bon ba je vous explique un peu la situation !!!!
Rosy et moi on s'est lancer un petit défi de fic, chacune ayant choisit le sujet de la fic que l'autre devait écrire!!!!!!
alors si vous avez pas lu la fic de Rosy :
1) vous avez tord car elle est super
2) vous étonnez pas que la mienne soit ausi courte : avec un sujet pareille j'étais pas gâter (merci Rosy !!!! lol!!!)
bonne lecture !!!!!!
Il s’assit un peu plus confortablement dans le fauteuil. Le feu brûlait lentement dans la cheminée et le réchauffait de ses rayons bienfaisants par le froid glacial de ce début d’hiver. Après le froid, la chaleur le consumait petit et l’enveloppait d’une couverture de chaleur duveteuse.
La porte s’ouvrit, laissant passée une belle jeune femme aux longs cheveux châtains relevés en une queue de cheval serrée. En le voyant assis dans ce fauteuil trop grand pour lui, elle eût un doux sourire qui s’épanoui sur son visage angélique. Elle venait de fêter ses vingt-quatre printemps et s’épanouissait de jour en jour telle une fleur sauvage qui l’avait capturé dans ses épines de douceur. Une fleur d’hiver aux pétales de flocons de neiges, blancs et doux.
La jeune femme rangea deux ou trois livres qui s’éparpillaient sur le sol avant de le regarder de nouveau. De sa voix chaleureuse et apaisante, elle lui ordonna doucement de se lever.
Sans réfléchir, il obéit. Il ne pouvait lui résister, elle qui représentais tout pour lui, elle qui avait su réchauffer son cœur déchirer par trop de souffrance. Doucement, il glissa sa main dans la sienne, rougissant un peu d’avoir oser un tel contact avec elle. Gentiment, la jeune femme resserra l’étreinte chaleureuse et le rapprocha d’elle dans un geste protecteur.
Quelle douceur en ses gestes. Cette douceur qu’il recherchait tant.
Elle entra doucement dans sa chambre et attendit qu’il se mit plus à l’aise pour la nuit à venir. Doucement il se glissa dans ses bras et l’embrassa tendrement. Elle l’embrassa à son tour il lui ouvrit le lit pour qu’il s’y glisse.
Tendrement, elle le borda et éteignit les chandelles, sauf deux ou trois, au fond de la chambre, pour qu’il n’est pas peur :
-Bonne nuit Rainier.
-Bonne nuit.
Le petit garçon serra son oreiller en regardant sortir sa nourrice. Une fois la femme sortit, il sourit en enfouissant sa tête dans son oreiller moelleux. Vraiment, qu’il était doux de l’avoir auprès de lui. Jamais elle ne partirait. Il l’aimait tellement, sa chère Marron Glacé.
PS : alors Rosy? ça t'as plu? à chacun son tour d'être surprise !!!!!!!!! |