1er conte :
Devinez les titres des véritables conte ^^
Il était une fois une belle jeune fille blonde et aux yeux bleus comme l’océan, malgré sa beauté, elle était munie d’un sal caractère ! Elle avait cinq sœurs aînées, mais sa mère était morte et son père remarié avec une femme qui avait déjà deux filles. Ses cinq sœurs vivaient à présent leur vie et son père était mort d’une maladie. Sa marâtre était fière et hautaine, et malheureusement pour elle, ses filles aussi.
Depuis la mort du père d’Oscar (vous l’auriez deviné ^^), toutes trois se plaisaient à l’accabler. Elles la faisaient travailler très durement dans la maison et la faisaient dormir sur une paillasse au grenier, alors qu’elles (les demi-sœurs) dormaient dans des chambre luxueuse où elles passaient leur temps à soigner leur toilette.
Oscar se consolait en se disant qu’elle ne finirait pas comme ses demi-sœurs (qui ne le sont même pas d’ailleurs lol), de plus elle avait développée à force de ce traitement de « faveur » un caractère qu’aucune autre femme avait.
Un beau jour, le fils du roi, qui était en âge de se marier, donna un bal, auquel les deux sœurs furent conviées.
Dans la maison, il ne fût alors plus question de toilette ce qui amusa intérieurement Oscar.
-Moi, dit Aure (l’aînée), je mettrai mon habit rouge et ma dentelle d’Angleterre.
-Moi, dit Claudia (la cadette), je porterai sur ma jupe simple mon manteau à fleurs avec ma barrette de diamants.
Malgré l’amusement du début, Oscar fût attristée, car c’est elle qui devait coudre, laver, repasser… Elle n’en donna pas moins de multiples conseils à ses sœurs et s’offrit même à les coiffer, ce qu’elle fit avec art, bien quand vérité elle n’avait aucune envie de les aider à se rendre belle.
Mais le soir du bal, voyant le carrosse emporter ses demi-sœurs, elle laissa libre court à ses émotions et se mit à pleurer.
-Pourquoi tant de larmes ma petite Oscar ? C’était sa nourrice, donc grand-mère.
-J’aimerais tant…J’aimerais tant aller au bal, pour une fois, profiter de la vie ne serait-ce qu’une seule fois…
-Tu iras au bal ! Viens suis moi.
Grand-mère l’emmena dehors où Oscar découvrit un second carrosse, puis grand-mère l’emmena dans un endroit où seul les valets allait. Là, Oscar fit une magnifique robe d’odalisque bleu avec des belle pantoufles de vair. Une fois habillée, elle ressortit rejoindre son carrosse où l’attendait six majestueux chevaux d’un beau gris pommelé et six élégant laquais.
-Va, lui dit grand-mère, mais surtout sois de retour à minuit, car après le deuxième coup ta belle-mère et tes demi-sœurs seront bientôt de retour (bah quoi ? Y a pas la fée, faut bien trouver autre chose ^^ )
Oscar promit de rentrer à temps, monta dans le carrosse et commença à essayer d’imaginer sa soirée.
Lorsqu’elle entra dans la salle de bal, les danseurs s’arrêtèrent et les violons se turent : Qui était cette splendide inconnue ? Le fils du roi, émerveillé, l’invita à danser et n’eut plus d’yeux que pour elle.
Le fils du roi avait les cheveux long de couleur ébène, les yeux émeraude, qui vous aspirait dès que vous le regardiez, il lui dit de l’appeler André (et oui, que vouliez-vous que se soit ?)
Elle dansa, dansa avec beaucoup de grâce, bien que ce soit ses toutes premières danses. Puis elle alla s’asseoir près de ses sœurs pour les narguer derrière quelque compliments, ce qui étonna ses demi-sœurs (elles ne l’ont pas reconnue).
Mais, entendant soudain sonner onze heures trois quarts, elle salua poliment puis partit de la salle de bal.
Retrouvant grand-mère, elle demanda à pouvoir retourner au bal le lendemain, car André l’en avait priée.
Bientôt, les demi-sœurs et la belle-mère rentrèrent à leur tour. Faisant mine de sortir du sommeil Oscar leur demanda des nouvelles du bal (inutile de vous dire qu’elle s’est rhabillée en homme)
-Le croiras-tu ? Il est venu la plus belle princesse que l’on puisse jamais voir. Raconta Aude.
-Elle nous a fait mille civilités. Le prince était tout affligé de la voir partir, or personne ne sait qui elle est. Lui confia Claudia.
Le lendemain, les deux demi-sœurs retournèrent au bal, et oscar aussi mais dans le plus grand secret ! Toute la soirée, André lui conta mille douceurs.
Transportée, elle en oublia l’avertissement de grand-mère, et lorsqu’elle entendit retentir les premiers coups de minuit, elle se leva précipitamment et s’enfuit, laissant dans sa hâte tomber une de ses pantoufles de vair, ce qui la soulagea car ce n’était pas très pratique pour courir.
Elle rentra chez elle, puis monta en vitesse dans sa chambre pour se changer puis sortit laissant la pantoufle dans sa chambre, à l’abris des regards indiscret.
Au retour de ses demi-sœurs, elle joua la même comédie :
-La belle dame est-elle revenue ? S’enquit-elle.
-Oui, mais à minuit elle est partie en toute hâte. Le prince a bien cherché à la suivre, mais il n’a trouvé d’elle qu’une de ses pantoufles tombées dans l’escalier. Lui raconta Claudia.
-Il a passé le reste de la soirée à la contempler ! Enragea Aude.
Peu après (donc le lendemain), une annonce fut faite à son de trompe (je ne sais pas si on faisait comme ça mais c’est pas grave ^^) : Le fils du roi épouserait celle dont le pied chausserait la pantoufle perdue.
On commença à l’essayer aux princesses, puis aux duchesses et à toute la cour. Sans succès. On l’apporta aussi chez les deux sœurs.
Alors qu’elles s’échinaient à y faire entrer leur pied trop grand, Oscar qui les regardait faire, éclata d’un rire franc pour finir par suggérer, toujours en riant, qu’elle pourrait bien, elle aussi, l’essayer. Ses demi-sœurs ricanèrent, bien sûr, mais le messager royal, qui la trouvait très belle malgré ses pauvres habits (bah oui, elle s’habille aussi en robe !), dit qu’il avait ordre de l’essayer à toutes les jeunes filles.
Il approcha la pantoufle de son petit pied (bah quoi ? On a jamais sur sa pointure :D) et vit qu’elle le chaussait à la perfection.
Elle la retira puis alla chercher la deuxième pantoufle dans sa chambre puis réapparue avec sa pantoufle de vair. Grand-mère, elle, descendit avec la robe de bal ; Oscar alla se rhabiller avec ses habits de bal.
Stupéfaites, ses deux demi sœurs se jetèrent aux pieds de celle qu’elles avaient tant maltraitée et implorèrent son pardon, Oscar, non rancunière, le leur accorda.
Oscar fut amenée chez le prince André, qui la trouva plus belle que jamais. Quelque jours plus tard, il l’épousa. Mais il n’eut aucune difficulté avec elle, malgré son sal caractère se que l’on aurait pas vu, vu sa beauté. Elle lui donna de merveilleux enfants dont leurs prénoms étaient : Alexandre, Mathilde, Marion, Océane, Caroline, Louis, Mélissa, Déborah, Audrey, Julien, Rémi, Nicolas, Mylène, Sabrina, Sophie et Alicia. Il vécurent tous dans un heureux bordel !
FIN
note de l'auteur : Bah voilà, c'est juste un délire et y aura d'autre contes qui le subiront si vous avez appréciez le premier ^^ |