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Note : Je sais que je n’ai pas fini Oscar, nounou, mais il faut pas que je perde mes idées… J’espère que ça va vous plaire… Bisous et laissez-moi des reviews please…

Chapitre 1 : Introduction.

25 mars 1755, bois environnant le Palais Autrichien, vers une heure du matin.

Une ombre se faufilait dans les bois. Il voulait être discret. Il se mit à courir jusqu’à une clairière. Il attendit cinq minutes, et soudain, une autre ombre apparût. C’était Marie-Thérèse, Impératrice d’Autriche. Elle courût vers l’homme qui la prit dans ses bras.
_Mon Aimée, dit-il. Vous m’avez tant manqué !
_Oh, Mon Amour ! Je vous en prie, laissez votre peine de côté, et aimez-moi, cette nuit, à cet instant !
L’homme l’embrassa, et elle répondit avidement. Bientôt, ils se retrouvèrent à s’aimer dans l’ombre et le secret d’une clairière.

25 décembre 1755, Palais de Shoenbrunn.

Il pleuvait. L’Impératrice Marie-Thérèse d’Autriche allait bientôt accoucher. Tous les courtisans attendaient un peu partout dans le palais. Un homme, français, regardait gravement par la fenêtre. Il y a quelques temps, il avait reçu un courrier de l’Impératrice lui disant de venir le plus rapidement possible. Il se demandait bien pourquoi. Il y avait à peine neuf mois qu’il était venu pour la dernière fois. De là où il regardait, on pouvait voir les bois. Les bois de Shoenbrunn. L’homme sourit perversement rien qu’à l’évocation mentale de ces mots…
Vers minuit, des cris retentirent.
Tous les courtisans se ruèrent vers la chambre de l’Impératrice, mais personne ne put rentrer. Personne, exepté…
_Général de Jarjayes ! Vous êtes demandé !
L’homme qui regardait par la fenêtre s’avança, et suivit l’homme qui l’avait appelé.

Le Général, l’air anxieux, piétinait dans l’antichambre. La veille, après l’accouchement, on lui avait dit que l’entrevue était reportée au lendemain.
Bientôt, on annonça l’Impératrice, et lorsqu’elle parût, il plongea dans un salut militaire.
_Relevez-vous, mon Bon, lui dit Sa Majesté.
_Je remercie Votre Majesté.
_Laissez-nous, dit-elle aux gardes.
Ils optempérèrent.
_J’ai quelque chose à vous confier, dit l’Impératrice.
Un claquement de doigt, et une servante apparut, portant… Un couffin.
_Je veux vous confier ma Fille !
_Sans vouloir vous manquer de respect, Majesté, j’ai six filles… Et…
_Vous en ferez ce que vous voulez, mais je ne peux la garder…

Le lendemain, le Général, dans un carrosse, tenait serré l’archiduchesse Rose. Marie-Thérèse avait eu des jumelles. Malheureusement pour elle, d’après l’étiquette Royale, elle ne pouvait avoir deux enfants en même temps. Elle se résolut donc à garder la plus jeune, qu’elle prénomma Marie-Antoinette.
L’homme était en colère.
« Qu’ai-je besoin de toi ? pensait-il. Je pourrais te balancer dans un ravin, personne n’en saurait rien… NON ! J’ai une meilleure idée ! Ma fille, tu t’appelleras Oscar de Jarjayes, tu seras mon fils, et le meilleur des soldats… »
Un sourire de folie apparût sur son visage.

Chez lui, sa femme, ses filles et sa gouvernante trouvaient l’idée parfaitement ridicule mais n’osaient pas en parler… C’est ainsi que les années passèrent…

A suivre…

Prochain chapitre : L’Arrivée de l’Archiduchesse Marie-Antoinette

Note : J’espère que ce premier chapitre vous a plu. Bisous…

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