Le secret des loups
Oscar s’était rendu compte de l’amour de Fersen pour Marie-Antoinette de puis fort longtemps mais n’osez ce l’avouer. Elle était déçue, blessé au plus profond d’elle-même de n’avoir pas réussi sa mission : protéger Marie-Antoinette de toute ces rumeurs, même si c’est rumeur était vrai ! Elle ne comprenait pas pourquoi la Reine aimait ce suédois et s’exposée ainsi au danger avec lui.
Ce soir là dans l’écurie des Jarjayes André réparé le carrosse Oscar arriva.
O : « C’est inutile de réparé la roue du carrosse André, je n’irais pas au bal ce soir. Tu peux aller te reposer. » La colère pouvait s’entendre dans sa voix, elle trouver stupide et dangereux l’attitude de Marie-Antoinette et Fersen qui affichaient leur amour aux yeux de tous.
André cria : « Oscar… »
O : « Ca ne va pas de crier ainsi !! Tu vas effrayer les chevaux ! »
A : « Tu oubli ma petite que tu as des obligations !! »
O : « Et bien soit nous irons à ce bal » dit elle agacée, elle savait bien qu’André avait raison.
Oscar se vêtis de son plus bel uniforme et se rendis au bal. Tous le monde la remarqua à son arrivé elle était belle, fier et droite comme à son habitude et son uniforme faisait encor plus ressortir sa beauté et l’éclat de ses cheveux.
Ce soir la Oscar dansa avec Marie-Antoinette toute la soirée de peur de n’être invité par une autre cavalière mais aussi et surtout pour éviter que sa Majesté la reine ne s’expose à de nouvelles rumeurs en dansant avec son cher Mr. De Fersen.
Ce bal parut interminable à Oscar cependant elle était fière d’avoir pu danser avec sa Majesté Marie-Antoinette, c’est une femme qu’elle admire beaucoup elle savait on fond d’elle-même que si elle avait réellement était un homme elle aurait aimer Marie-Antoinette comme un homme aime une femme.
A la fin du bal Oscar, suivit d’André, croisa Axel de Fersen.
F : « Je vous remercie Mon cher Oscar d’avoir danser ainsi toute la nuit avec Marie-Antoinette, je n’aurais pu m’empêcher de danser avec celle que j’aime du plus profond de mon cœur. Bien que je fut quelque peu jaloux ! Encor merci Oscar. »
Fersen laissa Oscar troublé des paroles qu’elle venait d’entendre, il pensait qu’Oscar était un homme, c’était bien normal, mais de quoi pouvait il être jaloux ?
André fut blessé de voir le cœur de son Oscar ainsi meurtri bien qu’il ne sache pourquoi elle était triste.
O : « Rentre le carrosse. Je rentre seule à cheval, ne… » Elle se tourna vers André tout en disant ses paroles quand elle vu une larme coulé sur la joue d’André.
O : « Qu’y a-t-il André ça ne va pas ?? »
A : « Si, si, j’ai juste une poussière dans l’œil, ce n’est rien. Voyons que pourrait il m’arriver ?? » André ne pouvait avouer que de la savoir si triste au plus profond d’elle-même le rendais malheureux.
Oscar monta sur son cheval « Bien ne m’attend pas André ! A demain. Allez Huu ! »
Oscar s’éloigna laissant la André qui parti de son coté.
Oscar ne pouvait retenir ses larmes, pourquoi… pourquoi est ce que je ne peux pas vivre comme une femme ordinaire ?? Mon Dieu qu’ai-je donc fait pour mériter cela ??? Je ne puis ni aimer comme un homme, ni aimer comme une femme… il me faut refouler tant de sentiment !! Pourquoi ne suis-je qu’une moitié d’homme et une moitié de femme ??
Alors qu’elle pensait elle croisa un de ses hommes, elle du baisser la tête pour qu’il ne voit pas les larmes qui coulaient sur ses joues. Il faut que je me ressaisis se dit Oscar, le Colonel de la Garde Royal, un homme de se rang ne peut se permettre de telle faiblesse !
Oscar galoper vers la maison des Jarjayes, le vent froid lui glacer le visage remplit de larmes, elle croisa à nouveau un garde qui l’interpella, Oscar du s’arrêter. « Bonsoir mon Colonel….. » le jeune homme vis le visage d’Oscar encor humide de larme « … ça ne va pas mon Colonel ? Est il arrivé un malheur dans votre famille ? Il me semble que vous pleurer ! »
O : « Comment pouvez vous me parlez ainsi ? Et croire que je puis m’abaisser ainsi à verser des larmes ?? Je ne suis pas une femme voyons, quelle pensé stupide !! De plus que pensez vous qu’il puisse d’arriver de si grave pour qu’un homme de ma stature et de ma condition affiche ainsi ses émotions ?! »
Le jeune homme ne savait quoi répondre. « Je vous prie de m’excuser Colonel. Bonne route. »
De peur d’être à nouveau vu dans cet état Oscar coupa par le bois, certes il faisait nuit et cette route était plus longue mais elle était sur de ne croiser personne.
Oscar était perdu dans ses pensées … il en est donc ainsi, il me semble que c’est bien mieux, je passerais ma vie seule personne ne peut m’aimer… cela déclancherais trop de problème et remettrais toute ma vie en question… et puis ainsi je suis sur de ne pas mécontenter père…après tout je suis née avec la destinée des roses, née pour vivre dans la gloire et la passion. Tel une rose je m’épanoui, tel une rose avec ses épines mon âme se protège de tous les tourment de la vie, tel une rose digne…Oh non !! … je ne suis plus sur la route.
Alors qu’Oscar tenter de retrouver le chemin de la demeure des Jarjayes une énorme bête lui vie face. « Mais qu’est ce que s’est que ça ??!! » elle ne savait pas ce qu’elle avait en face d’elle, un homme ou un animal. Quant tout à coup la Bête lui vit face, « Mais...on dirait …non ce n’est pas possible….un… » Elle ne pu finir sa phrase d’un seul coup la bête qui se trouvais à prés de 2 mètres d’elle bondit sur le cheval, celui-ci se cabra et désarçonna Oscar qui fut projeté par terre c’est alors qu’un spectacle horrible s’offrit aux yeux d’Oscar la bête dévora totalement son cheval avec une rage et une tel bestialité qu’Oscar avait du mal à ne pas vomir en voyant ce spectacle. Au bout de quelque minutes il ne rester qu’un amas d’os cassés du cheval d’Oscar. La bête avait l’air repu quand toute à coup elle bondi sur Oscar qui eut juste le temps de sortir son épée pour lui faire face, l’épée lui transperça le ventre s’est alors qu’Oscar entendit hurler « Haaa !! Douleur !!! » Oscar n’en revenait pas, cette bête parler, était-ce un homme ?? Cette voix elle ne m’est pas étrangère… La bête bondit sur Oscar et la plaqua au sol les puissante griffes de cette chose étaient planté dans les épaules d’Oscar qui gémit de douleur, ces griffes énorme lui transpercé les épaules, elle eu la force et l’habileté de sortir son pistolet et de tiré dans le ventre de l’animal qui hurla à nouveau « HAAA ». La chose lâcha Oscar en se tordant de douleur Oscar tira une nouvel fois, l’animal vit un bond en arrière et laissa échapper « Pourquoi….. Pourquoi souffre-t-on ainsi par amour…. ?? POURQUOI !!?? »
Oscar ne revenait pas d’entendre cette chose ainsi parlé, d’une voix si claire, si inapproprié à cette chose, et cette voix elle la connaissait mais d’où ?? La chose fit quelque pas en arrière et regardant les étoiles elle émis un hurlement si puissant qu’oscar du placé ses mains sur ces oreilles.. « AAA OOOUUUUUU !!!!! » Puis elle regarda Oscar et parti en courant, Oscar avait remarquer une larme dans l’œil de cette chose est-ce que cette bête qui pouvait parler était capable d’avoir des sentiment ??
Oscar se leva avec difficulté ses épaule la faisait souffrir elle atteignit le route et s’évanoui.
Au petit matin un carrosse, sort de la maison des Jarjayes en se dirige vers Versailles quand tout à coup le cochet s’arrêta « Et bien qui a-t-il cochet ? Pourquoi stoppons nous ?? »
« et bien Monsieur c’est… c’est votre fils Monsieur…il…il est…. » A ces paroles le Général sorti du carrosse et vis Oscar « Oh mon dieu mon enfant !! » Le général Jarjayes examina Oscar et vit qu’elle respirait encor, malgré la flaque de sang dans laquelle elle était couché il la pris dans ses bras et la posa délicatement dans le carrosse. « Au château cochet !! Et vite !! »
GJ « Oscar, mon enfant qui vous a mis dans cet état ? »
Oscar n’eut que la force de gémir…. « Bête » puis elle perdit à nouveau connaissance.
Arrivé au château des Jarjayes le médecin fut appelé.
Le docteur « je n’en reviens pas quel blessure étrange…. »
GJ « Docteur est qu’Oscar va s’en sortir ?? »
Le doc « Je ne peut me prononcer, les prochains jours seront décisif Savez-vous comment cela est arrivé ?? »
GJ « Non Oscar a dit qu’une « bête » lui a fait cela mais je pense que mon enfant déliré. »
Depuis le retour d’Oscar au château André avait un comportement étrange, il veiller son ami, son aimée, mais il se sentait coupable. Il passer toute ses journées et ses nuits prés d’Oscar à attendre son réveil. Grand-mère avait remarqué que son petit fils boiter légèrement, il marché en se tenant le ventre.
GM « Ca ne va pas André ? On dirait que tu souffres depuis hier ?! »
André « Non je n’est rien Grand-Mère. C’est surement ta cuisine !! ha ha !! »
Le lendemain Oscar n’était toujours pas réveiller le médecin vint l’examiner.
Docteur : « Comment !! Mais c’est impossible !! »
Alerté par les cris le Général et André accoururent.
GJ « Qui a-t-il ?? »
Doc « Ces blessures…elles guérissent… elles sont presque cicatrisées !! C’est miraculeux !!»
En entendant ces paroles le Général resta stupéfait.
Cela faisait trois jours qu’Oscar était ainsi, contrairement au reste de la famille André n’était pas du tout inquiet. Il rentra dans la chambre d’Oscar avec un bol de chocolat et repris sa lecture quand tout à coup le Général entra il semblait très énervé.
GJ « André puis je savoir ce que signifie cette attitude ? »
André stupéfait « Mais de quoi parlez vous mon Général ?? »
GJ « Je parle du fait que…. »
Oscar se leva brusquement et dit « J’ai faim !! »
Le Général était tout à fait surpris que la première chose qu’est dit Oscar après un sommeil de trois jours ait été « J’ai faim ! » quelle attitude étrange. Il fut encor plus étonné d’entendre dire André « C’est bien normal, tu as besoin de viande. »
Le Général bien que ravi de voir son enfant réveiller ne comprenait pas « Mais enfin André qui à t il de normal au fait qu’Oscar est faim ??? Je ne comprends pas ! »
Andre « C’est bien normal Général voila trois jours qu’elle dort, elle n’as donc rien mangé, il est normal qu’elle est faim non ?? »
André parti en boitant et en se tenant le ventre, se qu’Oscar remarqua. Il se dirigea vers les cuisines.
GJ « Oscar mon enfant comment vous sentez vous ? »
O « Parfaitement bien père. » Oscar examina ses épaules et remarqua qu’il y avait des cicatrices « Cela fait longtemps que je suis inconsciente père ? »
GJ « Trois jours mon enfant. »
O « Mais… mes blessures sont déjà cicatrisées !!! »
GJ « Oscar, mon fils, que vous est il arrivé ?? »
O « Est bien père j’ai étais attaqué, des bandits ont volés mon cheval et c’est tout ce dont je me souviens. » Oscar avait menti deliberement à son père si elle lui avait raconter qu’une bête féroce l’avait attaqué et dévorer son cheval son père l’aurait cru folle et encor sous le choque de sa blessure et n’aurait pas voulu la laisser reprendre du service hors la vision de cette étrange créature hanté Oscar et elle voulait reprendre son service à la Garde afin d’oublier cette chose mais avant tous elle devait se procurer un nouveau cheval.
O « Père je vais m’enquérir d’une nouvelle monture, André m’accompagnera. »
GJ « C’est entendu mon enfant, choisissez une monture fier et forte qui corresponde à votre caractère. »
Oscar alla chercher André en cuisine.
André « Ah c’est toi Oscar et bien je suis heureux de voir que tu te porte mieux, j‘ai penser que nous pourrions manger à Arras. Mais dit moi que t’ait il arrivé ?? »
O « Et bien André je vais te dire la vérité mais tu sera le seul à connaître ce secret. »
André « Bien je t’écoute »
O « Et bien voila alors que je rentrait du bal à cheval j’ai décidé de passer par le bois et c’est là que tout est arrivé, une énorme bête à dévorer mon cheval, et s’est jeter sur moi. »
André « Une énorme bête ?? »
O « Oui on aurait dit un loup mais il marché comme un homme !! »
André « Un loup qui marche comme est homme ?? En est tu sur Oscar ?? T’as vu ne t’a-t- elle pas joué des tours ?? »
O « Mais non voyons, je ne suis pas folle !! Je sais ce que j’ai vu !! De plus cette…chose parlé comme un homme ! André je t’assure que je ne délire pas ! »
A « Et bien je te crois Oscar ! » André laissa un long vide puis il dit « Je suis sur que tu à faim de viande non ?? »
O « Oui très faim même, allons me chercher un nouveau cheval puis nous irons mangé à Arras ! »
A « C’est une excellente idée ! Allons y !» André se leva puis la douleur qu’il avait au ventre lui repris et il ne pu s’empêcher de mettre sa main sur la douleur. Oscar remarque ce geste.
O « Et bien André qu’est ce que tu as ça ne va pas ?? On dirait que tu traînes une vieille blessure ! »
A « Non ce n’est rien Oscar ! »
O « Fait voir ça ! » En disant ces mots Oscar souleva la chemise d’André et vis une boule rouge de la grosseur d’un pouce. « Mais qu’est ce cela André que t’est il arrivé ?? » Elle ne pu s’empêcher de tâter cette boule quand toute à coup la grosseur s’ouvris pour laisser échapper un plomb de pistolet. Puis sous les yeux stupéfaits d’Oscar la blessure cicatrisa en quelques secondes. « Mais comment est ce possible !! »
André ne laissa pas Oscar réfléchir et lui dit en partant « Alors on va le chercher ce cheval ? Pour qu’il corresponde à ton caractère comme le désir ton père il va valoir bien chercher !!Ca ne va pas être facile à trouver avec le caractère que tu as !! »
Oscar resta sur place comme figer par ce qu’elle venait de voir. Puis tout à coup elle venait de se rendre compte qu’André savait que le Général de Jarjayes voulait un cheval qui corresponde au caractère de sa fille alors qu’il n’était pas présent lors de cette conversation.
Oscar et André allèrent donc s’enquérir d’un cheval quand un messager arriva au château des Jarjayes. C’était un messager du Roi « Colonel Oscar François de Jarjayes la Reine Marie-Antoinette s’inquiète pour vous ! Dès que votre état de santé vous le permettra vous devrez vous présenter au château de Versailles pour rencontrer sa Majesté la Reine. »
Oscar « Et bien André allons y, nous irons mangé et cherché une monture plus tard ! »
Oscar parti en carrosse en direction de Versailles. Pendant le trajet elle fut surprise de n’avoir pas remarqué avant les odeurs agréables des fleurs et des champs qui border les routes qui menaient à Versailles. Arriver à quelque dizaine de mètre du château elle entendit un cheval qui venait dans sa direction elle passa sa tête par la fenêtre pour voir qui partait du château de Versailles à cette allure. Elle fut plus que surprise, elle entendait le cheval alors que ses yeux ne le distinguer même pas… Je deviens folle !! J’entends un cheval et ne vois rien ! Aurai-je perdu la raison !! Elle continuer à fixer la route, le galop du cheval dans ses oreilles était de plus en plus fort, elle commencer à ne plus pouvoir le supporter quand elle vit un cheval au loin. Je ne suis donc pas folle, mais quelle ouie !! Que m’arrive t il pourquoi certain de mes sens sont ils si développé à présent ?
Arriver au château elle fit par de ses fait étrange à André.
O « André c’est très bizarre il me semble que mon ouie et mon odorat ce son considérablement développé, si je me concentre j’entends avant même de voir ! »
André « C’est tout à fait normal Oscar j’aurais du te prévenir, tu change… »
« Oscar François enfin je vous voit !! Vous m’avez fait soucis !! » Cria Marie-Antoinette du haut des marches.
Oscar « Votre majesté, ce n’était rien de grave. Je suis tout à fait guéri et je reprendrais mon service quand bon vous semblera. »
MA « Ha je vous retrouve bien là Oscar, mon messager m’a dit que votre cheval avait été volé, je vous ouvre donc les écuries royal afin que vous trouviez une monture digne du Colonel de la Garde, je vous fait cadeau du cheval qui vous plaira. »
O « Votre Majesté je ne sais comment vous remercier. C’est bien trop… »
MA « Ho non Oscar vous n’allez pas encor refusez !! C’est un ordre royal. Et c’est moi qui doit vous remerciez de votre attitude au bal. » Elle s’était rapprocher d’Oscar « sans votre intervention les rumeurs irait encor bon train. Malgré tous les rumeurs continu l’on dit à présent que c’est vous mon amants mon cher Oscar. Mais je suis sure que vous ne tenez aucune importance à ces rumeur ! Il me semble que vous êtes le seul à comprendre qu’on ne peut pas empêcher deux âmes de s'aimer, on ne peut pas empêcher l'amour de lier deux âmes.
A mon cher Oscar… Et bien je vous laisse vous reprendrez votre commandement dans trois jours, je vous accorde un congé. »
O « Je vous remercie votre Majesté. »
MA « Ce n’est rien Oscar. Allez ! Allez chercher votre monture. »
Oscar quitta Marie-Antoinette pour se rendre aux écuries royales où elle trouva son bonheur, un merveilleux cheval blanc qui paraissait calme mais une fois monté était très fougueux.
Elle alla retrouver André.
O « Et bien André allons y, allons manger ! »
Sur le chemin Oscar ne pu s’empêcher de questionner André.
O « André tu as dit qu’il était normal que mes sens ce développe car je change. Je ne comprend pas quel changement y a-t-il en moi ?? De quoi parlais-tu ? »
A « Et bien je préférerai que l’on soit arrêter pour te parler de ça. »
Oscar stoppa net sa course. « Voila nous sommes arrêter ! »
Ils mirent pieds à terre et André commença à marché.
A « Et bien Oscar cela à un rapport avec ce qui t’as attaqué, cette créature c’était … c’était un loup-garou, c’est un homme capable de se transformer en loup, beaucoup pensa que le loup-garou n’est qu’une légende mais ce n’est pas vrai, je sais de quoi je parle.
Lors de ses transformation le loup-garou conserve ses yeux et sa voix, Ce n'est que lorsqu'il se métamorphose, que le mythe du loup-garou prend forme. L'homme devient alors un être hybride mi-homme mi-loup. Son corps recouvert de poil prend en général plus de volume. Sa force et certain de ses sens comme l'ouïe ou l'odorat se décuplent, il guéri très rapidement et il possède toutes les qualités et aussi les inconvénient tel la bestialité du loup.
Oscar tu as était griffé par un loup-garou, tu va donc devenir à ton tour loup-garou c’est même déjà fait, la seul façon de revenir totalement humain c’est du tuer celui qui t’as griffé.
Hors on ne peut pas vraiment le différencier de l'humain, lorsqu'il adopte son apparence humaine il vit comme un humain, il combat la bête qui est en lui. »
Oscar « mais André est ce possible que je sois une de ces bêtes ?? Non ! Tu es fou André !! Tous ceci n’est que légende et conte pour les enfants !! Tu es complètement fou mon pauvre André !! »
A « Veux tu que je te prouve que tu est un loup garou ?? »
O amusée « Ha ha !! Attends voir AOUUU !! Ha mais oui tu as raison !! Ha ha ha !! Non sérieusement André, tu te joue de moi c’est impossible »
A « Tu as raison tu n’est qu’une femme… une faible femme tu ne comprend rien à rien, tu est stupide !! Et Marie-Antoinette n’ait qu’une traînée avec son cher Fersen … » André sentait la colère d’Oscar qui montait « tu ne sera jamais qu’une simple femme capable de rien tu ne peut rien contre le destin, tu est impuissante !! tu… »
Oscar plus énervé que jamais par ces paroles voulu frappé André au visage, quand elle serra le poing elle senti que sa main était couverte de poil, et c’est alors qu’elle commença à se transformer, ses mains s’allongèrent, son corps tout entier se métamorphosa et au bout de quelques minutes André du faire face à un loup-garou, mi femme – mi loup Oscar se tenait face à André et d’un coup de patte elle le projeta à plusieurs mètre, la peur s’empara d’elle et aussi rapidement elle se retransorfma en femme et couru vers André.
O « André, au André répond moi tu n’a rien ?? ANDRE !! »
A « Hé ça va !! Ne crie pas comme ça, je ne suis pas sourd !! »
Oscar était choqué par ce qui venait de se produire, elle s’était transformer en cette chose, cette bête qui l’avait attaqué. Mais elle fut encor plus surprise de voir la blessure d’André disparaître sous ses yeux en quelques secondes. Oscar fit un pas en arrière. « Mais comment est-ce possible ? »
André « C’est que moi aussi Oscar, moi aussi je suis frappé par cette malédiction, condamné à me battre perpétuellement contre la Bête qui est en moi, condamné à contrôler mes émotions plus que le commun des mortels. Ha Oscar je suis désolé, si tu savais comme je m’en veux. » André donna sa veste à Oscar car du fait de la transformation sa chemise n’était plus qu’un lambeau.
Oscar : « Mais André de quoi parle tu ? Tu était bien obligé de mon montré ces changements, imagine que cela soit arrivé à la Cour ou devant Père. Ne culpabilise pas.
Et puis tu as dit qu’il fallait que je tu le loup-garou qui m’a griffé pour redevenir totalement humaine. Ce n’est donc pas définitif !
Enfin je comprends mieux pourquoi u n’était jamais malade ! » Oscar se dirigé vers son cheval et remarqué qu’André ne suivait pas. « Allez André nous devons retrouvez le coupable, je ne sais pas si je m’habituerais à ce nouvel état. » Puis Oscar ce dit tout bas…j’ai déjà ma féminité à cachet si en plus je doit contrôler une nature bestial qui m’habite !!
Quand André ce mis à crier « OSCAR !! TU NE COMPRENDS PAS !! C’ETAIT MOI !!!!… Oscar c’est moi, tu doit me tuer il faut que ma mort vienne de ta main… Il faut que ma mort vienne de la main de celle que j’aime au mon Oscar pardonne moi mais puisque je vois la fin de ma triste vie arrivé permet moi de te dévoilé mes sentiments,
Quand je te regarde, une douce douleur me traverse furtivement
Quand je te vois, j'essaie d'éviter ton regard profond
Je veux retourner dans cette enfance où j'ignorais tout,
Je voudrais crier ton nom,
Pourquoi doit-on connaître l'amour?
Pourquoi…Pourquoi souffre-t-on par amour?
Oscar je me suis toujours jurer que je donnerai ma vie pour toi…maintenant il est temps. Tue moi Oscar afin que la Bête qui est en toi te quitte en même temps que je partirais. »
Oscar était choquée … « pourquoi souffre t on par amour »… elle pensai… oui c’est bien ces paroles… mais André je ne peux… il est tant pour moi, c’est mon ami, mon frère…Oscar qui sentais un mélange de colère et de chagrin l’envahir eut peut d’une nouvelle transformation, elle monta sur son cheval et parti au triple galop laissant là André.
Oscar galopa à toute allure et rentra au château ou elle s’enferma dans sa chambre.
Trois jours plus tard, elle n’avait toujours pas adresser la parole à André et elle repris son service à la Garde Royale.
O « Et bien messieurs, quelle allure j’ai l’impression d’être face à des pantins ! Du nerf que diable !! Tête droite !! Vous n’êtes pas au cirque !!! »
Les hommes remarquèrent que leur Colonel était de fort mauvaise humeur et l’un d’eux dit : Homme de la garde « J’aimerais bien l’y voir !! De toute façon il ne pourrait pas faire le tiers de ce que nous faisons, je les croiser ce tantôt, il pleurer !! HA HA HA !! Avez-vous déjà vu ça un Colonel qui pleure ?? Je suis sur que c’est une mauviette, c’est une femme !! »
Oscar grâce à ces nouvelles facultés avait pu entendre ce discours.
O « Bien Messieurs vous semblez endormi je vais donc vous réveiller !! Entraînement à l’épée !! »
Et bien sur Oscar eut la joie de voir que son petit stratagème fonctionna, l’homme qui doutais de l’identité d’Oscar dit « A en voila une bonne idée je vais vous prouvez que c’est une femme !! »
O « Bien qui souhait commencer ? »
L’homme profita de cette belle occasion « pourquoi pas Charles-Henri ? Charles-Henri de Lioncourt ?? »
Charles-Henri était le plus fort de tous les hommes des Gardes Royale à son allure il ressemblé à un bûcheron il était carré et avait une forte masse musculaire, il paraissait même rustre pour faire parti de la Garde.
O « Et bien soit approcher Charles-Henri de Lioncourt »
Homme de la garde « Allez Monsieur de Lioncourt montrez lui !! Vous n’aurez pas de mal je suis sur que c’est une femme et je sais que vous avez toujours détesté ce Colonel !! »
M .De Lioncourt « Nous allons voir ça, si c’est une femme nous allons lui faire voir que seul les hommes de la Noblesse entre dans l’armée du Roi ! »
« Mon Colonel permettait moi de vous suggérer un duel à main nue, par les temps qui cours nous devront être capable de nous défendre dans les rues de Paris. »
O « Et bien soit Monsieur de Lioncourt si tel est votre désir. Mais je vous préviens dans ce cas je ne vous verrez pas de cadeau !! »
M . D Lioncourt « Ha ! Mais je ne pense pas que se soit nécessaire mon Colonel ! »
Le duel commença, Charles-Henri se jeta sur Oscar, celle-ci n’eu aucun mal à l’éviter. Grâce à ses nouvelles capacité Oscar bougé beaucoup plus vite qu’avant elle qui était déjà rapide.Elle s’amuser même à faire ainsi tourner Charles-Henri quant tout à coup Charles-Henri frappa, il donna un violent coup dans le ventre d’Oscar qui fit un pas en arrière et manqua de peu de trébuchée. Les autres hommes furent surpris en commencèrent eu aussi à douté d’Oscar.
« Et bien Conte de Lioncourt je crois que nous avons assez jouer » dit Oscar.
Et Charles-Henri lui répondit « Enfin la lutte commence !! Hiaaaa ! »
Il se précipita sur Oscar, le poing en avant, qui riposta et envoya un violent coup de poing dans la mâchoire de Charles-Henri, Oscar n’avait pas su contrôler sa nouvelle force et le conte de Lioncourt fut projeter plus d’un mètres en arrière, coucher sur le sol il avait perdu connaissance, et sa mâchoire était en sang.
O « Et bien Messieurs si les brigands sont aussi fort que moi, il vaut mieux que vous gardiez votre épée ! »
Puis elle tourna les talon et parti laissant les hommes de la Garde stupéfait par dans de force dans un corps pourtant si frêle.
Oscar avait coupé par l’orangeraie de Versailles pour vérifier que toute était en ordre avant de rentré à Jarjayes, quand elle aperçu Fersen et Marie-Antoinette lors d’un de leur rendez vous secret, de voir ainsi Fersen embrasser Marie-Antoinette et prendre autant de risque elle rendra dans une colère folle et ne pu contenir la Bête qui l’habiter désormais, elle se transforma en Loup-garou, elle couru sur Fersen, elle s’entais que la Bête prenait le dessus, elle voulait tuer Fersen elle bondi la rage pouvait se lire dans ses yeux, Fersen et Marie-Antoinette devant cette chose étaient pétrifié sur place. Oscar fit un bond en direction du couple, les griffes en avant ……
Quant tout à coup son coté humain repris le dessus dans ce corps de bête Oscar contrôla son saut et atterri entre Fersen et Marie-Antoinette.
Oscar s’échappa et alors Fersen, qui retrouva ses esprit, la pris en chasse, une longue course commença et Oscar avec une longueur d’avance se retransforma en femme derrière un buisson, elle était bouleversé par ce qui venait de se passer elle ne savait quoi faire quand elle eut l’idée subite de se faire passer pour evanouhi….. « Dans le meilleur des cas il ne me verra pas et au pir il croira que j’ai été attaqué… » pensa Oscar toute en faisant semblant d’etre évanoui.
Fersen arriva et vie Oscar étendu sur le sol et dénudé, les habits en lambeau. En effet lors de la transformation la masse musculaire avait augmenter et donc les habits d’Oscar étaient déchirés.
Fersen se dit… Au mon dieu il a était attaque par cette chose.
Fersen « Colonel de Jarjayes !! Oscar !! Oscar répondez !! »
Oscarfit mine de revinir à elle et constata la situation, elle était dénudée face à Fersen.
Fersen qui avait alors remarqué sa nudité et donc qu’elle était une femme dit « Mon cher Oscar, je comprend mieux à présent le regard si doux, attentionner et amoureux qu’André porte sur vous…vous vous aimez !
Tenez prenez ma veste je vais appeler un carrosse qui va vous raccompagner en votre demeure.
Ayez confiance, je sais que mon secret et bien garder, je verrais de même avec le votre, sachez que personne ne serra de ma bouche que vous êtes une femme pas même Marie-Antoinette.
Je vous admire Oscar, mon amie.
Veuillez m’excusez mais ma Reine doit s’inquièté. »
Sur ces mots il parti.
Oscar retourna à la demeure des Jarjayes elle ne pouvait s’empêcher de pensé à ce que Fersen avait dit …. « Je comprend mieux à présent le regard si doux, attentionner et amoureux qu’André porte sur vous…vous vous aimez ! »... Et la phrase d’André revenait sans cesse dans sa mémoire…. « Pourquoi souffre-t-on par amour ? »
André serait il amoureux de moi ? Lui que je considère comme un frère depuis toujours ?? Et ce qu’il m’a fait comment lui pardonner ? Il aurait pu me tuer l’autre soir de plus par sa faute je doit faire face a de nouveau problème …ces transformation……comment les contrôler ?....en y réfléchissant grâce à ces nouvelles capacité plus personne ne doutera de ma condition d’homme, je possède une telle force à présent ! Je ne sais pas si je pourrais toujours vivre avec ce poids, ce duel du bien et du mal, de l’humanité et de la bestialité en moi cela parait si dur.
Oscar sorti de ses pensées quand quelqu’un frappa à la porte de sa chambre. C’était André
« Oscar !? Le dîner est servi. »
Oscar avait pour la première fois remarqué qu’il y avait de la tristesse dans la voix d’André elle lui répondis sans même ouvrir la porte « C’est inutile de m’attendre je n’est pas faim !! »
Oscar ne savait pas quoi faire, tous se bousculer dans sa tête André, Fersen, Marie-Antoinette, Garde Royal……
Quand tout à coup ce fut comme une évidence pour elle, elle ne pourrait plus protéger Marie-Antoinette qui ne trouver son bonheur quand présence de Fersen d’ailleurs Marie-Antoinette voulait elle qu’on la protége, elle afficher ses sentiment pour le suédois aux yeux de tous,elle ne prenait pas son rôle de Reine à cœur !Oscar décida donc de quitter la Garde Royal et pour ce faire elle demanda une audience officiel avec la Reine.
Marie-Antoinette « Et bien Oscar que de formalité !! Qu’y a-t-il pour que vous me demandiez une audience officielle ? Rien de grave j’espère ! »
Oscar « Majesté je vous demande de bien vouloir me relever de mes fonction de Colonel de la Garde Royal. »
Marie-Antoinette « Mais comment Oscar !! Vous voulez m’abandonner ? Me laisser seule face à cette Cours qui me méprise ! Oh mon Cher Oscar il n’y a qu’a vous que je peut me confier… que verrai-je si vous êtes loin de moi ? Pourquoi vouloir me quitter ? »
Oscar « Je ne peux Madame expliquer cette démarche et sachez que j’accepterais n’importe quel autre poste que vous voudrez bien me confier. »
Marie-A « Mais Oscar dite moi pourquoi, je vous le demande. Cette requête me choque et telle que vous me voyez mon cœur se brise à l’idée de vous avoir loin de moi. Oh Oscar, mon Oscar, mon seul Oscar …. Pourquoi serai-ce que vous avez trouvé l’amour ? » Les yeux de Marie-Antoinette étaient mouillés par les larmes Oscar ressenti pour la premier fois les sentiments de Marie-Antoinette à son égard.
Oscar «Non Majesté, je ne peut aimer mais sachez que si la nature me l’avait permis je vous aimerais comme nul homme ne pourrait aimer une femme. Cependant ceci ne concerne en rien ma requête. »
M-Antoinette ne comprenait pas …. « Comment ça Oscar qu’entendez vous par si la nature me l’avais permis ?? »
Oscar « Et bien votre Majesté vous ne le savez pas mais mon père et le Roi Louis XV avaient conclu ensemble que le Capitaine de la Garde, poste que j’occupais à votre arrivé en France devait être capable de manier les armes autant que l’élégance, il m’a fallu pour arrivé au poste de Capitaine de la Garde vaincre Mr de Girodelle en duel. De ce fait bien que ma nature de femme me l’interdise le Roi consentit à me laisser accéder à ce poste puisque personne or mis le Roi et ma famille ne connaissait ma vraie nature. »
M-Antoinette était plus que choquée « Comment Oscar vous … vous êtes un femme !! ??
Je comprends mieux à présent pourquoi vous n’êtes pas comme les autres courtisans, pourquoi vous ne dansiez avec personne !!! »
Oscar « Je vous prie Madame de bien vouloir accéder à ma requête, il m’est aujourd’hui bien trop difficile de continuer à vous mentir quant à ma nature. »
Il y eut un long silence, puis Marie-Antoinette parla :
« Oscar, je refuse. Vous devez continué à me protéger comme vous le faite depuis toujours. »
Oscar « Majesté de vous prie de bien vouloir réfléchir. Monsieur le conte de Girodelle est plus apte que moi pour cette tache d’ailleurs, je ne peux plus assurez mon service auprès de vous car…… je suis malade. » Oscar pensait à ce nouveau secret, elle ne savait pas si elle pourrai contrôler ses transformations devant ces Nobles qu’elle commençait de plus en plus à mépriser.
Marie Antoinette était résolu a gardé Oscar auprès d’elle « Bien dans ce cas je vous accorde un congés d’un mois pour vous remettre. Après quoi vous réintégrerai vos fonctions entend que Colonel de la Garde Royal. Il ne peut en être autrement ! Considérais ceci comme un ordre Royal !»
Oscar « A vos ordre Majesté. »
Oscar sorti…. Et malgré elle entendit Marie Antoinette qui pensait tous haut : Oh mon cher Oscar quel aveu vous venez de me faire, vous une femme… comme j’aurais aimer mener votre vie. Mais pourquoi veux-t-il m’abandonner ??.....Peut être parce que je ne tiens jamais compte de ses conseils……Et si il, oh c’est vrai…ELLE… si elle avait raison, si le peuple me commencer a me haïr, je court à ma perte…… je joue l’avenir de la France……Dorénavant je suivrais tous les conseils d’Oscar.
Oscar avait compris qu’elle ne pourrait quitter sa place à la Cour il lui fallait donc maîtriser ses nouveau sens. Elle décida donc d’aller consulter André.
Celui-ci était au écurie lorsque Oscar arriva, elle stoppa sa course avant d’entré dans le domaine afin de réfléchir à ce qui venait de ce passait quand elle surpris André qui semblait parler à quelqu’un………. Tu sais tu en à toi de la chance de ne pas connaître cette douleur qu’est l’amour……Oscar ne m’aimera jamais, je ne suis qu’un roturier, un rien ! André sangloter à présent… Oh mon Dieu pourquoi ai-je tant de souffrance et tant d’amour……pour moi chaque jour est une torture, la voir si prés de moi, si belle, je pourrai la toucher, senti son doux parfum mais je ne peut elle est à quelque centimètre et pourtant il semble y avoir un océan entre nous…… et elle qui me considère comme………oh j’aimerais tellement qu’elle m’aime même si ce n’est qu’un peu……peut être faut il que parte loin d’ici pour ne plus souffrir……..et toi qu’en dit tu ??? Oui je pense que c’est la seule solution !! mais est ce que je serais capable de partir loin d’elle ??
Oscar n’en revenait pas André envisageait de partir, de la laissait seule….elle entra dans l’ecurie.
Oscar « Bonjour André ! »
André « Oh, c’est toi Oscar !! Bonjour. Comment va tu ?? »
Oscar « André … il faut que nous parlions, tu doit m’apprendre comment gérer ma nouvelle….condition. »
André « Comment mais pourquoi ?? Il te suffi de ma tuer pour que tous redevienne normal !! »
Oscar « ANDRE !! COMMENT OSE TU PENSER CELA !!! Comment ose tu penser que je pourrais te tuer !!! Toi !! Toi que je considère comme …….en disant cela Oscar pensa « comment est ce que je le considère, comme un ami, un frère ? Non c’est plus que cela c’est comme ci il était ma moitié, je ne suis rien sans lui…je me sens faible sans lui……. » »
André arracha Oscar à sa pensé « Je sais bien comment tu me considère, comme un domestique !!! »
Oscar était surprise qu’André pense ça d’elle mais elle le comprenait elle ne lui montrer aucun sentiments de peur que quelqu’un s’en aperçoive, elle lui répondis : « Ah oui !! Et pense tu que je verrai cela à un domestique ?? »
Elle s’approcha d’André et l’embrassa passionnément.
André resta stupéfait.Il savait qu’Oscar ne le considérait pas comme un domestique mais il avait voulu que celle-ci lui avoue qu’elle le considérait comme un ami, un frère. Il ne s’attendait pas du tout à une telle réaction de la part d’Oscar.
Après quelque minute de silence, qui permis à Oscar de reprendre ses esprits elle dit : « Bien André j’ai un congés d’un mois, il faut que m’en apprenne plus sur ma nouvelle nature, je n’arrive pas à contrôler ses ….métamorphose… et bien que je lui en est fait la demande, la Reine refuse de m’accorder un autre poste que celui que j’occupe.
Il y a une grande forêt près de notre demeure à Arras, prépare nos affaires nous partons demain et ce pour une durée d’un mois, ne dit à personne où nous partons je prétendrais être en mission. »
André n’eu pas le temps de répondre, il était encor sous le choque de ce baiser. Quand il répondit « Entendu Oscar » celle-ci était déjà dans la demeure des Jarjayes.
André n’en revenait pas Oscar venait de l’embrasser !! Il croyait rêver, il se dirigeât vers la maison et marcha sur la fourche qui se trouvé sur le sol, le manche se releva et lui frappa la tête « AIE !! Au moins je suis sur que ce n’est pas un rêve !! »
Le lendemain ils partirent pour Arras. Arrivé sur place la leçon commença.
André « Bien Oscar j’ai fini de monter toutes tes affaires, nous pouvons commencer l’apprentissage de tes nouvelles……capacités. Que veux tu savoir ? »
Oscar « Et bien André je veux tous savoir ! »
André « Et bien c’est entendu. Les origines du mythe du loup-garou, la possibilité pour un être humain de se transformer en loup ou en hybride mi hommes mi loups, n'ont jamais été clairement démontrées : elles sont pourtant…. »
Oscar « André je t’arrête tout de suite je ne veux pas un cours d’histoire ou de mythologie, je souhaite savoir par exemple comment contrôler les métamorphose. »
André « Oh !
Et bien c’est très simple c’est toi qui décide de tous ! »
Oscar « André soit plus clair je ne control pas du tout ces transformation, je ne décide rien, elle arrive et c’est tous ! »
André « Non Oscar comme tu le fait depuis des années en disant cela tu te mens à toi-même, les transformation ne sont que l’extériorisation de tes propres sentiments, ce que tu t’applique a si bien cachés depuis des années.Mais attention pas n’importe quel sentiments, la colère et la mélancolie sont les plus important mais il y a aussi l’amour, le désespoir…
A chaque fois que tes sentiments sont forts la Bête qui est en toi se réveille et cherche à prendre le dessus pour exécuter ce que toi tu refoule, me comprends tu ?? »
Oscar « Oui je comprend mais comment faire pour que la …. Bête ne prenne pas le contrôle ?? »
André « C’est simple Oscar il faut t’avouer à toi-même se sentiment et agir de façon à être en harmonie avec ton esprit. Mais tu peux aussi de choisir de te transformer… »
Oscar « Ah mais qui pourrai vouloir, volontairement être ces bêtes hideuse et poilu ?? »
André « Tu dit cela car tu n’as jamais vu une transformation totale ma chère Oscar ! »
Oscar « Oh oui j’imagine qui a-t-il de plus des plumes et des ailes peut être ?? »
André voulait prouver a Oscar que la transformation total était quelque chose merveilleux. Mais pour arriver à une transformation total il devait éprouver un sentiment d’une grande pureté c’est alors qu’il dit « Et bien Oscar il est évident que tu souhaite voir à quoi cela ressemble… c’est simple regarde moi, s’il te plait regarde moi dans les yeux et je te montrer ce que nous sommes vraiment devenu en étant loup- garou ! »
La curiosité d’Oscar grandi et elle s’exécuta, elle regardé André dans les yeux, ils étaient proche, si proche qu’ils pouvaient sentir le souffle de l’autre sur leur visage. Quand au bout de quelques minutes André brisa le silence « Oscar ne dit rien…ne fait rien… »
André s’éloigna d’Oscar de quelque pas toute en la regardant… et la transformation commença, André tomba à genou sur le sol il ne semblait pas souffrir, la nuit commencer à tomber. Il mit les bras sur le sol ses mais s’agrandir ainsi que ses pieds, ses vêtement ce déchirèrent complètement un poil noir épais commencer à recouvrir son corps… Oscar détourna son regard quelque instant et quand elle regarda à nouveau André il n’était plus là mais à la place il y avait un Loup noir magnifique, il avait la carrure d’un lion et l’allure d’un animal mythique, il était splendide et Oscar était émerveillé par tant de beauté et de présences, elle est resté bouche bée.
Le loup s’approcha et d’Oscar celle-ci se baisa et reconnu les yeux émeraude qu’elle connaissait bien, ceux d’André.
Oscar « Oh mon André c’est magnifique…mais comment est ce possible ?? Quand nous sommes mi-homme mi-loup nous sommes si ….laid et nous pouvons être si magnifique !! »
André ne pouvait s’exprimer par la parole sous cette forme mais il communiquer par la pensée…Oscar …tu as dit mon André !!....merci…. à présent je vais reprendre ma forme humaine.
Oscar « Non André attend je veux que tu me dise comment devenir ….comme ça maintenant ! »
André « Il faut te concentré, il fait que tu soit animé par un sentiment très fort. »
Oscar se concentra, elle pensa à Marie – Antoinette mais rien ne se passa… elle posa son regard sur André, elle se concentra…elle songea au trouble et au plaisir qu’elle avait ressenti en l’embrassant… et en quelque seconde elle senti que des changements s’opéré en elle et se fut comme instinctif, elle se mis a genou et se transforma en loup… et quel loup à la différence d’André Oscar pris la forme d’un somptueux loup blanc.
André « Et bien ma Chère oscar tu es magnifique… veux tu que l’on visite ce bois comme jamais nous ne l’avons fait… nous pourrons même passer dans Arras personne ne nous reconnaîtra. »
Oscar « Bien je suis d’accord André, je suis sur que je suis toujours plus rapide que toi !! » et elle parti en courrant. |