Note : Ca fait longtemps qu’une fic mélangeant Grease et Lady Oscar me trotte dans la tête. Voilà le début… Bonne lecture !
Chapitre 1 : Fin de vacances et rentrée
Oscar de Jarjayes est venue passer ses vacances dans le sud-est de la France. Là-bas, elle y a rencontré André Grandier, dont elle est tombée amoureuse. Ils ont passé toutes les vacances ensemble… Mais c’est fini. Oscar doit repartir à Paris.
_Je dois repartir à Paris, on doit se dire adieu, André.
_Ne dis pas ça, Oscar, dit le jeune homme.
_Mais c’est la vérité ! Je viens de passer les meilleures vacances de ma vie, mais on doit se séparer !
André l’embrassa passionnément. Il tenta d’approfondir le baiser, mais Oscar le repoussa.
_André, ne gâche pas tout…
_Je ne gâche rien, j’améliore…
_André, est-ce que c’est la fin ? s’inquiéta Oscar.
_Bien sûr que non, fit-il pour la rassurer.
C’était la rentrée.
André Grandier parlait, ou plutôt draguait, un groupe de filles. Il attendait ses amis : Alain, Axel, Victor Clément –appelé communément VC et Bernard. Il continua son plan drague jusqu’à ce qu’il entende :
_Alors, André, toujours le premier à draguer !
_Et ouais !
Il échangea des poignées de mains viriles avec ses amis.
_Tu m’as manqué ! lui dit Alain.
_Tu parles ! répliqua André.
_Alors, t’as fait quoi de tes vacances, Roméo ?
_J’ai passé tout mon temps à la plage…
_Avec toutes les du lycée collées à tes basques, intervint VC.
_J’ai rencontré une fille pas mal…
_Vous l’avez fait combien de fois ? s’informa Axel.
_Tu penses vraiment qu’à ça !
_C’est clair !
Ils rentrèrent dans le bâtiment, sans pour autant aller en cours. Alain et André étaient les chefs d’une petite bande de petites racailles.
Oscar avançait le plus lentement possible vers le lycée… Finalement, ses parents avaient changé d’avis, donc ils ne repartaient plus pour Paris. Pour cette rentrée, Oscar angoissait terriblement, pourtant, elle s’était déjà fait une amie, Marie-Antoinette, que tout le monde appelait M.A.
_Ne t’en fais pas, lui dit gentiment cette dernière, alors qu’elles traversaient le parc du lycée. Tout se passera bien.
La sonnerie retentit.
Oscar se dirigea timidement vers le bureau de la principale : Mme de Noailles. Celle-ci lui donna des papiers à remplir et son emplois du temps.
Une fois qu’elle eut fini, Oscar déambula dans les couloirs un bon moment avant de trouver sa classe, dans laquelle elle se rua.
La matinée passa vite.
A midi, M.A présenta Oscar à un groupe de copines : Les Roses.
Les membres étaient Jeanne, Rosalie, Julie et donc, M.A.
_Eh, les filles ! dit M.A. Elle, c’est Oscar de Jarjayes ! Elle est nouvelle.
_Pour tu portes un nom de garçon ? railla Jeanne, la chef.
_C’était le nom de mon père, mais il mort avant ma naissance et, vu que l’échographie prédisait un garçon, ma mère n’a pas voulu changer…
Dix minutes après, une fille, Charlotte, venait s’incruster au groupe.
_T’as fait quoi de tes vacances, Oscar ? demanda Julie.
_J’ai passé mon temps à la plage. J’y ai rencontré un garçon…
Ses yeux pétillaient à ce souvenir.
_T’as fait tout ce chemin pour te taper UN SEUL mec ! glapit Jeanne.
_Il était vraiment spécial…
« Ca y est ! pensèrent les Roses. Elle est amoureuse ! »
André et ses amis étaient dans les gradins qui surplombaient le complexe sportif du lycée. Ils déjeunaient tout en balançant des remarques désobligeantes aux sportifs…
_Allez, André, parle-nous de la fille de plage ! exigea VC.
_Vous voulez pas tout les détails, hein ?
_Bien sûr que si !
_Cette fille est une bombe !
Oscar et André avaient passé les vacances ensemble. Mais ils racontèrent tous les deux une version différente. André, soucieux de préserver sa réputation de Casanova (Ben c’est vrai ! C’est une bombe, le Dédé ! lol), a raconté un simple amour de vacances, et une histoire de sexe.
Oscar, elle, beaucoup plus véridique, raconta en détails les moments passé à deux…
_Il ne t’a pas touché ! s’exclama Jeanne, avec horreur. A mon avis, c’est un pauvre type !
_Non, c’est un gentilhomme !
_Et comment il s’appelle ? intervint Rosalie.
_André Grandier !
En attendant ça, les Roses pouffèrent de rire, sauf Jeanne. Celle-ci donna un coup aux Roses qui rigolaient.
_T’as eu de la chance, dit-elle à Oscar. Si tu crois aux miracles, il fera sa réapparition dans pas longtemps…
Jeanne, Julie et Rosalie partirent. Oscar demanda, ravie, à M.A :
_Tu crois que je le reverrais ?
Très embarrassée car elle connaissait la réputation d’André, M.A se contenta de dire :
_Probablement… Mais, viens ! Allons en cours !
A suivre…
Prochain Chapitre : Retrouvailles et Consolations…
Note : J’espère que ça vous a plu. Moi, je ne sais vraiment quoi en penser… Laissez-moi des reviews… |