Prologue :
Oscar et André avaient tout deux survécut à la révolution et avaient put partir loin de toute l’agitation.
Il s’étaient mariés dans une petite église tout près d’Aras.
Ils avaient déjà cinq enfants (dans l’ordre) : Mathilde, Déborah, Christoph, Clovis et Mélissa.
Malheureusement, ils avaient eu une autre fille après Mélissa, dont il avaient eu le temps de la prénommer Marion, mais celle-ci mourut de maladie de cœur. (Pardon Marion….C’est pas contre toi, je te rassure.)
Oscar venait de finir d’accoucher de son septième enfant, qui était une fille. Oscar s’endormit très vite, André lui était attendri.
Le lendemain, lorsqu’une personne lui amena sa fille Oscar eut une réaction.
O : Sa peau est plus foncée qu’hier non ?
F : Non, il n’y a qu’elle qui est née hier.
A un autre endroit, au même moment, une femme tenait sa fille dans ses bras. Elle était née, elle aussi, hier. Ses parents eux était un couple qui essayait d’avoir un enfant depuis dix ans, cette fille était leur première. Les parents s’appelaient Amandine et Patrick.
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Chap1
Des trois années passèrent après la naissance des deux petites filles qui avait été prénommés : celle se trouvant avec Oscar et André : Céline et celle se trouvant avec Amandine et Patrick : Illyadane.
Oscar et André découvrirent chez la petite Céline des problèmes de cœur, ce qui leur était déjà arrivé avec une petite fille avant qui avait trouvé la mort.
Oscar et André étaient allés voir le médecin.
O en pleure : Vous nous aviez dit qu’il était presque impossible qu’une telle maladie arrive deux fois dans une même famille !!!!
M : Je suis désolé, mais c’est malheureusement vrai…
A : Calme-toi. Y a-t-il une façon de pouvoir la soigner ?
M : Malheureusement non, il faudra juste qu’elle ne s’essouffle pas et que son cœur résiste.
Tout deux quittèrent le médecin, Oscar en pleure.
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Ailleurs, l’autre famille avait, elle aussi, des problèmes. Amandine était tombé gravement malade et aucuns médecin ne sut ce qu’elle avait.
La petite Illyadane ne comprenait pas la situation puisque son père restait toujours avec l’air heureux auprès d’elle.
Quelque mois après, Amandine mourut. Pour Patrick, Illyadane était devenue sa raison de vivre.
Il réussit à résister à son chagrin et sombrer dans la folie, à trouver un travail stable et bien payé (ce qui au temps est dur à trouver) pour sa fille.
Illyadane grandissait dans le bonheur sans même connaître sa mère, bien qu’au moment de sa mort, elle n’avait cessée de réclamer Amandine, cela attristait énormément Patrick mais sa fille faisait preuve de beaucoup d’énergie (ne pouvait donc pas tenir en place) et lui rendait la vie beaucoup plus facile.
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André et Oscar, devaient se montrer très fort pour éviter d’inquiéter leur cinq enfants, qui aimaient beaucoup Céline, sauf Clovis qui cherchait toujours à l’embêter avec sa maladie, mais Mathilde, Déborah et Mélissa (surtout elle) l’aidait. Mathilde en parlant, Déborah en essayant de s’énerver et Mélissa en le tapant (Bah oui, Méli, ça te fait une vengeance virtuelle lol). Oscar et André avaient du mal à retenir Clovis de dire des bêtises à Céline qui ne pouvait rien pour sa maladie de cœur. Mais Clovis ne l’entendait pas de cette oreille !
Clovis : Pourquoi on est obligé de suivre partout Céline ! C’est elle qui est malade, elle n’a qu’à aller toute seule dans une autre ville !
Oscar en colère : Clovis ! Excuse-toi auprès de ta sœur, tout de suite !
Clovis en croisant le bras sur sa poitrine : Non, jamais ! Elle l’a bien méritée !
André : Monte dans ta chambre !
Clovis regarda son père dans les yeux puis dû aller dans sa chambre au risque de se frotter à son père. Oscar regarda André, impuissante face à ce genre de comportement de Clovis. Mathilde, avait pris Céline dans ses bras.
Mathilde tenant Céline contre elle : Ne t’inquiète pas, malgré ce que Clovis dit, ce n’est pas ta faute si tu es malade.
Déborah s’approchant et posant sa main sur l’épaule de Céline : Mathilde à raison.
Mélissa : De toute façon Clovis n’est qu’un idiot !
Oscar les points sur les hanches : Mélissa ! Parle autrement de ton frère !
Mélissa baissant la tête : Oui maman….
Christoph préférait se tenir à l’écart de toute ses disputes, mais il préférait de ses sœurs à son frère.
Oscar et André espérait que la petite Céline vivrait longtemps et ne mourait pas dans la douleur comme Marion autrefois…
A SUIVRE
note de l'auteur : J'espère que cette fic va vous plaire! Elle est surtout pour ma illyadane mais aussi pour : Peach, libe, Marion (puisqu'elle apparait), Mélissa et bien sur, tout les lecteurs. |