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UN BEBE POUR NOEL



CHAPITRE 1 : UNE HEUREUSE NOUVELLE

Nous sommes le vingt quatre mars mille sept cent quatre vingt douze, plus de trois ans sont passés depuis le mariage entre Alain et Mariella, ayant été promu commandant des gardes républicaines depuis la dissolution des gardes françaises l'ancien entendit sa femme se plaindre de nausées, maux de tête réguliers, inquiet il envoya un messager à la caserne afin de demander expressément à son Lieutenant de le remplacer sur le champ afin de pouvoir emmener son épouse chez le médecin. Dès qu'ils furent arrivés, le Docteur Elise Larsonne de Girodelle reçut la jeune femme dans son cabinet afin de l'examiner.

E : Bonjour Madame, qu'est-ce-qui vous amène d'aussi bon matin ?
M: Voilà, depuis quelques jours, j'ai des nausées, des maux de tête et des étourdissements.
E: En effet c'est plutôt sérieux, allongez vous , je vais vous examiner.
Pendant qu'elle l'examinait elle lui posait les questions relative à aux symptômes de la grippe ainsi , puis elle posa une question plus qu'indiscrète.
E : vous nausées sont-elles fréquentes ?
M: Tous les matins .
E: Et vos maux de tête ?
M: Pareil
E: Date des dernières humeurs ? Demanda-t-elle soudain.
M: Pardon ?
E: je vous demande la date de vos dernières humeurs.
EN calculant celle-ci se rendit-compte que ses dernières remontaient à un mois.
M: Un mois ! Répondit-elle légèrement contrariée par cette dernière question.
E: Eh bien , si j'en conclus ce que vous me dites, vous attendez un heureux événement.
M : C'est une merveilleuse nouvelle, merci madame.
E : Je vous en prie madame , tout le plaisir est pour moi.
M : Je vais annoncer la bonne nouvelle à mon époux, il va être rassuré et fou de joie.
E : Je vous accompagne.
M : ça vaut mieux, mon mari n'est plus de première jeunesse.
E : Quel âge a-t-il ?
M : Il a trente neuf ans.
E : En effet, il faut les ménager à cet âge là et pat précaution je vais appeler mon époux au cas où Monsieur Delavigne aurait un choc.
M : C'est plus prudent . Plaisanta-t-elle.

Lorsque les deux jeunes femmes quittèrent le cabinet médical, Alain se leva de sa chaise d'un bond.
Al : Alors, comment va ma femme ? Demanda-t-il inquiet.
E : Votre épouse va très bien.
Al:Merci docteur.
E : Par contre, je préférerais que vous vous asseyiez pour entendre ce que j'ai à vous dire.
Al : Non, je reste debout !
E : Comme vous voudrez, votre épouse attend un enfant.
A mots, le soldat frôla le malaise.
M:ça va «  nounours » ? s'inquiéta-t-elle.
E : Ne vous inquiétez pas, c'est juste l'émotion.
Girodelle qui se trouvait aux côté du militaire le rattrapa afin de lui éviter de s' écrouler.
- Gi : Vous êtes plutôt émotif pour un ancien soldat des gardes françaises ! Se moqua-t-il.
- Al : Vous l’aristo je ne vous ai rien demandé ! ;
- M : il a son petit caractère ! Ajouta-t-elle.
- Al : Mariella n'en rajoute pas !
- M : Bien «  nounours »
- Gi : Nounours , comme c'est touchant .
- Al : Encore un mot et je te casse les dents ! S'emporta-t-il.
- E : Ce qu'il y a de bien avec votre marie c'est qu'il se remet très vite.
Si Alain était dure avec Girodelle il resta sans défense face à Elise dont le sourire apaisait ses angoisses.

Dès qu'ils arrivèrent dans le salon , ils aidèrent Alain à s'installer sur le divan où il se reposa.
- M : ça m'inquiète de le voir comme ça, lui qui est si solide.
- E : Depuis combien de temps ne dort-il plus ?
- M : Cela fait plusieurs semaines.
- E : C'est normal, il rattrape ses nuits blanches, un peu de repos lui fera le plus grand bien.
- Gi : ma femme a raison, laissons le reposer, pendant ce temps je vais vous faire visiter la maison. Proposa-t-il en posant sa main sur l'épaule de la jeune femme tout en affichant un sourire charmeur qui déplut fortement à Elise qui lui fit remarquer par un regard noir.
- E : Victor, reste plutôt auprès de notre invité.
- V : C'est ce que je fais ma chérie.
-E : Non ! Je parle de son mari , et lâche-la elle ne va pas s'envoler ! lança-t-elle lourdement d'un ton sec.
- Gi : Bien mon amour !
Une fois Girodelle parti, Elise exprima sa colère envers son époux .
- E : Ce n'est pas vrai, il ne pas s'empêcher de jouer les jolis coeurs avec toutes les femmes qu'il voit, c'est incroyable, il doit avoir « la crise de la quarantaine ».
- M : Dans ce cas il faudra que je surveille mon mari , ça peut lui prendre à tout moment !
Pendant que les deux femmes discutaient, le soldat se réveillait doucement et fut fort contrarié de trouver celui qu’il surnommait «  le caniche poudré » à ses cotés
- Gi : vous êtes vous reposé ? Demanda-t-il d'un sourire amusé.
- Al : je suis mort et je suis en enfer ! Cria-t-il dans un sursaut.
- Gi : Toujours aussi agréable. Le taquina-t-il d'un calme olympien.
- Al : Ecoute moi bien l'aristo, encore une réflexion de ce genre et je te mets mon poing sur la figure !

Lorsqu'elles entendirent des éclats de voix, Elise et Mariella se précipitèrent dans le salon.
- M : Alain ! Arrête ça tout de suite ! Ordonna-t-elle.
- E : Vous êtes encore sous le choc de ce que vous avez appris je le conçois mais je vous prierais de ne pas vous en prendre à mon mari ou je serais dans l'obligation de vous interdire l'accès de mon cabinet !
-Gi : Ce n'était qu'une conversation un peu musclé entre hommes rien de grâve, Monsieur Delavigne était inquiet de ne pas voir sa tendre épouse auprès de lui ce qui l'a rendu un peu nerveux.
- M : Alors, est-ce- qu'on peut vous laisser sans qu'il n'y ait une autre bagarre ?
- Gi : Vous pouvez, cela se passera à merveille entre nous.
Une fois seul avec Girodelle, Alain s'excusa auprès du gentilhomme .
- Al : Monsieur, je vous prie de m'excuser pour mon emportement et vous remercie d'avoir pris ma défense face à votre femme.
- Gi : Je vous en prie , c'est tout à fait naturel, votre réaction est celle d'un homme amoureux.
-Al : En tout cas, votre femme a un sacré caractère qui n'est pas sans rappeler celui d'une certaine personne dont le tempérament volcanique n'a pas s'améliorer avec l'âge.
- Gi : Nous pensons à la même ?
- Al : Oscar Grandier de Jarjayes ?
- GI : Elle même oui.
- Al : C'est vrai qu'avec elle on ne s'ennuie pas.
- Gi : je vais vous raconter quelque chose à son sujet.
- Al : Quelque chose de racontable ?
- Gi : Disons que si cela lui revenait aux oreilles je n'aurais plus qu'à m’exiler et changer de nom.
- Al : Allez y racontez !
- Gi : Eh bien figurez -vous qu'un jour où nous étions tout deux en congé, nous sommes allés André, Oscar et moi à une dégustation de vins chez le vigneron qui me fournit en grands crus, et lorsque nous sommes revenus notre amie ne tenait plus debout et nous n'étions pas trop de deux pour la transporter, résultat elle n'a pas pu assurer son service de toute la journée le lendemain, alors pour ne pas la mettre dans l'embarras j'ai prétexté auprès de la reine ainsi que de ma compagnie que le colonel étant souffrant il ne pouvait tenir son service ce jour-là, croyez-moi après cette mésaventure elle a réfléchi en deux fois avant de boire de nouveau de l'alcool.
Imaginant sa fière supérieure ivre morte, celui-ci éclata de rire.
- Al : Eh bien je comprends mieux pourquoi elle ne supportait pas de nous voir un verre à la main cela devait lui rappeler de mauvais souvenirs ! 
C'est sur cette anecdote peu flatteuse pour Oscar que les deux hommes scellèrent une solide amitié.



CHAPITRE 2 : ENTRE RETROUVAILLES ET FELICITATIONS

Sur le chemin qui les amenait chez leurs amis, Mariella demanda à Alain la raison de son éclat de rire si soudain chez Elise et Girodelle.
- M : Je ne sais pas ce que Monsieur de Girodelle t' a raconté tout à l'heure mais ça devait être drôle.
-Al : C 'était une discussion entre hommes.
- M : D'accord, je ne t'en demanderai pas plus.
- Al : Par contre moi j'aurais quelque chose à te demander.
- M : Tout ce que tu veux mon «  nounours »
- Al : C'est d'éviter de dire à André que j'ai en un léger malaise chez le médecin et de ne pas m'appeler «  nounours » devant lui.
- M : Bien nounours.
C'était mal connaître sa femme que de penser qu'elle allait garder le secret vis à vis d'Oscar car si elle lui avait promis pour André elle n'avait rien dit concernant «  madame grandier ».
Dès qu'ils arrivèrent nos deux amis furent chaleureusement accueillis par Oscar et André.
- O : Alain, Mariella, quelle bonne surprise cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas vus, alors quelles nouvelles nous apportez-vous ?
- M : Alain et moi allons être parents, d’ailleurs nounours a eu un léger choc en l'apprenant.
- Al : Mariella, je t'avais demandé de ne rien dire.
- M : Oui nounours tu m'avais dit de ne pas en parler à André mais tu n'as pas rien précisé pour Oscar ! Lança-t-elle en riant.
- O : Nounours ? Je saurai comment vous appeler à votre prochaine visite.
- A : Sacré Alain, tu deviens émotif avec l'âge . Le taquina-t-il.
- O : Toutes mes félicitations . Fit Oscar en prenant la jeune femme dans ses bras .
- M : Merci Oscar.
S'attendant à la même étreinte, Alain tendit les bras mais ne reçut qu'une poignée de main de la part de son ancienne supérieure.André quant à lui étreint sa cousine puis fit une accolade amicale à son ami bien qu'une simple poignée de sa part lui aurait largement suffit.
Après avoir félicité les futurs parents, Oscar les invita à s'asseoir et leur proposa de fêter l'heureux évenement.
- O : Que diriez-vous de fêter cette bonne nouvelle avec une liqueur ?
- Al : Bonne idée mais j'aurais plutôt pensé à une dégustation de vin , à moins que vous ne craigniez de ne plus tenir debout après deux verres . Ironisa-t-il.
Bien qu'elle eut envie de bondir, elle resta étonnamment calme tout en bouillonnant intérieurement.
- O : Pensez à transmettre mes amitiés à « ce cher Monsieur de Girodelle » lorsque vous le reverrez !

- Al : je n'y manquerai pas. Répondit-il amusé .
- A : C'est vrai que ce jour là tu n'étais pas fraîche et nous n'étions pas trop de deux pour te porter, c'est une chance pour toi que nous n'ayons pas croisé Monsieur de Fersen, sur ce coup là,ton image en aurait pris un coup ! Ajouta-t-il dans un éclat de rire.
- O :Merci de me rappeler cette journée, je l'avais oubliée.
De son côté Mariella n'en maquait pas une miette et rit de bon cœur en imaginant « sa cousine » ivre morte.
- Al : je crois que nous avons tapé dans le mile.
- A : je cois aussi.
- O : Monsieur de Girodelle ne paie rien pour attendre, il ne s'en sortira pas à si bon compte. Ragea-t-elle.
- Al : Tu as vu André, je n'ai pas perdu la main avec « le colonel » je vise toujours aussi bien.
- O : Bon , que désirez-vous boire Alain ? Demanda-t-elle légèrement contrariée.
- Al : Une petite liqueur.
- M : Pareil.
- O : Je ne pense pas que cela serait raisonnable, je vais plutôt t'apporter un jus de fruit.
- M : Merci !
Après avoir longuement discuté avec leurs hôtes, les futurs parents quittèrent la demeure non sans les saluer chaleureusement. L'alcool aidant Oscar oublia les distances qu'elle avait mis entre elle et son ancien soldat et le prit dans ses bras pour la plus grande surprise de celui-ci.
- O : Alain, je suis contente de vous avoir revu, encore toutes mes félicitations et prenez soins de vous et de votre épouse. Lui glissa-t-elle au creux de l'oreille.
- Al:Comptez sur moi elle est entre de bonnes mains.
Voyant la scène Mariella toujours fidèle à elle-même arriva rapidement auprès des deux amis.
- M : Alain, tu n'oubliera pas de saluer André !
Sentant la jalousie de son invitée Oscar enlaça la jeune femme de la même façon afin de dissiper les doutes de celle-ci.
- O : Au revoir Mariella, prends soins de toi.
- M : Au revoir Oscar. Répondit-elle sèchement.
Devant une telle froideur, l'ancien colonel fut mal à l'aise mais tenta de le cacher par un sourire forcé.
Bien qu'ayant senti que quelque chose n'allait pas avec sa femme, André fit semblant de rien et n'aborda pas le sujet , à cet instant il se plaça derrière elle et mit ses bras rassurant autour d'elle puis ils rentrèrent dans la demeure ancestrale pour s'y repose.
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CHAPITRE 3 : IL ES NE LE DIVIN ENFANT

Les mois étaient passés très vite, la grossesse de Mariella était arrivée à terme , sentant que le moment était venu de mettre leur enfant au monde, le jeune couple se précipita chez le docteur Larsonne de Girodelle.

- Al : Vite docteur, ma femme est prête à accoucher ! Fit-il paniqué.
- E :Ne paniquez pas, mon mari allons l'installer dans la chambre.
Dès qu'elle fut installée, le travail commença, tandis que le futur père attendait dehors sur l'ordre d'Elise, Mariella s'apprêtait à mettre son enfant au monde. Le travail dura plusieurs heures , entendant les cris de souffrance de sa femme Alain voulu entrer mais fut tenté de rentre mais ne ..voulant perturber le travail du médecin il se raisonna pour rester dehors, puis le miracle de la vie arriva enfin. A cet instants, Elise sortit avec le bébé dans ses bras et lui tendit, lorsqu'il vit ce petit être fragile, le père fut si émue qu'il en oublia de remercier la doctoresse.
- E : Monsieur Delavigne, toutes mes félicitations, c'est une petite fille.
- Al : Et ma femme ? Demanda-t-il inquiet.
- E : Elle se repose.
- Al : Comment va-t-elle ?
- E : Elle est fatiguée mais ça va.
- Al : Cléa.
- E : Cléa ?
- Al : Elle s'appellera Cléa, c'est le prénom que ma femme et moi avions choisi pour notre enfant si c'était une fille.
- E : Très joli prénom .
- Al : Merci.
- E : Et pour un garçon ?
- Al : Joseph, en clin d’œil à un ami qui 'est montré bienveillant avec Mariella à une certaine période de sa vie.
- E : Vous pouvez allez voir votre épouse.
- Al : Merci.
- E : Je vous en prie.
La voyant encore endormie, il s'assied près d'elle et la regarda comme s'il la voyait pour la première fois.
Dès qu'elle fut réveillée, elle trouva Alain à ses côtés, bien que fatigué il avait tenu à veiller sur ses deux anges.
- Al : Mon ange, tu as mis une petite Cléa au monde. Lui dit-il doucement en l'embrassant délicatement.
- M : Où est-elle ?
- Al : Elle dort dans un couffin juste à côté de toi.
- M : Elle est en bonne santé.
- Al : Oui, elle a hérité de la santé de fer de son père. Plaisanta-t-il.
- M : je t'aime . Murmura-t-elle au creux de l'oreille de son époux.
- Al : Moi aussi.
Voulant s'assurer que la mère s'était bien reposée, Elise entra doucement dans la pièce, puis voyant Alain et Mariella enlacés elle referma la porte.
- M : Mon coeur, tu m'as l'air fatigué, vas te reposer, ça va aller.
- Al : Tu en es sure ?
- Al : Certaine.
S'étant assuré que sa femme allait bien, le militaire alla se reposer quelques heures puis revint auprès de sa femme et sa fille.
- E : Vous êtes vous reposé ?
- Al : Oui,merci de votre hospitalité.
- E : je vous en prie.
L'heure du départ approchant, les deux époux remercièrent leurs hôtes quant à Alain, il tint la promesse qu'il avait fait à Oscar et lui transmis ses amitiés.
- Al : Monsieur de Girodelle, Madame Grandier vous transmet ses « sobres » amitiés.
- Gi : Je vois, vous lui avez rappelé cette journée mémorable.
- Al:Oui Monsieur, je peux même vous dire qu'elle est furieuse aprèsvous, je l'ai vu à la façon dont elle se mordait la lèvre inférieure pour ne pas sortir de vérités bien senties à votre égard ! Ironisa-t-il.
- Gi : Toujours aussi rancunière, c'est pour ça que je l'aime.
- Al : Je vous vais avouer une chose, nous sommes deux.
Arrivant à la hauteur de leurs époux les deux jeunes femmes observèrent amusées les deux amis que tout opposait.




CHAPITRE 4 : DES FELICITATIONS POUR LES UNS
UNE VENGEANCE POUR L 'AUTRE

Lorsqu'elle apprit la naissance de la petite Cléa , Oscar envoya une carte de félicitations aux heureux parents avec la signature de son époux, quant à Girodelle, elle lui fit envoyer une charrette remplie de bouteilles de vins différents avec l'inscription suivante. «  Monsieur, je vous propose ci-contre une charade à deviner après avoir bu 2 verres de chaque vin mais si au bout de deux verres vous ne parvenez pas à lire le nom de l'expéditeur de ce courrier c'est tout comme lui vous ne tenez pas l'alcool. » avec mes sobres amitiés . Un viel ami.

- Mon premier est la neuvième lettre de l'alphabet
- Mon second est une réaction corporelle après un repas copieux
- Mon troisième est la quatrième lettre de l'alphabet
- Mon quatrième est nécessaire aux oiseaux.
- Mon tout est un ami qui ne sait pas tenir sa langue.
S'exécutant , il bu deux godets des six vins différents, puis après les avoir déguster sans les avaler, il rangea le courrier en disant d'un sourire amusé «  sacrée Oscar »


Épilogue :

Alain et Mariella ont commencé une nouvelle vie avec leur fille quant à Girodelle il envoya le courrier suivant ; « Chère Oscar,

Je vous remercie pour votre envoi, ce vin était très bon mais sachez que même ivre mort j'aurais su que vous étiez mon mystérieux expéditeur pour la simple et bonne raison que j'ai reconnu votre écriture avant même de finir ma lecture.

Encore merci pour votre cadeau.

AMICALEMENT

Victor-Clément de Girodelle





FIN
Review un bebe pour noel


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