Notes de l‘auteur: Je dédie ce chapitre à toutes celles qui m'ont encouragé pour mon autre fic.
Dans cette histoire, tout le monde sait que Oscar est une fille. La relation entre André et Oscar est quelque peu différente.
Dans une taverne de Paris, André et Alain buvaient à foison, bières et autres liqueurs. Le tout se roulait dans une ambiance bon enfant.
Al: Dis-moi André, tu as l’air bien fatigué! Tu étais pourtant de repos aujourd’hui. Aurais-tu eu une nuit et une journée chargées?
A: Ne m’en parle pas! J’étais avec la comtesse Aerine. Son époux étant absent, elle en a bien profité.
Al: Attends un peu ........ C’est la première fois que tu me parles d’elle. Tu es l’amant de combien de femme?
A: Je ne sais pas trop. Je n’ai jamais vraiment compté .... Laisse-moi réféchir un peu ....... Alors on a donc : la comtesse Aerine , la comtesse Lucy, la comtesse Fairyline, la comtesse Tryune, la comtesse Melly, la comtesse Anita , la comtesse Rosy, la comtesse Anon, la comtesse Larose, la comtesse Kia, la comtesse Kit et ma favorite, la duchesse Peach . Voila! Je pense avoir fait le tour donc ça fait treize. Et je ne compte pas les servantes du château et les serveuse des tavernes.
Al: Pfou!!!!!!!! On peut dire que tu as une vie bien remplie. Mais comment as-tu fait pour attirer toutes ces nobles Dames dans ton lit?
A: Un point très important: Ce sont elles qui sont venues me chercher, mais je dois avouer que ce n’est pas pour me déplaire. Mon secret est très simple: je me suis servi de la notoriété d’Oscar pour les approcher et je leur ai dit ce qu'elles voulaient entendre. Elles sont soit mariées à des vieillards, soit elles sont sur le point de l’être. Ce n'est pas bien difficile de les séduire. Mon charme et ma réputation s'occupent du reste.
Al: Tu te crois irrésistible?
A: Je ne le crois pas, je suis irrésistible. Il n’y a pas une seule femme qui m'ait résisté.
Al: Ah! Oui! ..... Et si on vérifiait ça?
A: D’accord. Que me proposes-tu?
Al: Je te donne le nom d’une femme et tu as deux semaines pour la séduire et être son amant. Deux semaines! Pas un jour de plus! Alors qu'en penses-tu?
A: Pari tenu. Mais, de grâce, choisis bien. Je ne veux pas compromettre ma réputation.
Al: Ne t’en fais pas! Je sais déjà qui je vais choisir et je suis sûr de gagner. sourit-il
A: Bon, tu te décides à me dire son nom. s'impatienta-t-il
Al: Tu vas devoir séduire notre chère colonel, Oscar de Jarjayes. Alors? Te es toujours d’accord?
A: Alors là, c’est plus qu’un pari. C’est un vrai défi que je relève. C'est entendu. Dans deux semaines, je serai l’amant d'Oscar, foi d’André.
Al: Alors marché conclu! Si je gagne, tu me donnes deux mois de ta solde et si tu gagnes, c’est moi qui te donne la mienne.
Nos deux amis scéllèrent ce pacte avec une franche poignée de main et une bonne bouteille.
Qui va gagner ce pari farfelu? Et comment va réagir Oscar?
(A SUIVRE) |