[b]Souffrance[/b]
[i]Comment en suis-je arrivait là? A me confier à un simple journal, au lieu de m'adresser à un ami?
Ha oui! je me souvient, tout est de ma faute, j'ai tout détruit. Pourtant je sais que si je faisait un pas vers lui, il m'écouterais encore, malgré tous le mal que je lui ais fait.................., A mon cher André, si tu savais.
Mais voilà, je n'ose pas. Je ne peut pas et surtout je ne veut pas.
Je n'ai pas envie de montrer ma faiblesse qui me fais pourtant tant souffrir.
Trouverais-je un jour le repos de mon âme et de mon coeur?
Alors aujourd'hui en ce jour si particulier, qui ne devrais que m'inspirait fête et bonheur, je m'épanche sur une simple feuille blanche, pour y faire courrir des mots qui ne m'inspire que tristesse et mépris.
Mon âme meurtrie ne trouve pas sa délivrance dans l'existence, alors peut-être existe t-il dans les mots une sorte d'apaisement éphémère, qui pourra me faire oublier l'espace d'un instant ce que je suis.[/i]
Oscar était assise sur son lit, une plume dans la main, un carnet devant elle,et laisser ces émotions l'envahir afin qu'elle puisse les libérées et trouver un certain repos.
[i]Que faîtes vous père en cette instant? Êtes-vous comme moi? Je suppose que oui. Cette journée dois vous rappelez un de vos plus grand malheur.
Le 25 décembre devait pourtant vous apporter le plus beau cadeau que vous espériez depuis des années.
La déception à du être lourde quand grand-mère vous à annoncé que vous n'aviez qu'une fille. J'imagine votre réaction........... une fille, encore une fille..............
Vous avez du ressentir de la haine envers moi à cet instant précis. J'empêchais vos rêves de ce réaliser, je ne représentait rien à vos yeux. Jusqu'au moment ou vous avez eu cette idée saugrenu de changer mon destin.
Dois-je vous en vouloir? Je ne pense pas. Cette vie ma donné le plus grand des cadeaux............. La liberté.
Non Père je ne vous en veut pas. J'ai seulement des regrets qui pèses de plus en plus lourd sur mon coeur. Je n'arrive plus à avancé, je souffre tellement, et je ne sais pas quoi faire pour me débarrasser de cette tristesse.
Depuis des années j'aimerais vous posez une question père. Mais je sais que jamais je ne le ferais. Vous m'avez appris que je n'avez pas le droit de laisser parler mon coeur. Pourtant cette question pourrais m'apporter tant de soulagement, ou tant de souffrance supplémentaire.
"M'aimez-vous?"
Que suis-je pour vous? Que ressentez-vous quant vous me regarder? De la souffrance? Un être détestable qui vous à tout pris? Ou ressentez-vous un peu d'amour envers le fils que vous avez façonner tout au long de ces années.
Et si cette amour existe, est-il véritable? Vous aimez peu être le fils que vous avez trouver en moi, mais aimez-vous votre fille?
Je ne vous en veut pas père. Comment le pourrais-je? Vous m'avez tant offert.......... mais vous m'avez tant prit aussi. Vous avez tout fait pour que mon coeur n'exprime pas ce qu'il ressent.
"Ce n'est pas digne d'un homme disiez-vous."
Enfant, j'ai souvent souffert de vos colères. Mais je l'ai accepter me disant que j'avais fait de grave erreurs, et je voulais tout faire pour que vous m'accordiez votre pardon.
J'avais besoin de votre amour. Je n'avais que vous à cette époque, jusqu'à ce que André fasse sont apparition.
Je n'ai pas le droit de dire que vous êtes la cause de ma souffrance. J'en suis la plus grande responsable...............................
Ah, André.
Tu as été une bouffée d'air pur pour moi. Ton arrivé à été synonyme de joie et de gaieté.
Pourtant, les premier jours ont été difficile. Je tenait tellement à ma solitude, et toi tu venais la déranger.
Je n'osais pas m'avancé,.............. comme quoi, je n'ai pas beaucoup changer.
Et puis tu as fait le premier pas, encore et toujours. Je t'ai repoussé, et ce jour là, j'ai vu ton regard se voiler d'une tristesse infinie.
Ça m'as fait mal, je ne pensais cas moi, comme souvent par la suite.
Toi aussi tu avais déjà connu la souffrance, et une bien plus grande que la mienne. Tu venais de perdre ta famille, et je te faisait à nouveau souffrir, alors que tu chercher un peu de réconfort.
Pas seulement pour toi, mais également pour moi. Tu savais déjà lire dans mon coeur.
Alors j'ai fait machine arrière et j'ai tout fait pour que tu m'accorde ton amitié. Enfin quand je dis tout c'est peut-être un peu exagéré, il ne te fallait pas grand chose.
Un sourire à suffit. Un simple sourire, mais ça m'as demandé beaucoup. Je ne savez pas sourire et tu tant est très vite aperçut.
Alors tu as tout fait pour mettre un peu de bonheur et de joie dans ma vie. Tu y es très bien arrivé.
Si tu disparaissais du jour au lendemain, que ferais-je? Qu'’est-ce que je deviendrais? Ou aller ? Ces temps ci, je me pose sans cesse les même questions, et toujours la même réponse : " Je ne sais pas. "
Mon coeur à changer, je le sais, mais je ne veux pas me l'avouer. Alors je préfère le cacher.
Pourquoi, Parce-que j'ai............ peur. Oui j'ai peur.
J'entends d'ici André me dire : Toi le fière colonel, tu as peur.
Tu me dirais cela juste pour me donner du courage. Oui car jamais tu ne t'ais moquer de mes sentiments.
Non bien au contraire, tu me poussez toujours à les exprimés. Tu y es arrivais en de rare occasion.
Avec les années, cette joie et ce bonheur, mon peu à peu quitter, pour enfin de compte disparaître totalement.
Je me sent si triste André. Si tu savais. Mais qu'est-ce-que je dis. Je me mens encore à moi même. Tu le sais. Tu l'as toujours, su. Malgré tous les efforts que je faisait pour te le cacher.
Ses sentiments nous on éloigné l'un de l'autre. Mais j'en assume l'entière responsabilité, car tu n'en ais pas responsable. La dessus, j'en suis sur, et je n'en démordrais pas.
Il y a quelques années mon coeur à commencer à me jouer des tours. Qu'est ce que j'ai pu me détester quand je l'ai laisser diriger ma vie.
Ce sentiment que j'ai eu pour Fersen nous à fait souffrir. Mais je ne voulais pas ouvrir les yeux. Je ne voyais que moi, alors que toi tu souffrais encore plus que moi.
20 ans que tu m'aimais en silence, et moi je n'ai rien vu. J'étais de plus en plus distante avec toi. Quand j'y repense je me méprise. Comment ais-je pu te délaisser autant, ................ toi mon ami d'enfance. Si tu savais ce que tu représente maintenant dans mon
coeur.
Un soir dans un moment de jolie, tu m'as avoué ton amour. Jamais je n'aurais pensé que tu pouvais ressenti de tel sentiments envers moi. J'étais aveugle............ tu mérite tellement mieux que moi, André.
Mais comme tu m'as souvent dit, on ne peut pas ordonné à notre coeur.
Et pourtant André, c'est ce que j'ai fait, les sentiments que j'éprouvé pour fersen n'était pas vraiment de l'amour.
Mais je ne voulais pas me brûler les ailes. Alors au lieu d'éprouver le véritable amour je me suis mentit à moi même au point d'y croire. Je savait que Fersen aimait la reine, par conséquent il ne pouvait pas répondre à mes attentes. J'en avait très bien conscience, malgré ce que tu peux croire.
Mais voilà, à force de jouer à ce jeu, je me suis perdu, et j'ai vraiment cru aimer le suédois, comme tu aimes l'appeler.
Ce surnom est-il du à de la jalousie? Tu ne me l'as jamais dit.
J'ai souffert. Comme je n'ais jamais souffert. Mais pire que tout, j'ai fait souffrir..............., oui, j'ai fait souffrir deux personnes que j'aimais.
Je me hais................... je me hais en ce moment même. Comment ais-je pu vous faire ça, à vous?
Si tu savait qu'elle est mon agonie André. Mais moi je la mérite amplement contrairement à toi.
A la suite de ton aveu, j'ai éprouvé de l'amertume. oui de l'amertume car tu me disais clairement que j'étais une femme et que je ne pouvais rien contre ça.
Plus tard, j'ai repensé à ce que tu m'avais dit, et je te donne entièrement raison. Mais ça me fait mal de l'avoué.
Je considère ma féminité comme une faiblesse. Si je pouvais la jeté au fond du placard, je le ferais.
Mais je pense qu'aujourd'hui j'hésiterais. En y réfléchissant bien, je crois que j'ai aimé le faîtes que tu me déclare ton amour. Ça a été un baume pour mon coeur. Mais pourquoi avoir tant attendu André? Étais-je vraiment si inaccessible c'est dernière années?........................................ Oui sans doute, et je te demande pardon.
Pardon de t'avoir infliger la pire des souffrances.
Aujourd'hui je souffre........................ Oui je souffre, mais je suis heureuse de souffrir, je suis heureuse d'être triste. Car au fond de moi, je sens à quel point ma vie brûle et me consume. J'ai également l'impression de me repentir................. un peu seulement.[/i]
Un bruit se fit entendre dans le couloir. Oscar sortit de ces pensées lorsque l'on frappa à sa porte.
[b]- Oscar ? Oscar ! C’est moi ! Ouvre-moi, s’il te plaît.[/b]
Oscar regarda longuement en direction de la porte. Non… Elle n’avait vraiment pas envie de faire la fête ce soir.
-[b] Oscar ? Ecoute, il est hors de question que tu passes le jour de ton anniversaire cloîtrée dans cette maudite chambre ![/b]
Oscar savait qu'André ne voulait que son bien. Mais c’était plus fort qu’elle.
Elle n’avait pas le courage d’affronter la joie des autres, alors qu’elle se sentait toujours aussi triste et désespéré.
[i]" Désolée, André… Ce serait au-dessus de mes forces… Je sais que tu veux juste me faire sourire, et j’aimerais tant t’ouvrir cette porte… Mais je ne peux pas… " pensait-elle.[/i]
[b]- Oscar !!! Ça suffit maintenant ! Je sais que tu es là, derrière la porte, et que tu te demandes si tu vas m’ouvrir !!! Je t’aurais prévenue… Si tu n’ouvres pas cette fichue porte, je te jure que je suis capable de la défoncer !!![/b]
Oscar tenta de réprimer un sourire : elle savait qu'André en était capable. Et puis elle avait tellement besoin d’un peu de compagnie. Elle se dirigea vers la porte.
Perdue dans ses pensées, elle n’avait pas eu idée de prévenir le jeune homme qu’elle avait changé d’avis et allait lui ouvrir.
Si bien que le fougueux André (je l'adore. Oups je dérive) avait entrepris d’enfoncer la porte… et qu’il y arriva avec brio !
La porte s’ouvrit avec fracas. André arriva avec tout son élan dans la chambre d’Oscar et, ne l’ayant pas vue, fonça sur elle. Les deux jeunes gens se heurtèrent violemment et tombèrent à terre.
Oscar était étendue sur le sol, et André était tombé sur elle. Situation on ne peut plus embarrassante… André, visiblement très gêné, rougit et se releva aussitôt.
[b]- Hé, Oscar ! Tu aurais dû m’ouvrir…[/b]
Oscar se releva lentement en se tenant la tête, apparemment un peu sonnée.
-[b] Hum… C’est ce que j’allais faire, mais tu es entré si brusquement que je n’ai même pas eu le temps de te prévenir ![/b]
[b]- Oh, désolé. Ça va ?[/b] s’inquiéta-t-il en voyant qu’Oscar se tenait la tête avec insistance.
- Euh, oui. Juste un peu… bousculée !
- Ha ha ! Au moins, tu n’auras pas passé ton anniversaire à côté de ta fenêtre. Mais, .......... tu as pleurer!..................... Oscar dis moi ce que tu as?
André se pencha et captura les larmes qui perlaient aux yeux d'Oscar.
- Rien,................ je n'ais rien André.
Le jeune homme poussa un soupir d'exaspération.
_ Oscar!!!
_ Je n'ai pas envie d'en parler aujourd'hui. C'est mon anniversaire. je veux m'amuser.
_ Et tu crois convaincre qui avec cette jolis phrase?
_ Je te promets de répondre à toutes tes questions André. Mais pas
aujourd'hui. j'ai trop de chose à te dire et à t'avouer.
_ ...................................
_ Très bien. Tu as gagner. mais n'oublies pas. Une parole est une parole.
_ Je te le promets.
_ Bon maintenant que cette histoire et régler, il faut que je te fasse retrouver le sourire.
Aller viens!!!
André pris la main d'Oscar dans la sienne et sortit de la chambre en courant. Il avait bien l'intention de lui faire retrouver le sourire.
[b]Fin[/b]
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