Auteur : dddamuur Hits : 8221
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HOTscar

La soirée était donnée au château de Mirabeau, où les nobles se plaisaient à s'amuser de toutes les manières possibles. Oscar avait été conviée car très convoitée pour son élégance et avait finalement accepté. Elle désirait surtout éviter une réunion politique de l'Ambassadeur d'Autriche bien ennuyeuse. Son père lui avait demandé de le représenter pour rester informer sur les enjeux stratégiques qui unissaient les deux pays. Elle s'était fait un plaisir de refuser et de pouvoir ainsi défier un peu celui qui avait scellé son destin.

André avait suivi Oscar comme à l'accoutumée. Cependant, il n'avait pas accès à toute la réception et il attendait Oscar patiemment dans une chambre réaménagée en salon pour la circonstance.
André se reposait dans ce salon, il occupait un canapé qui faisait face au lit déplacé, pour pouvoir loger les trois canapés destinés au repos des invités. André sentit soudain un parfum étrange émanant de la porte. L'espace d'un instant, il fut pris de vertiges, mais l'effet s'estompa rapidement alors que le parfum se faisait moins prégnant. Il entendit des pas s'approchant, accompagnés de rires. Il reconnut parmi ces rires celui d'Oscar.

Oscar: Vous êtes charmantes mesdemoiselles mais je ne connais pas vos noms
Première courtisane: Voyons jouez le jeu colonnel, pourquoi croyez vous que je porte ce masque bleu, vous n'obtiendrez de nous que des pseudonymes. Le mien est Anon, gardienne des plaisirs cachés et chantre de la volupté.
Oscar: hmmm,tout un programme... Et vous très chère ?
Deuxième courtisane: Quant à moi, je suis Rozam muse de la sensualité et déesse de la caresse, et mon masque rouge, représente le désir ardent qui consume mon être.
Oscar avec le sourire: Eh bien je suis en bonne compagnie...

Oscar parut bientôt dans la pièce. Il n'était pas seul. A son bras gauche une superbe courtisane qui devait être Anon, à en juger par son masque bleu, et à son bras droit une autre courtisane d'une beauté subjuguante qui devait être Rozam.
Andre connaissait le succès d'Oscar auprès des courtisanes, mais pourquoi Oscar jouait-il le séducteur, ce n'était pas dans ses habitudes. Trop c'en était trop, Anon embrassa fougueusement Oscar et le tira rapidement vers le lit. Rozam profita du manège de la première pour commencer à dévêtir Oscar. André se dit que tout ce petit jeu aller rapidement cesser lorsqu'elles découvriraient la vraie nature d'Oscar. Tandis que le baiser continuait de plus belle et qu'à sa grande stupeur Oscar semblait y prendre goût, Rozam libéra la délicate poitrine d'Oscar. Ah ! Ah ! pensait André, ce petit manège va enfin prendre fin...Mais non... ce n'était pas possible... passée la surprise de la révélation, Rozam retira délicatement le bas et entrepris de langoureux baisés sur les seins d'Oscar...André avait beau être troublé par le caractère extrêmement sensuel et érotique du tableau qui se présentait à ses yeux, il ne pouvait pas voir se perdre son Oscar dans d'aussi sulfureuses liaisons. Lasse de se contenter de la poitrine d'Oscar, Rozam glissa lentement ses mains le long des douces cuisses d'Oscar et petit à petit, par de subtils mouvements, parvint à faire vibrer le plus profond de son intimité. Anon abandonna temporairement Oscar et commença un sensuel effeuillage. André, qui pourtant n'avait d'yeux que pour Oscar, fut troublé par les formes généreuses qui s'offraient progressivement à son regard. André ne pouvait que reconnaître l'esthétique de la jeune femme, même s'il se servait un peu de ces considérations esthétiques comme excuses. La jeune femme se dévêtit complètement et commença à caresser les cheveux d'Oscar. André n'avait jamais vu Oscar aussi détendue, elle s'abandonnait totalement à ces délicieux massages. Un instant, juste un bref petit instant, le regard d'André revint sur la jeune courtisane qui faisait glisser sur son corps de muse les longs cheveux blonds d'Oscar. Les cheveux effleuraient sa poitrine puis glissaient le long de ses hanches, laissant entrevoir son fruit défendu, pour lesquels bien des hommes envieraient la situation d'André.

Soudain le regard d'Oscar le fixa et il crut déceler une réaction. Oscar revenait à elle, elle avait dû être victime d'un quelconque philtre qui avait perverti sa raison. « Mesdemoiselles, il me semble que nous avons laissé ce pauvre jeune homme dans son coin bien trop longtemps... »
C'est alors qu'Oscar, toujours accompagnée de prés s'avança vers André et l'embrassa langoureusement. André ne put résister et s'abandonna au baiser de sa bien aimée. Mais soudain il se rendit compte que les courtisanes entreprenaient des caresses très intimes. Il se retrouvait écartelé entre ce flot de désir incontrôlable que lui procurait l'idée de subir les assauts de ses trois nymphes et son amour fidèle pour Oscar. Les caresses se précisaient et le plaisir montait...

Oscar : Mesdemoiselles veuillez immobiliser ce vaurien...je vais en faire mon affaire...

Anon et Rozam retinrent chacune un bras d'André de telle sorte que celui-ci se trouva dans l'incapacité de fuir ce traquenard charnel.
Oscar se libéra de ses derniers vêtements et poursuivit les caresses entamées par les courtisanes.
André était tellement ébahi par ce qui lui arrivait, qu'Anon et Rozam n'avaient quasiment rien à faire pour lui maintenir les mains. Elles profitèrent de ce manque de résistance pour voler à Oscar quelques caresses...
Oscar ne s'apercevait pas du vol de ses comparses. Elle était concentrée sur son objectif. Elle arracha d'un geste conquérant la chemise d'André. Elle approcha lentement son visage de celui d'André, effleura ses lèvres et amorça un lent survol de sa proie. « Je sais ce que tu veux...petit chenapan... » elle descendit lentement le long du torse musclé d'André et commença à lui ôter avec délicatesse son pantalon. Elle en profita pour masser ses fesses et ne put s'empêcher d'en pincer une pour faire réagir son futur amant. Une fois André mis à nu, elle s'approcha sensuellement de son sexe...
André se dit qu'il avait toujours désiré Oscar...Il avait maintes fois rêvé leurs ébats, mais que les choses se passent de la sorte...
Alors qu'André commençait à sentir la chaleur du souffle d'Oscar sur son extrémité la plus sensible, elle se redressa brusquement et lui dit « Mais tu ne l'auras pas si facilement petit chenapan »
Elle commença à faire aller et venir le bout de ses seins sur le torse d'André, en lui donnant des petits baisers sur les flancs. Par moment, André sentait même sa langue humide et chaude parcourir son corps. Oscar explorait presque chaque recoin de son anatomie, et sentait le bouillonnement du corps d'André qui ne demandait plus qu'à la satisfaire. André tenta de se dégager pour l'embrasser, mais elle l'esquiva habilement. Elle revint près de son oreille et lui murmura : « Patience... ». André sentit soudain qu'une langue experte le solliciter, puis une deuxième... Chacun des mouvements de ce ballet lingual procurait à André un plaisir toujours plus intense...
Oscar: Mesdemoiselles un peu de tenue, je vous ai dit que ce vaurien était à moi...
Anon: Mais comment faîtes vous pour lui résister aussi longtemps...c'est inhumain de nous allécher comme cela... il a un corps de rêve...
Rosam: Si vous ne vous en occupez pas rapidement nous ne répondons de rien...
Ce petit jeu avait duré trop de temps... Oscar ne put retenir son désir plus longtemps. Elle s'offrit à André.
Le plaisir était plus intense à chaque va et vient et le couple vibrait à l'unisson...Les incertitudes d'André s'envolait...

Oscar : André! André! Tu t'es encore assoupi ?
André : De quoi ? Je t'attendais justement je suis fin prêt !

André s'était réveillé en sursaut. A peine eut-il le temps de réaliser que cet épisode torride, qu'il venait de vivre était le fruit de ses fantasmes secrets, qu'il réalisa qu'Oscar en avait enfin terminé avec sa réception et qu'ils allaient pouvoir regagner le château de JarJayes.

Oscar: Ton rêve semblait agréable ?
André: Comment ça ?
Oscar: Ne me racontes pas de sornettes, jamais je ne t'ai vu avec un air aussi béat. Serait-ce cette Aerine que nous avons rencontré chez Dame Mathilde qui t'a fait tourné la tête, ou as-tu encore fantasmé sur les bons petits plats de Cindy, notre nouvelle cuisinière...
André: Tu sais combien je suis gourmand Oscar...
Oscar: Je m'en doutais, tu es resté un petit chenapan...

[note de l'auteur: toute ressemblance avec des personnages réels serait fortuite]
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