Auteur : oscar Hits : 1142
Lady Oscar > Drame > Pardon >
Pardon


Pardon Oscar, pardon mon enfant, pardon ma fille. Jamais je ne serai digne d'être votre père et pourtant comme j'aimerai l'être. Vous êtes tellement pour ne pas dire tout pour moi. Vous êtes celle qui en me défiant sans cesse me pousse à l'aimer davantage. Jamais, oh ! Grand Dieu jamais je ne serai remis du geste que je m'apprêtais à commettre. Vous étiez assise devant moi, me tournant le dos, jamais vous ne m'aviez para si fragile. J'ai faillit commettre l'irréparable mais André vous a sauvez de ma cruauté, de ma folie. Vous n'êtes pas ce que j'avais rêvez, vous ne cessez de me désobéir, vous dîtes avoir voulu préserver l'honneur de notre famille pourtant vous avez bravé les ordres du roi mais que cherchez-vous donc, après quoi courez-vous ?
Pardon André, pardon serviteur, pardon amant de ma fille. Un jour lorsque j'en aurai la force je te la donnerai car elle aussi t'aime. Je l'ai vu dans les yeux de ma rose, mon ange. Je sais que tu seras son amant et je préfère que se soit toi plutôt qu'un gentilhomme que je haïrai de tout mon être. Sa pureté est tienne, prends la et puisse tu la rendre heureuse, ne plus faire qu'un avec elle, lui faire de beaux enfants. Je te hais André de me la prendre mais peut- être ne l'ai je jamais eue.
André ayez pitié de moi prenez soin d'Oscar, rôle que vous remplissez déjà à merveille. Je vous en prie André ne laissez aucun homme s'approcher d'elle, il ne faut pas qu'elle soit prise dans le tourbillon de la tempête qui nous menace. André tiendra tu ton rôle de protecteur jusqu'à la fin ?
Pardon madame, pardon mon épouse, pardon mère. J'ai voulut détruire celle que vous avez portée pendant neuf mois, celle à qui vous avez donnée la vie. Vous si douce que je n'ai jamais su véritablement aimer, puissiez vous un jour me pardonner et non me juger. Les regards de ces enfants étaient déjà trop lourds à supporter, ces regards inquisiteurs. Pardonner moi la vie que je vous ai fait mener. Je n'ai jamais été l'homme que vous rêviez d'avoir à vos côtés. Madame un jour essayez de me pardonner. M'aimerez-vous un peu ?
Pardon grand-mère, pardon nourrice. Vous m'avez élevez ainsi que toutes mes filles et André. Pourquoi ne pas m'avoir gronder, rappeler à l'ordre, pourquoi ? Suis je si cruel que vous ne puissiez jamais me pardonner le geste que je m'apprêtais à commettre. Si votre Oscar et votre André avaient péris vous aussi vous seriez morte n'est-ce pas ? Je sais que vous ne m'avez jamais pardonner le fait d'avoir travestit ma plus jeune fille mais je vous en prie essayez de le faire. Me le promettez-vous ?
Le général était là dans son fauteuil la tête dans les mains. Il songeait, il pleurait. Oscar entra dans la chambre de son père sans frapper. Elle déposa une couverture sur ces épaules et sortit.
Le lendemain, tous semblaient avoir occulté les événement de la veille. Le général regarda Oscar et lui adressa un regard d'une grande douceur. Oscar comprit alors que son père l'aimait. Alors en retour à ce regard un doux sourire étira ces lèvre.

Ecrit par Little Rose
Review Pardon


Disclaimer .:: géré par Storyline v1.8.0 © IO Designs 2002 ::. Design adapté par korr