Auteur : Rosetta Hits : 1877
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Épisode I, pilote 1/2




Hans Fersen est tout content. Il vient de passer des heures à s'admirer dans son miroir avec sa jolie blouse blanche toute neuve et bien repassée. Aujourd'hui, il commence son externat aux urgences de l'hôpital du pays de LO, le Versailles County. Il sait déjà qu'il va faire de son mieux, qu'il va se donner à fond, et surtout tout faire pour oublier ses petites phobies. Comme celle du sang, par exemple, très gênante quand on ambitionne de devenir médecin comme Hans depuis qu'il est tout petit, en Suède.
- Ho-ho-ho, je vais y arriver !! s'écrit-il devant son miroir.


Aaaah, ça commence bien, tiens ! Le Fersen arrive en retard pour son premier jour ! Et pas qu'un peu ! Il devait commencer à 8 heures, et il arrive à 20 heures ! Et en plus il tombe nez à nez sur le chef du service qui paraît être d'une humeur massacrante parce qu'il déteste travailler la nuit mais que parfois même le chef ne fait pas ce qu'il veut. Le chef, c'est le Docteur François Jarjayes, qui mène le service comme un régiment. Certains l'appelent le général dans son dos. C'est vrai qu'avez lui ça ne rigole pas tous les jours, mais bon, qu'est-ce que vous voulez, faut bien qu'il se fasse respecter.
- Vous ! Où étiez-vous ?
Hans sursaute, ce qu'il a eu peur !
- Moi ? ... Euh...
Le Docteur Jarjayes a tout de suite su qu'il s'agissait de l'étudiant suédois ; les nouveaux arrivent toujours avec des blouses impecables, surtout quand papa est sénateur au pays, comme Fredrik Fersen.
- Oui, vous !!! rugit François.
- Hum, je suis Hans Fersen, et je suis venu pour...
- Et vous êtes venu pour être renvoyé !
- Je suis venu pour devenir médecin et je peux expliquer mon retard, répond Hans très vite.
François attend, bras croisés.
- Voilà, c'est à cause du soleil. Chez moi, le soleil brille la nuit, mais ici il brille le jour alors j'ai confondu.
- Je vous fais remarquer que nous sommes en hiver, alors le coup du soleil de minuit... Ah ben tiens, on ne me l'avais pas encore faite, celle-là, le coup du soleil de minuit ! Bon, tant pis, je n'ai personne d'autre, vous restez, mais je vous aurais à l'oeil ! Au prochain retard... Et puis tiens, pour vous apprendre, vous me ferez double garde, double ! Cette nuit et demain, c'est clair ? Rompez !
Hans n'a pas fait une très bonne impression.


Maintenant, Hans doit se trouver un interne (pas un nain terne, voyons !) pour le superviser. A l'intérieur, il y a une pagaille terrible, mais ce qui est bien c'est qu'on reconnait tout de suite les médecins parce qu'ils ont des blouses blanches. Hans aussi en a une, mais sur la sienne il n'y a pas écrit M.D. (medicinæ doctor) sous son nom. Le Docteur Jarjayes l'entraîne vers deux médecins qui se disputent un ivrogne. L'un est une jeune femme blonde assez grande et qui a l'air d'être dotée d'un sale caractère, et l'autre est un jeune homme brun bien de sa personne. Comme ils sont tout le temps ensemble même s'ils font semblant de se quereller tout le temps, on les a surnommés dans leur dos ovaires et yeux verts, mais bon les plaisanteries estudiantines, c'est aps toujours de bon goût.
- Oscaaaaaaaaaar !! crie le Docteur Jarjayes.
A la grande surprise de Hans, la blonde se retourne.
- Oscar, j'ai un étudiant pour toi, Hans Fersen !
Elle regarde Hans un petit moment, puis le boss, puis Hans, et hop, elle leur tourne le dos.
- J'en veux pas !
- Quoi ?
- Non, j'en veux pas, donne-le à André.
- Nous en reparlerons, Oscar, tu es entêtée comme une mule ! Et pour la peine c'est toi qui va t'occuper de l'ivrogne puant que je vois là ! André !! Tiens, c'est pour toi !
Et c'est ainsi que Hans se retrouve l'étudiant du Docteur Grandier.


Hans n'a rien dit parce qu'il n'avait pas vraiment envie de la ramener après son retard, mais il se demande bien pourquoi la blonde a refusé l'honneur de s'occuper de lui.
- Docteur Grandier ? Je peux vous poser une question ? Qu'est-ce qu'elle a, la blonde ?
- C'est le Docteur Jarjayes, répond André pendant qu'il lui fait visiter les lieux.
- Nooon, je parle de la blonde !
- C'est aussi le Docteur Jarjayes. C'est sa fille.
Hans commence à se dire que vraiment ça commence bien.
- Et on peut savoir...
- Ecoute, Fersen : tu veux savoir pourquoi elle n'a pas voulu de toi ? Alors accroche-toi bien à ton stéthoscope, vieux, parce que tu ne vas pas le croire. C'est à cause des suédois qu'elle a un prénom de garçon.
- Quoi ?
- Sa mère est folle de Point de Vue Image du Monde, elle connait par coeur la généologie de toutes les têtes couronnées de la planète. Quand elle a accouché, elle a commencé à réciter. Elle a fini par arriver à la Suède. Et quand elle a dit "Oskar Ier, 1844-1859", hop, le bébé a poussé son premier cri !
Une histoire de fou ! Hans commence à se demander où il est tombé, il sent revenir ses angoisses d'hypocondriaque.
- Hé ho ! Ca va, Fersen ? Voilà, tu as le rideau 1, ici. Elle, la blonde, c'est le Docteur Emma Cémoi-Lareine. En vrai, elle s'appelle Maria-Antonia mais elle trouve ça vieillot. le pire, c'est son nom. Le vrai, c'est Habsburg, elle est autrichienne, mais elle en a eu marre d'entendre ses patients lui dire "A vos souhaits" chaque fois qu'elle disait "je suis le Docteur Habsburg". Bon, ok, mais elle a réussi à faire changer son nom et elle a réussi le tour de force d'en trouver un bien débile à la place : Cémoi-Lareine ! N'importe quoi.
- Vous n'avez pas l'air de l'apprécier.
- Bah, elle serait bon médecin si elle était moins étourdie. Et l'autre blonde, l'infirmière, c'est Rosalie Lamorlière. Elle, c'est je pleure, je pleure, je pleure, mais elle travaille très dur et elle est très à l'écoute des gens. Là, elles sont avec un ivrogne.
A ce moment là, on voit à l'arrière plan l'ivrogne qui vomit sur Emma et on entend un cri de sauterelle pendant qu'André entraîne Hans vers le rideau 2. Là, il y a une infirmière brune très jolie qui s'apprête à aller prendre sa pause. Ils se sourient.
- Dis-moi, Fersen, j'allais te présenter Sofia Fersen, mais c'est marrant vous avez comme qui dirait le même nom.
- C'est ma petite soeur, répond Hans.


André emmène Hans voir son tout premier patient !
- Une chose, Fersen :n'oublie jamais que tu es là pour faire mes corvées, hein ! Moi j'ai fait celles d'Oscar, alors à ton tour. Voici Monsieur Bernard Châtelet, journaliste au Versailles Tribune. Vous prenez son dossier, là, et vous allez immédiatement savoir ce qui ne va pas. Rosalie a déjà pris ses constantes, et elle reviendra apporter un pyjama à Emma. Elle s'en sert un peu comme une bonne, elle ne devrait pas se laisser faire.
Hans prend le dossier et blêmit aussitôt. L'ignorant, André entame une conversation avec Bernard qui a l'air malade (enfin sinon il ne serait pas là).
- Alors, toujours la rubrique des chiens écrasés ?
Hans a enfilé des gants en latex.
- C'est un grand jour pour vous, Monsieur Châtelet, c'est Monsieur Fersen qui va s'occuper de vous !
Mais Bernard semble inquiet, surtout quand il voit comme les mains de Hans se mettent à trembler.
- Monsieur Châtelet a des hémorroïdes, Fersen, devine un peu ce que tu vas faire ? Un
toucher !
André, voyant Rosalie revenir, tire le rideau, les laissant tous les deux avec le pauvre Bernard. Soudain, on entend un cri affreux. André retourne voir. Apparemment, Hans ne s'y est pas très bien pris et Rosalie fait ce qu'elle peut pour aider. André soupire, puis il aperçoit les deux Docteurs Jarjayes en pleine engueulade et il va voir.
- Voilà, Monsieur Châtelet, dit Hans, vous vous sentez mieux, n'est-ce pas ? Remerciez donc Melle Lamorlière qui a pensé à me passer la vaseline ! C'est mon premier jour et vous êtes mon premier patient, ça arrive à tout le monde d'oublier, n'est-ce pas ?
Bernard grommelle un peu, mais Hans et Rosalie font comme s'il n'était pas là.
- Je ne me sens pas très bien...
- Vous êtes bien pâle, en effet. Asseyez-vous !
Hans s'assoit sur un chariot qui traîne là.
- Et comment vous appele-t-on ?
- Hans Fersen.
- Rosalie Lamorlière, mais je crois que le Docteur Grandier vous l'a déjà dit.
- J'ai des phobies, Rosalie, et j'espère qu'elles vont disparaître. Je n'aime pas du tout l'odeur qu'il y a ici, j'ai peur du sang, des isntruments coupants, et de plein de choses.
- Alors appelez un psy, j'en connais un qui travaille ici au troisième. Je vous donne son numéro si vous voulez, sinon montez le voir. Il ne faut pas laisser vos phobies détruire votre avenir.
- Le numéro, ce serait parfait. Si je m'éloigne d'un millimètre du service, le Docteur Jarjayes père va me tuer, il m'a à l'oeil à cause de mon retard.
- Très bien, tenez, c'est sa carte, je la distribue souvent aux patients. En plus, c'est un compatriote, si vous préférez raconter vos angoisses dans votre langue maternelle, ne vous gênez pas. C'est le Docteur Holstein-Gottorp. Gustav Holstein-Gottorp. Au 3ème.


Pendant ce temps, donc, les deux Docteurs Jarjayes se crient dessus au milieu du couloir des admissions. Jarjayes senior est allé faire un tour en chirurgie, et là il est descendu engeuler sa fille.
- Oscaaar, ça fait 5 fois, 5, que tu lui poses un lapin ! Tu le fais exprès, ou quoi ?
- Mais bien sûr, p'pa.
- Bon Dieu, mais le Docteur Girodel commence à perdre patience, il en a marre de se geler bêtement devant l'entrée des restaurants en attendant une inconsciente qui ne viendra pas ! Je peux savoir ce que tu lui repproches ? c'est un gentil garçon et c'est un excellent chirurgien.
- Ah oui, et alors ? Il ne me plait pas, point !
- Et puis d'abord Oscar sort avec moi, ce soir.
C'est André qui a parlé. Fermement. Même que pendant quelques secondes papa Jarjayes n'a pas su quoi dire.
- Oui, c'est ça, renchérit Oscar, je sors avec André, ce soir, alors tu peux dire au Docteur Girodel qu'il a plus de chance de sortir une appendicite les mains ligotées derrière le dos que de me sortir moi.
- Ingrate !
Le boss est furieux, mais il a l'habitude des scènes avec sa fille. Il est un peu soupçonneux en ce qui concerne André, mais bon... Il n'a pas dit son dernier mot ! Le tout est de faire patienter Girodel. Et un docteur n'est pas un patient. Il les laisse, fâché, mais il est encore moins content quand il croise Jeanne Lamotte, qui administre l'hôpital d'une façon légèrement véreuse. Jeanne adore qu'on fasse plein d'opérations et plein d'examens parce qu'elle adore faire exploser le budget.
- Docteueueueur Jarjayayayayes !!!!!!!!!!!!
Flûte, elle l'a vu !
- Mme Lamotte...
- Je suis venue faire une petite intrusion sur vos terres. Mon mari Nicolas s'est démi le genou, ce matin, il a glissé bêtement sur le tapis de douche. Vous pouvez vous en charger ? Je veux le plus grand médecin pour mon cher poussin d 'amour.
- Je regrette, mais j'ai à faire, voyez-vous. Aah ! Fersen, vous tombez bien ! Un genou à remettre en place ! Le Docteur Grandier va se faire une joie de vous montrer ! Au revoir, Mme Lamotte !
Mais en s'éloignant François tombe de Charrybde en Sylla en apercevant le Docteur Monica Morangias qui opère souvent avec lui mais qu'il considère comme une folle. Elle adore se promener dans les cimetières, lui a-t-elle dit une fois, et elle adore opérer tout le monde même si c'est inutile, ce qui fait qu'elle s'entend très bien avec Jeanne Lamotte. François se souvient qu'une fois elle lui a fait du pied sous la table d'opération, même qu'il a failli sectionner une artère à cause de ça. En plus, elle a un mari complétement maboule qui s'appelle John-Francis qui vient souvent la voir au boulot et qui a un temps tourné autour d'Oscar.
- La galerie des horreurs, dit François pendant qu'à l'arrière plan on voit Hans s'acharner sur le genou de Nicolas.


Hans a trouvé quelques minutes pour souffler. Il a de la chance, le service est maintenant assez calme, lui qui a horreur de la foule, et en particulier des foules agitées. Il est content que Sofia soit là. Il se sent plus à l'aise. Mais le calme ne dure pas. Déjà, André arrive en courant.
- Fersen ! Voilà une jeune fille qu'on nous ammène en ambulance. Elle a fait un malaise dans un restaurant, mais je crois que ça ira. Tu t'en occupes ? Je regarde.
Et là, Hans voit arriver son frère Fabian avec la jeune fille. Elle a la gorge bizarrement gonflée.
- A 3, on la met sur le lit, dit André? A mon compte ! 1, 2, 3 !
- Fabian ? Que fais-tu là ?
- C'est, euh, c'est la jolie fleuriste dont je t'ai parlé, je l'avais invitée... Elle s'appelle Rosetta Sten, elle est suédoise. Mais là, elle a dû mal à parler.
- Qu'est-ce qu'elle a pris ?
- C'était au Queen's Head, tu sais, le pub de Robespierre, Rob' !
- Mais ça va pas d'emmener une jeune fille dans cette gargotte ?
- Ben, il a fait une soirée huîtres...
Hans commence à comprendre.
- C'est une allergie aux huîtres !
André approuve, il demande à Sofia de prendre les constantes de Rosetta. Elle est revenue à elle dans l'ambulance, mais elle a plutôt mauvaise mine. Hans a bien l'intention de montrer qu'il peut se débrouiller.
- Que fait-on, Fersen.
- On la met sous perfusion !
- C'est exact. Vous savez de quoi ?
- Un anti-huître !
- C'est ça, je crois que vous êtes doué ! Sofia, quand vous aurez posé la perf, vous lui ferez une prise de sang, il ne faut rien laisser passer. Moi, je...
Mais là Oscar est arrivée en courant et en criant :
- André ! Un accident arrive, dépêche-toi !!
- Je vous laisse finir.
Et André s'en va.


André, Oscar, Emma et Rosalie sont sur le coup.
- J'ai 5 soeurs et il faut que ça tombe sur moi !
- Qu'est-ce que tu dis, Oscar ?
- Tu le sais très bien ! Alors tu peux te le garder, ton Fersen !
- Accident, voiture contre piéton, leur dit-on. Dans la voiture, la vedette de la jet-set, Mme Polignac dite Margabpopo, entaille au bras. Le pièton, Nicole Lamolière, en mauvais état !
- Mon Dieu, crie Oscar, c'est la mère de Rosalie !
Rosalie pousse le chariot de Mme Polignac avec Emma. A ces mots, elle se précipite.
- M'man ! M'man !


Fabian est content de constater que Rosetta avait retrouvé l'usage de la parole, malgrè une voix un peu bizarre à cause du gonflement de sa gorge.
- Je crois que tu devrais rentrer, Fabian, dit Hans. Nous allons garder Melle Sten en observation, mais d'abord nous allons lui faire quelques examens.
Fabian lui dit au revoir. La jeune fille murmure un
- Komtesse Konserevoi ?
- Bientôt, Rosetta. Dès que vous irez mieux.
Et il s'en va.
- Oooh, s'écrit Sofia peu après, vous avez de jolies veines bien dessinées et bien visibles, Rosetta ! C'est splendide !
Et ni une ni deux, voilà Sofia qui pose la perfusion et obtient de Rosetta un long gémissement de douleur. Occupée à dire au revoir à Fabian, elle ne s'est pas rendue compte que Sofia s'était emparée de son bras.
- Chuuut, ça va aller mieux, maintenant, votre gorge va très vite dégonfler et tout ira bien, ne craignez rien.
Sofia ne parle pas, elle susurre. Rosetta commence à s'apaiser, d'autant plus que maintenant c'était fait, la perf est en place, mais elle recommence à s'agiter en voyant la seringue. Hans non plus n'a pas l'air très bien. Encore une phobie. Elle se met à crier et à se débattre lorsque Sofia s'empare de l'autre bras.
- Allons, Rosetta, ne faites pas l'enfant ! Je vous donnerai une sucette si vous êtes sage.
Sofia se met alors à caresser sa joue du bout de ses gants en latex. Ses yeux se mettent à briller d'une façon un peu inquiètante et Hans s'en aperçoit.
- Sofia, je peux te parler, une minute ?
- Oui, après la prise de sang.
- Non, tout de suite.
Il tire le rideau et il fait les gros yeux à sa soeur.
- Ecoute, Sofia, je sais que Melle Sten est le genre de fille qui te plait, mais tu la terrorises. Je sais de quoi je parle, j'ai des phobies, et Melle Sten m'a l'air d'avoir très peur des aiguilles.
- Et alors ?
- Alors je veux que tu sois plus douce et surtout que tu arrêtes de lui faire les yeux gourmands de convoitise. Ça te donne un petit air sadique et cela lui fait peur.
Puis ils reviennent à Rosetta. La jeune fille, craintive, se laisse faire docilement, cette fois. Hans, par contre, s'évanouit. Il n'a pas pu supporter de voir l'aiguille enfoncée dans le creux du bras de la jeune fille, et encore moins le sang dans la seringue. Pouf, Hans dans les pommes !


Pendant ce temps, au bloc, le Docteur Germain et le Docteur Girodel se préparent, au cas où. On leur a dit qu'on allait sûrement leur monter Nicole Lamorlière, le pièton de l'accident, alors ils se brossent les mains, dix fois chaque doigts.
- Docteur Girodel... Quand donc allez-vous couper ces longs cheveux ?
Les deux hommes ne s'aiment pas beaucoup, un peu comme Monica et François. Victor Girodel est très fier de sa longue chevelure bouclée et il déteste le Docteur Germain pour ses réfléxions mesquines. Et puis il est tellement affreux avec sa grosse moustache, son regard froid et calculateur...
- Regardez-vous, vous êtes obligé de vous faire un chignon pour passer la charlotte ! Une charlotte de femme, en plus, votre tignasse ne tient même pas sous une coiffe normale.
Girodel évite toujours soigneusement de répondre, ce qui agace prodigieusement le Docteur Germain.
- Je vais en salle d'op attendre des nouvelles. Vous me rejoindrez quand vous serez coiffé...


A suivre...
Review The LO Versailles County Hospital


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