[Note de l’auteur : ceci est ma première fic sur Fruit Basket. Attention elle pourrait choquer certains lecteurs car elle fait intervenir le trio de cousins Shiguré, Hatori et Ayamé Sôma … donc délire et homosexualité seront au rendez-vous]
Prologue
Le week-end était là bien plus vite qu’ils ne s’y attendaient. Ils était arrivés le matin même dans une des nombreuses maisons secondaires du clan Sôma. Ils ? En fait trois des membres de la famille des maudits du zodiaque chinois avaient fait le voyage. Le trio infernal comme on les appelait quelques années plus tôt au lycée.
Shigure, écrivain de profession qui n’avait qu’un but dans la vie : tenter de séduire la moindre lycéenne qui tombait à sa portée… et qui en fait écrivait des romans à l’eau de rose pour ces mêmes jeunes filles en fleur.
Ayame, une bombe ambulante, qui était aussi discret et extravagant qu’une tornade d’été. Il était l’heureux propriétaire d’un magasin de vêtements réservés aux couples… on pouvait y trouver des costumes de lycéenne, d’infirmière… pour homme ou femme.
Enfin le troisième cousin était aussi le plus posé, de loin le moins obsédé de tous : Hatori Sôma. Ce jeune médecin était celui qui canalisait le duo infernal formé par Shigure et Ayame et qui leur évitait bien des ennuis !
Les trois cousins avaient toujours étaient très proches, malgré leurs différences en raison de la malédiction qui touchait certains membres de leur famille. En effet, ils avaient un lourd fardeau à porter : tout contact physique avec une personne du sexe opposé les mettait en péril, les transformant momentanément en animal ; chaque maudit étant associé à un des signes du zodiaques. Parmi les garçons et filles touchés, les trois jeunes hommes étaient les aînés. Hatori se transformant en hippocampe, dragon moderne, Shigure en chien et enfin Ayame en serpent.
Las des tensions qui régnaient régulièrement dans le clan, le duo Ayame / Shigure avait poussé le médecin, par un vil stratagème sans doute, à le conduire à la maison près du lac pour faire un break. Voilà où ils en étaient à présent, sur une barque, filant sur l’eau… Hatori tentant de lire calmement tandis que les deux zozos commençaient leurs divagations diverses avec leur éternel jeu : je t’aime, tu m’aimes, on s’aime la …. |