Auteur :
kia
Hits : 1990
Lady Oscar
>
Alternate Universe
> Le Contrat. >
1. Prologue.
2. Vivre par amour, ou mourire pour l'honneur?
3. Une mère.
4. Tendre promesse.
[nt de kia: Bon, je me lance dans une fic en cooperation avec ma rande soeur Gabriella, j'espère vraiment qu'elle vous plaira, et n'oubliez-pas les review!]
Prologue:
Par kia
1760
Les grilles du château de Jarjayes venaient d’être ouvertes pour y laisser passer un carrosse, peint aux armoiries des propriétaires de ce domaine. Le véhicule s’arrêta dans la cour, et une vieille femme en descendit, elle fut vite suivie d’un petit garçon d’environ six ans, la vieille dame, appelée par tous Grand-mère prit doucement la main du petit garçon qui n’était autre que son petit fils, et l’entraîna toute enthousiaste vers la salle principale du château des Jarjayes.
Dans cette salle était réunis Monsieur et Madame de Jarjayes, quatre de leurs filles et la moitié du personnel. Tous étaient venus ici pour accueillir le jeune garçon qui allait devenir le compagnon de jeux de l’héritière des Jarjayes : Oscar de Jarjayes, dont l’éducation n’était pas vraiment la même que ses cinq sœurs. En effet Oscar était destinée à devenir un grand militaire, comme tous les hommes de sa famille, et devait se faire passer pour un garçon. Grand-mère désapprouvait totalement cette éducation, tout comme la fille aînée du Générale qui était absente.
Monsieur de Jarjayes s’approcha du couple familial et dit gaiement:
MJ : AH ! Grand-mère ! nous t’attendions ! ta présence nous a, à tous manqué !
Gr : Oh ! que c’est gentil de me dire cela monsieur, dit-elle, émue.
Puis elle reprit d’un ton autoritaire, le menaçant de son index :
Gr : J’espère que vous n’avez pas fait trop de misères à ma petite Oscar !
MJ : Tu plaisantes ! c’est plutôt lui qui nous à fait des misères, dit-il amusé.
Gr : Comment cela ? demanda Grand-mère en s’adressant aux quatre jeunes filles.
Et les plaintes commencèrent :
J : Oscar s’est amusée à casser mes poupées avec un lance-pierres ! dit Judith la plus jeune qui devait avoir un peu plus de l’âge du petit-fils de Grand-mère.
C : Et elle a terrorisé son précepteur ! dit Clémence la troisième fille des Jarjayes, elle devait avoir dix ans..
El : Il ne veut plus venir et père doit pour le moment se charger lui-même de son éducation, en attendant qu’il soit remplacé ! Continua Elise qui était âgée d’une bonne quinzaine d’années.
J : Je suis sûr qu’elle l’a fait exprès pour être avec père ! surenchérit la petite fille avec une pointe de jalousie.
Isa : C’est sûr ! Approuva Isabelle la deuxième fille des Jarjayes, âgée de quatorze ans.
Le petit garçon qui observait la scène amusé, ne put s’empêcher d’émettre un petit rire, cette Oscar avait l’air très turbulente.
Tout le monde regarda alors le jeune homme, Madame de Jarjayes se décida à entrer en scène et se mit à sa hauteur. Le petit garçon admira un instant le beau visage de la femme qui se tenait devant lui, elle était très jolie malgré son âge.
MaJ : Bonjour petit tu dois être André n’est-ce pas ?
Le petit très poli répondit :
A : Oui madame.
J : Il est mignon, rahhhhh pourquoi c’est toujours Oscar qui a tout ce qui a de bien ! chuchota la petite fille à ses sœurs.
MaJ : Enchantée de faire ta connaissance petit.
A : Moi de même madame.
Madame de Jarjayes sourit, elle se redressa puis dit à Grand-mère :
MaJ : Ce garçon est très poli.
MJ : Mais où est donc passé Oscar ? Oscar !!! Venez ! tout de suite !!!
O : Mais je suis là.
Tout le monde se retourna, Oscar était là, appuyée nonchalamment contre le mur. Elle était derrière tout le monde depuis le début et personne ne l’avait remarquée. Elle avait l’air amusée par ce qu’elle venait d’entendre.
MJ : Ah ! Oscar ! Venez je vous prie, saluer votre futur compagnon de jeu.
Elle alla vers son père, mais ni André ni Oscar ne s’étaient aperçus.
O : Alors, qui va être ma nouvelle vict…
La jeune fille s’arrêta net, ses yeux ne quittaient plus le garçon qui était devant elle. Ce garçon avait les cheveux bruns coupés court, ses yeux étaient verts, tel l’émeraude… elle vit qu’ils brillaient intensément. Quand elle remarqua qu’il l’observait tout aussi intensément, elle sourit.
Le jeune garçon la regardait, ses cheveux blonds et bouclés, coupés aussi court que les siens, ses yeux bleus, tel le saphir, qu’il vit briller intensément, on avait l’impression d’être devant l’eau d’un lac illuminé par les rayons du soleil de midi. Son visage était d’une pureté… Elle devait être un peu plus jeune que lui.
Il agrippa sa grand-mère et lui chuchota :
A (sous le charme) : Grand-mère, est-ce que c’est un ange ?
Grand-mère ne lui répondit pas, mais sourit.
André remarqua alors qu’Oscar le regardait avec tout autant d’insistance que lui et qu’elle lui souriait doucement, sourire qu’il lui rendit sans hésitation avant de s’avancer ver elle, il fit une révérence très élégante, lui prit la main pour un baisemain puis lui dit :
A : Heureux de faire ta connaissance Oscar, je suis André Grandier, ton serviteur.
Oscar, encore sous le choc du baisemain, répondit rougissante.
O : Euh…en ce qui me concerne… je n’ai pas de serviteur… dit-elle.
Tout le monde la regarda, était-elle en train de refuser la présence du jeune garçon ? (personne bien sûr n’avait remarqué leurs troubles à part la mère d’Oscar à qui n’échappait aucun détail)
O : …Je n’ai que des amis, finit-elle au grand soulagement de tous!
A (souriant): Ca me convient!
MJ (fermement) : Oscar montre sa chambre à André, ensuite je veux vous voir en tenue dans le jardin, compris ?!
O (sans entrain) : Bien père, vient André, c’est par ici.
Les deux enfants montèrent les escaliers. Il y avait un long couloir, très grand pour leur yeux d’enfants. Oscar ouvrit une porte, fit signe à André de le suivre, et ils longèrent un autre couloir, plus petit. Ils arrivèrent devant une porte et Oscar lui fit comprendre d’un signe que c’était là.
A : C’est ici ?
Oscar hocha la tête en le fixant toujours aussi intensément, puis elle le fit entrer.
A (émerveillé) : Oh ! c’est grand !
O : De quoi ?
A : Cette chambre est très grande !
O : Elle est normale non ?
A : Si tu le dis.
Quelque minute après, Oscar et André était en tenue d’escrime, le petit garçon remarqua bien vite que le Général était quelqu’un de très dur. Quand Oscar ratait une parade, elle se prenait des gifles impressionnantes, et avait le droit à tout un sermon sur « les hommes de la famille Jarjayes ». Après ce premier cour d’escrime, André alla dans sa chambre, il trouvait que malgré ce que son père disait, Oscar se débrouillait très bien à l’escrime.
Une semaine s’écoula et André s’était totalement intégré au sein du château, lui et Oscar était devenus inséparables, c’est pour cela qu’un soir André confia en larmes à Oscar la mort de sa mère chérie le mois dernier dans un terrible incendie, Oscar avait osé demander timidement où était son père, et André lui dit qu’il ne le connaissait pas.
Les années passèrent, André et Oscar avait douze et onze ans. La jeune fille était devenu très belle, ce qui faisait fondre André qui s’était rendu compte qu’il était amoureux d’elle quelque temps avant. C’était pareil pour Oscar, elle trouvait qu’André devenait de plus en plus beau, elle s’était rendu compte qu’elle était amoureuse d’André vers son neuvième anniversaire.
Le Général trouvant sa fille de plus en plus féminine n’arrêtait pas de lui faire des reproches, mais la jeune fille n’arrivait pas à se comporter comme un homme, ou plutôt, elle n’en avait pas envie, son unique préoccupation était André. Au fond d’elle, elle voulait à tout prix être une fille à ses yeux, elle avait le pressentiment que ses sentiments envers lui étaient réciproques, mais elle avait peur de les lui révéler, et c’était la même chose pour André...
( A suivre avec kia...)
Review Le Contrat.
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