Sauvetage
André est mort et Oscar s’attaque à la bastille.
-FEU !!
BAOUM
-FEU !!
BAOUM
-Visez leur commandant et ne le ratez pas !
-Soldats !Couvrez les citoyens quand ils rentreront dans la bastille !
Rafale de balles
-EH ! LACHEZ-MOI !!
-Oscar…mpf…cessez de bouger. ALAIN DE SOISSON !
-Oui !
-Prenez le commandement !
-Bien général !
-Mais lâchez-moi ! Hurla Oscar en se débattant.
Mais qui était cet homme qui essayait de l’éloigné des balles ? Qui, venait de la sauvé ? Elle qui depuis la mort d’André ne tenait plus à la vie.
-Tenez-vous tranquille Oscar !
-Lâchez-moi ! Hurla de plus bel Oscar.
L’homme la déposa à terre et la gifla. Oscar resta stupéfaite en découvrant l’homme qui tentait coûte que coûte de la sauver.
-Allez-vous vous tenir tranquille ?!
-Rattrapez-les ! Ce sont des rebelles !
Le général de Jarjaye entraîna sa fille vers une carosse non-loin.
-Non ! Laissez les me tuer !
Le général se retourna et la tira par le bras dans une course effrénée.
-Non !Je n’ai plus de raison de vivre. André est …
-Vivant alors courez !
-Non… c’est vrai ?
-Oui ! Alors cour…
Oscar avait brusquement dépassé son père, qui ne l’avait pas lâchée, et vola plus qu’elle ne couru. Leur course fut si rapide qu’ils avaient semé les gardes à leur trousse.
-André ! Furent les premier mots d’Oscar, à peine essoufflée, en ouvrant la porte du carosse.
-Il dort. Répondit une voix calme
-Docteur Lassonne ?!
-Vous comptez prendre racine Oscar ? Montez ! Dit le général en poussant sa fille .
Cocher en avant !
-Bien monsieur !
-André !
Rassurez-vous, il va bien. Votre père aurait fait un excellent chirurgien, il a enlevé la balle alors qu’elle était à un endroit critique. S’il avait tremblé ou dévié, André serait mort.
-Est-ce vrai père ?
-Pas tout à fait. Ta mère à aussi joué un rôle la dedans : Elle a tenu André pendant que j’enlevais la balle.
Oscar sauta au cou de ses parents et les serras si fort qu’ils crurent mourir étranglé.
-Je vous remercie, docteur Lassonne, de nous accompagner. Dit le général après avoir repris son souffle.
-C’est moi qui suis heureux de pouvoir vous aider.
Le voyage se déroula sans problème, La famille arriva sans encombre au sud de la France, meilleur endroit pour soigner André, Oscar et grand-mère, affaiblie par tous les événements.
Les années s’écoulèrent :
-André !Marie !Frédéric !
Venez manger !
-Oui chérie !
-Oui maman !
La famille se réunit autour d’une table sur la terrasse d’une petite maison du bord de mer.
-Bonjour les Grandier !
-Grand-père ! Grand-mère ! S’écrièrent les enfants en apercevant les parents d’Oscar et en allant se jeter à leur cou.
-Venez partager notre repas.
-Avec plaisir Oscar.
Nous allons laisser là l’heureuse famille. Grand-mère ? Elle est morte grand-mère, un an après l’arrivée au sud, soit quand Frédéric avait un an.
FIN |