donna un tendre baiser dans le cou, tout le corps de Candy se mit à frémir.
_ Moi aussi je t‘aime, et le mot est encore trop faible pour décrire ce que je ressens.
_ Aller mon amour va prendre un bon bain, ça te fera du bien mon ange. Moi je vais nous bricoler quelque chose à manger pendant ce temps là.

Candy chantonna pendant la préparation du repas, elle était heureuse, il était là dans sa salle de bain. Vingt minutes plus tard le repas était prêt. Candy alla jusqu'à la salle de bain avec des vêtements propres qui appartenaient à Albert. Elle frappa à la porte et entra. Elle n‘attendit même pas la réponse, amuser de la situation Terry releva la tête et lui dit :

_ Alors mademoiselle, c ‘est comme ça qu‘elles t’ont appris les bonnes manières ces charmantes bonnes sœurs de st Paul ?
Il éclata de rire.
_ Oh toi !

Elle s ‘approcha.

_ Tu sais, j ‘en ai vu d ‘autres à l’hôpital. Tiens des vêtements propres mon grand enfant.
_ Attends un peu j ‘ai grandi tout de même !
Il se leva de la baignoire, les joues de Candy virèrent au rouge aussitôt.
_ À tu vois déranger un homme dans salle de bain, c’est risqué.
Il l’attrapa par la taille.
_ Grrrrrrrrrr je suis mouillée maintenant, tu n‘y pense pas !
_ Oh que si c‘est trop tentant.
Plouf ! Candy toute mouillée atterri dans la baignoire.
_ Alors maintenant je peux l‘enlever cette robe !

Elle sourit.

_ Tu y tiens tant que ça ?
_ Oui je te veux, je te désire plus que tout au monde, et j ‘en ai assez d‘attendre, je ne veux plus attendre, je t ‘aime mon ange, mon amour.
Candy se réfugia dans ses bras.
_ Moi aussi je t ‘aime, je te désire, j’y pense autant que toi, d‘ailleurs je t‘ai attendu, mais pour le moment j ‘ai faim. On verra ça plus tard.

Elle sortie de la baignoire très rapidement !!(NB : rapide la miss). Terry accoudé à la baignoire, regarda Candy avec des yeux qui en disaient long,

_ Candy défit sa robe, son jupon, ses petits dessous sous un œil très vigilant, alors monsieur Granchester satisfait ?

Terry sortie de la baignoire avec un grand sourire.

_ Oui mon amour, que tu es belle !

Les deux était très proche, Terry pris une serviette et l’essuya avec douceur, Candy en fit de même.

_ C‘est dure de résister, mais j ‘ai faim.
Il s habillèrent chacun de leur côté. Et ils se restaurèrent avec appétit, ils ne dirent rien mais leurs yeux en parlaient pour eux. Ils débarrassèrent la table et firent la vaisselle et la rangèrent à sa place.
Review retrouvaille


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