ExcessFanfiction4Ever • .: Fanfiction :.

Comme tous les matins, grand-mère alla réveilla Oscar, pour la sortir du lit. Le soleil était déjà au dans le ciel, et la journée s'annoncer chaude. Oscar était de repos et avait décidé de trainer au lit.
Mais pour grand-mère il était tant qu'elle se lève, sa petite Oscar avait déjà assez dormit.
Elle monta dons dans la chambre de la jeune femme et tira les rideaux laissant le soleil illuminer la chambre, ce qui réveilla Oscar.

_ Nooooooon grand-mère pas encore. Laisse-moi dormir!

_ Il en ais hors de question, tu as assez dormit hurla la veille dame. Maintenant debout!!!

Joignant le geste à la parole, grand-mère arracha le drap qui recouvrait Oscar.

_ Voilà maintenant tu es obligeais de te lever.

_ Grand-mère parfois tu es pire que mon père.

La nourrice grommenola quelque chose d'incompréhensible entre ses dents et sortit de la chambre.

"Bon maintenant il ne me reste plus qu'a me levé, effectivement."

Oscar pris sont courage à deux mains et quitta enfin sont lit, elle se prépara et descendit dans la cuisine pour prendre un bon petit déjeuner. Une fois ceci fait, elle chercha André.

_ Grand-mère tu n'aurais pas vu André?

_ Bien sur que si, il est juste derrière toi.

Oscar se retourna, et vit André. Un sourire éclaira son visage.

_ Tu voulais me voir Oscar?

_ Oui, je voulais savoir si tu aimerais faire une balade à cheval. On pourrais apporter le déjeuner avec nous. Quand dis-tu?

_ C'est une excellente idée.

Ils se préparèrent et partirent une bonne partie de la journée.
Ils revinrent en fin d'après-midi. Les deux amis avait passer du bon temps. Ils avaient ferrailler, discuter de tout et de rien, et c'était chamaillé gentiment, comme il le faisait lorsqu'ils étaient enfant.
Cela faisait déjà un petit moment qu'il n'avait pas passer quelques heures ensembles. En faîtes depuis qu'ils étaient entrer dans les gardes françaises, ils n'avaient pas eu le temps de se voir. Les troubles qui éclater dans Paris n'aider pas non plus. Mais ce qui les avaient séparer le plus, était cette fameuse nuit. Celle durant laquelle André avait avoué son amour à Oscar.
Mais la jeune femme avait décidé de passer l'éponge dessus. Elle aimait sentir la présente d'André à ces côtés, elle se sentait moins seul Quant il était ensemble.
Quant au jeune homme, il était content qu'Oscar lui est accordé sont pardon, mais il s'en voulait énormément pour ce qu'il avait fait.

En arrivant les deux jeunes gens remarquèrent que grand-mère les attendait devant la porte de la demeure.

_ Ma petite Oscar, ton père et entrée, et il voudrait te voir immédiatement.

_ Il est déjà là! Très bien je monte le voir. André tu peux t'occuper de mon cheval?

_ Bien sûre, ne t'inquiète pas, je vais le dorloter.

_ Je n'en doute pas. Merci.

Se retournant vers grand-mère, pendant qu'André ce diriger vers l'écurie.

_ Je suppose que mon père et dans son bureau?

_ Et bien non, il t'attend dans ta chambre.

_ Ha!!! Bien, je vais voir ce qu'il me veut.

Oscar monta à l'étage, et entra dans sa chambre. Le général l'attendait. Il se tenait en face de la fenêtre dos à elle. Après un moment de silence, le général décida de parler.

_ Je croyais vous avoir appris les bonnes manières, mais à ce que je vois, j'ai du me tromper. Ne vous ais-je pas appris à frapper aux portes avant d'entrer dans une pièce?

La voix du général était dur.... très dur, ce qui n'envisager rien de bon. Oscar s'en n'était aperçu des qu'elle était entrer dans la pièce.

Frapper à la porte de sa chambre se dit-elle, et puis quoi encore, elle ne se trouvait pas dans le bureau de son père après tout. Mais elle se garda bien de lui dire le fond de sa pensée. L'orage gronder et elle ne voulait pas jeter de l'huile sur le feu.

Oscar connaissait bien sont père, elle l'avait déjà vu dans des colères noir. Parfois, il ne pouvait pas se contrôler. Mais aujourd'hui, c'était pire que tout. Jamais il n'avait était dans cet état. Qu'avait-elle donc encore fait pour qu'il soit ainsi. Elle n'en avait aucune idée.
Oscar se rendit compte qu'elle avait peur. Comment se faisait-il que son père lui fasse peur, à cet instant? Elle avait déjà essuyé plusieurs de ces colères. Alors pourquoi?

Oscar se ressaisit. Elle devait affronter son père la tête haute.

_ Vous désirez me parler père?
Oscar s'avança et ferma la porte derrière elle.

Le général se retourna enfin. son regard était remplis de méprit.

_ Comment osez-vous m'appeller encore ainsi après ce que vous avez fait? Vous m'avez trahit! Vous avez déshonorer votre famille. (Le général hurler à présent.)

_ Mais que voulez-vous dire? Je ne comprend pas ce que j'ai pu faire qui aurait déshonorer notre nom.

_ Vous ne comprenez pas! VOUS NE COMPRENEZ-PAS!!!
Le général se dirigea vers Oscar, et la gifla violemment. Sous ce coup, sa fille tituba, mais le mur qui était derrière elle l'empêcha de tomber. Oscar reprenant sa respiration après qu'elle instant, se redressa. Sa joue était devenu écarlate. Dans son regard on pouvez voir de l'incompréhension.

_ Cesser de me regarder ainsi, comme si vous n'avez rien à vous reprochez. Vous ne comprenez pas? C'est bien cela? Vous ne comprenez pas?

_ .................................................

ALORS! Vous allez me répondre à la fin. Ou vous à ton couper la langue?

Oscar poussa un soupir. En contre partis son père la gifla une nouvelle fois.

_ Je vous fatigue.

La jeune femme était perdu. Quoi qu'elle fasse ou quoi qu'elle dise sont père en éprouvé de la colère.

_ Noooooon père.

_ Non quoi?

_ Non on ne m'a pas couper la langue, non vous ne me fatiguer pas, jamais de la vie et oui, je ne comprend pas ce que vous me reprocher.

_ Ce n'est pas la peine de me parler avec cette air arrogant. Vous m'avez compris?

_ Oui père.

_ Alors comme cela, vous n'avez rien à vous reprocher?

_ Je ne vois vraiment pas père.

_ Alors je vais vous rafraîchir la mémoire. Il y a de cela quelque temps, vous vous êtes rendu à un bal. C'était avant de demander à la reine votre transfert d'un nouveau régiment.

Oscar blêmit tout à coup. Ce pouvait-il que son père parle de ce fameux bal. Non! C'était impossible. Personne ne l'avait reconnu.

_ Alors! La mémoire vous revient?

_ ..............

_ Non dans ce cas laisser moi continuer. Vous vous êtes rendu à ce bal, semblerait-il habiller en robe.

Oscar, écarquilla ses yeux. non ce n'était pas possible! Il ne pouvait pas être au courant. Le jour de cette soirée, il était absent de la demeure, il était même loin, très loin de Paris.
Alors comment se pouvait-il qu'il soit au courant? Une personne lui aurait dit? Mais qui? Seul trois personnes était au courant. Grand-mère, André et Fersen.
Elle savait qu'aucune de ces trois personnes ne l'avait trahis.
Son père la tira de ces pensées.

_ Vous voyez de quoi je parle maintenant. Alors dîtes moi est-ce la vérité?

Que devait-elle faire? Que devait-elle faire pour se sortir de cette situation. Elle ne pouvait pas mentir à son père, celui-ci s'en rendrait compte. Mais il avait l'air tellement en colère.

_ Père laisser moi vous expliquez.

_ Il n'y a rien à expliquer. Soit c'est la vérité, ou soit c'est un mensonge. Alors?
Le général avait saisit Oscar par le col de sa veste et ne cesser de la secouer.

_ Alors vous allez parler, ou dois-je vous arracher les mots de la bouche.

_ Oui!!! (hurla Oscar)

_ Oui quoi?

_ oui je me suis habillé en femme pour aller à ce bal.

En attendant ces paroles, Le général lui assénât un violent coup de poing.

A suivre....................

Review Sauver mon ange.