Auteur : georges Hits : 906
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Si vous avez choisi ce fic en vous disant "ça a l'air drôle je vais me marrer", retournez tt de suite à la page précédente car je suis au regret de vous annoncer qu'ici commence la liste des dézatreuuh déboires de lady oscar!

Tous les matins, c'est en désastre que Lady O. se lève, et manque chaque
fois de succomber face à son propre reflet...Voici la triste histoire d'une noble dame claviciée.
Lady O. la malheureuse n'a qu'une consolation ds la vie: son idole Jean Claude Vandamme. Alors pour avoir la positive attitioude, elle se dit qu'elle doit être euwouère, que ça pourrait aller plus bade que ça!
Seulement c un peu dur quand après avoir vu son atroce réflection, parvient
jusqu'à ses narines l'horrible odeur de ses pantoufles. Hé oui Lady O. (souhaitant garder l'anonymat) vit un enfer que les équipes de 7 à 8 ont suivi pr les montrer au grand jour!
En effet, la pauvre pauvre pauvre Lady O. souffre de champignos plantaires
de type odorificateurs. A cause de cela, son enfance ne fut pas facile.

Petite, en raison de ses odeurs malsaines, Lady O. n'avait aucun ami, si ce
n'est Polyn, son amie imaginaire à la crinière roussifiée. Mais L. O. ne
parvenait pas à la supporter, en raison de ses attitudes repoussatoires
(blagues pas drôles, exclamations inoportunes, soupirs affligeants),
décidément, Polyn en faisait vraiment trop!

C'est alors que lui était venu en tête l'idée stupide de se révolter... En
effet, un bô jour de printemps (à moins que ce ne fut en décembre...?) la
petite Lady O. monta fièrement sur une table de la cours de récréation,
brandissant un baton, telle une épée réservée aux rois, sortie tout droit d'un rocher magique (tiens, ça me rappelle quelque chose...) et dit "JE ME REVOLTE!". Sur quoi, tous les enfants se mirent à rire (il faut avouer que c'était drôle) et la pauvre pauvre pauvre petite L. O. s'enfuit en courrant aussi loin qu'elle le pu.

En cours de route, elle encontra Fraudons, un nain homosexuel obsédé par
les bagues..., et Chelou Baka, un pauvre type recouvert de poils qui
poussait sans arrêt des cris bizares...

La petite fille fût très traumathisée, à tel point que, pour cacher sa
peine, elle décida en grandissant de " s'la péter grav' ". Elle se décolora
donc en blonde à l'âge de 15 ans, et découvert le merveilleux univers des
bigoudis un an plus tard.
Mais cela ne suffisait pas! Il FALLAIT qu'elle
montre son marginalisme (ouais, enfin, son côté rebelle quoi). Elle sorti
avec un chasseur de primes aux cheveux longs chevauchant une belle moto
noire et étant activement recherché par la police, soupçonné du meurtre de sa femme.
Mais leur relation prit fin environ 1min et 30 seconde après qu'ils soient entrés dans la chambre d'un motel sordide pour faire "la chose", au moment ou elle enleva ses chaussures...

Cette fois, c'en était trop! "J'PETE UN CABLE!!!"(la télé collabo) s'était-elle exclamé, délaissée, à moitier nue au milieu de cette chambre où la seule présence compatissante était celle des caffards et des mouches encore à
demi-vivantes, collée sur le rubant "papier tue mouche" à 2 euros 60 au
magasin du coin.

Retour à ce terrible matin où Lady o. fût agressée par son image miroitée.

Lady O. doit être très courageuse car maintenant il faut qu'elle s'habille!
S'habiller pr cette pauvre c... euh je veux dire cette pauvre femme signifie affronter des dangers mortels:
Les attaques au gaz toxique des chaussettes,
La superhonte du pantalon qui peut craquer à tt moment entre les jambes
Et les chemises avec leurs boutons piégés (yen a tellement qu'on se trompe et qu'on doit recommencer du debut).
Cette fois malgrè sa prudence, Lady o. se coinça les doigts ds le tiroir de sa p%*@#& de commode aux jointures métallisées (mais qui a eu une idée pareille!).
La main ensanglantée, les poumons intoxiqués, les yeux éclatés et le corps couvert de petits bouts de métal doré (résidu des boutons agressationneurs), Lady o. se traîna hors de sa chambre en rampant sur le sol à l'aide de ses ongles sur le parquet, en émettant des gémissements et des halètements désespérés.
Au milieu du vestibule, horreur, un de ses ongles lâche! Elle n'en a plus que 9 pr arriver jusqu'à la cuisine où non seulement ya plein d'appareils dangereux (le grille pain mitrailleur de tartines, le frigo qui fuit et qui fait des flaques ds lesquelles on glisse et le four très profond ds lequel on reste coincé qd on essaie de le nettoyer) mais en plus c le territoire de paf le chien qui urine sur tout ce qui ne porte pas son odeur.
Lady o. en plus, est désavantagée car déjà au sol. S'aidant d'une chaise elle essaie désespéremment de se redresser mais elle a pris la chaise préférée des termites de la maison. Ce qui arriva par la suite se résume par un grand SCHMEÛMBLAMGUE!

-Ooh un champ de blé! oooh des pitits zoiseaux! ooooooooh un épouvantail borgne... oh mais... mais il me parle... qu'est-ce qu'il dit?
-Réveille-toi! Réveille-toi O. ! (voix d'homme)
-Méchant épouvantail!! ta gueule!
- ...
-Oh des pitits lapinous!
-O.! (Voix d'homme très très en rogne!)
-Mais-luy hune tarteu! (voix de fille)
CCCCCCCCCCCCLLLLLLLLLLLLLLAAAAAAAAACCCCCCCCCCCCCCCKKKKKKKKKK
-AAAAAh keskisspasse! Oùjsui? Les lapins....

En face d'elle se dressent 2 effroyables visions d'horreur:
Dédé le pâté (andré) et Roro l'escargot (Rosalie).

-T'as vu le boucan ktu fais à 3h du mat'!!
-C pas m'a faute si on m'oblige à commencer à 3h01 pasquon m'a refilé le poste le plus pourri de la garde royale!
-P"¤£$#@& tu vas me respecter, connasse! T'as vu com tu m'parle!
-voué Dédais, kaçe luy là gueulle! Aile cera peux taître mieuh a reuhguardé apprait!
-Ta gueule roro c pas une femme qui doit me dire ce que je dois faire!
-Mizojinne!
-utilise pas des mots que tu sais pas écrire!

O. pdt ce tps-là réussit à quitter la pièce sans être remarquée et partit au travail le ventre creux (ça ne peut pas lui faire de mal de maigrir!)
Seulement conne com elle est, elle oublia qu'aujourd'hui c'était dimanche et que donc elle ne travaillait pas! Folle de désespoir, elle errait com une perdue au milieu de la décharge Nord ouest de Versailles. Tout à coup elle vit une monstrueuse silhouette s'avancer vers elle! Horreur! Polyn!
Elle venait gratter l'amitié en souvenir du bon vieux tps.

-Oh non c pas vrai! Ce n'est pas réel, ce n'est pas réel, ce n'est pas....
-Salut o.!
-Tu n'es pas réelle! VADE RETRO POUFFIASSE!
-Mais enfin o. tu es ma meilleure amie! Tu ne te débarassera jamais de moi! Jamais!!.... HAHAHAHHA (rire démoniaque!)

Horrifiée la pauvre o. s'enfuit aussi vite qu'elle le pût, courant à grande enjambées, sans plus savoir vers où elle allait. Au bout de 2h51( question d'entraînement... et d'adrélanine... euh adrénaline) O. finit par s'écrouler sur le sol. Là elle vit qu'elle se trouvait au milieu d'une forêt dense et sombre.... le hululement d'une chouette se fît entendre, résonnant ds le creux des arbres aux visages terrifiants, sous la lueur de la lune (com ds Blange Neiche).
O. hurla. Pas parce qu'elle avait peur, mais parce qu'elle s'était assise sur une fourmilière.
On raconte de terribles histoires sur cette forêt. Il paraît que ce serait le repère du terrible violeur polymorphe, le robin noir... euh non le Masque de Zorro...euh le Zorro des bois...ah non,ça y est: le Masque Noir.
D'ailleurs, ses pas se firent entendre.
Tout de suite, O. reprit ses jambes à son cou (expression stupide car comme l'a prouvé Yaya on ne court pas plus vite si l'on met ses jambes autour de son cou), moins vite qu'avec Polyn, mais quand même. Précaution tout à fait inutile car le Masque Noir ne s'intéressait guère aux gros thons.

O. courrut jusqu'à atteindre un océan. Puis, comme elle trouvait qu'elle n'avait pas assez couru, elle parti dans l'autre sens et trouva un autre océan. Plein de gens la suivirent parce que courir pour rien ça en jette et O. vécu 3 ans avec des cons à ses trousses. Fatiguée, elle fini finalement par retrouver sa maison.
Dédé en la voyant lui sauta dessu: courir pendant 3 ans avait fait d'elle une créature de rêve et Dédé voulait impulsivement la violer. Déçue d'avoir échapé à un violeur pour tomber sur un autre, O. se dit que finalement au moins elle aurait un chéri et le laissa faire.

Dédé lui sauta donc sauvagement dessu, à peine avait-elle franchi la grille de jardin.
Tout se mit à ralentir. Tous deux se retrouvèrent à rouler joyeusement dans l'herbe, sur un air de violon, alors que tous les papillons virevoltaient au dessu d'eux. Il y eu ensuite une pluie de pétales de roses et on vit dans le ciel bleu des vêtements s'envoler, jetés dans la fureur de la passion amoureuse.
Alors que les deux amants se retrouvèrent nus, couchés l'un sur l'autre, O. réalisa qu'elle était en train de vivre le plus beau instant de sa vie, que c'était même encore mieux que de se gaver de gauffres au chocolat saupoudrées de sucre glace.

Seulement, cela ne dura pas. Elle découvrit que Dédé avait une ENORME preuve de sa virilité et que donc ça allait faire très mal. Elle eu si peur que ses règles arrivèrent avec 3 mois d'avance.
Elle avait terriblement mal au ventre mais Dédé était lancé et s'en foutait.
Ce fut donc une nuit sanglante (en les lucioles censureuses lancèrent une offensive moraliste et O. se prit tout les coups!).

On ne sait pourquoi, le lendemain pour se venger elle eût encore envie de se révolter.
Mais cette fois, on ne se moqua pas d'elle car tous les gens avaient eu la même idée.
Dédé vînt avec elle à Paris, parce qu'il avait envie de l'avoir sous la main pour assouvir ses appétits sexuels (pasque Roro elle, elle mord quand elle suce!)

aheum...reprenons-nous...
Lorsqu'ils arrivèrent à Paris, Dédé ne ressemblait plus à rien à grand chose à cause des coups répétés de louche pour réfréner ses ardeurs et pulsions animales.
Puis, en déscendant de la calèche qui les y avait menés, Dédé dans une dernière tentative reçut contre toute espérance (mais à force il avait fini pas s'en douter!) un coup de genoux énergique et ferme dans les parties sensibles.
O., de son côté, se déboîta le genou dans cette action de défence légitîmeuse. Ce ne fût pas le seul regrès qu'elle eût, car ce con de Dédé eut la bonne idée de se faire décapiter par une balle de baseball!
O. pleura toutes les (a)larmes de son corps et décidant de se révolter encore plus, elle alla kassationner la Bastille.

"Quel est le CONNARD qui as jeté cette balle???!! "

Evidemment, personne ne répondit, face à cette furie armée d'un canon à quadruple propultion atomique (acheté au Japon lors de son séjour à Disney World).

" Fuck la monarchie!"

Sur ce, elle tira sans hésiter une première fois sur le rez-de-chaussé qui s'écroula bruyament sur la foule hurlante d'hystériques apeurés.
Constatant qu'elle apréciait particulièrement le sentiment de toute puissance et de sadisme que cela lui procurait, elle décida de continuer quoi qu'il arrive, car elle n'attendait plus rien de cette vie où la seule personne encore vivante qui semblait l'aprécier était celle qu'elle voulait le plus fuir: Polyn.

Elle continua donc, lorsque les hommes d'arme se positionnairent en riposte.
Elle continua toujours lorsqu'ils tirèrent à leur tour.
Et elle continua encore lorsque les tirs l'atteignirent. Quoi qu'il arrive.
Au bout de seulement quelques minutes, criblée de balles, elle finit par s'effondrer sur le sol, incapable de regarder une dernière fois la lumière du jour, car à ses larmes s'était mélangé son sang.
Son sang presque totalement absent de ses veines à présent.

Enfin, dans un dernier souffle, c'est sans regrès qu'elle s'éteignit,
(car elle voyait dans une flaque de sang le reflet de son nez toujours aussi moche.)


FIN.
Review les dézastreuuh déboires de Lady Oscar


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