TRISTE RETOUR
Oscar rentra de ses congés , et arrivant ce soir là à VERSAILLES, elle apprit que sa mère était gravement malade et que ses jours étaient comptés.
- O: Où est-elle?
- Dr: Dans sa chambre.
- O: Je veux la veiller.
- A: Je viens avec toi.
En entrant dans la chambre ils virent le Général affligé.
- G: C'est terrible, dans quelques jours votre mère ne sera plus.
Ils la veillèrent jour et nuit.
Le surlendemain, le médecin constata le décès.
-Dr: Mademoiselle, Messieurs, vous pouvez sortir, elle est partie.
- O: NOOON, POURQUOIII?. Hurla-t-elle en pleurant au bord du lit.
- A: Oscar, repose-toi, tu es exténuée.
- O: Laisse-moi! Le chassa-t-elle.
- G: Mon enfant, soyez raisonnable, votre état n'y changera rien.
Alors qu'il venait de quitter la chambre, André fut retenu par l'épaule par GIRODELLE.
- GI: Ne la laissez pass, elle a besoin de vous.
- G: Monsieur de GIRODELLE a raison, je ne vous pardonnerais si vous ne l'aidez pas.
EN retournant dans la chambre,, il vit son amie toujours en pleurs au même endroit. Se sentant impuissant, il la prit dans ses bras et la berça jusqu'à ce qu'elle s'apaise.
Une fois endormie, il la déposa sur le sofa où elle rattrapa ses nuits blanches, à cet instant Fersen entra.
- F: Comment va-t-elle?
- A : Elle se repose.
- F: Très bien , faites en autant, je prends le relai.
- A: Merci.
- F: C'est normal, entre amis.
Quelques heures plus tard, elle se réveilla et vit FERSEN à ses côtés.
- F: Comment vous sentez-vous?
- O: Reposée, merci.
- F: André se repose.
- O: Il en avait bien besoin
- F: Oui, lui aussi était fatigué.
- O: FERSEN?
- F: Oui?
- O: Merci! fit-elle en l'embrassant délicatement sur les lèvres.
- F: Je vous en prie! Répondit-il surpris et charmé par ce baiser.
Chapitre 2 : LA CEREMONIE
La cérémonie fut courte, la mise en terre pénible.
Alors qu'elle remercia tout le monde elle se tourna vers un homme afin de le remercier et fut jetée avec pertes et fracas par celui-ci; Madame DELAVIGNE la rattrapa.
- H: Je suis venu pour votre père! lui-dit-il sèchement.
Saisie, elle ne répondit rien. Choquée par cette attitude, Madame DELAVIGNE l'interpella.
- MD: Qui que vous soyez, vous ne méritez aucun respect, vous êtes ignoble, cette femme est anéantie et vous l'achevez par votre méchanceté, vous êtes un monstre et sachez que si j'étais un homme, je vous balancerais mon poing dans la figure. conclut-elle en colère.
Loin d'être scandalisées, ses soeurs la féliciètent pour sa franchise et le Général ajouta .: A partir de maintenant, nous ne connaissons plus.
Soutenue par Anne DELAVIGNE, la jeune femme quitta le cortège et s'éloigna dans les plaines.
-AD: Je me présente, je m'appelle Anne DELAVIGNE, je suis une amie de votre mère.
- O: Enchantée. répondit-elle entre deux sanglots.
- AD: Allez, pleurez une bonne fois pour toute, ça fait du bien.
Oscar tomba dans les bras de son amie et pleura tandis que celle-ci la berça en lui caressant les cheveux.
Une heure plus tard, André vint à leur rencontre. Annne se présenta: Je m'appelle Anne DELAVIGNE , une amie de Madame JARJAYE.
- A: André GRANDIER, son meilleur ami. Oscar qui s'était calmée reconnut son ami.
- O: André, excuse-moi, je ne t'aviais pas entendu arriver.
- A: ça mieux.
- O: Oui, merci.
- AD: Je vous laisse, prenez soins d'elle.
-A: Ne vous inquiétez pas.
-O: Au revoir, et merci pour tout.
Chapitre 3 : REPRISE
Le lendemain Oscar reprit ses activités et travailla jour et nuit contre l'avis du médecin et de ses proches.
- A: Tu ne devrais pas reprendre si tôt, il y va de ta santé.
- F: André a raison, ce n'est pas prudent, reposez-vous.
-O: Messieurs, sachez que je moque de ma santé et que je continuerai tant que mes jambes me porteront.
Un beau jour, alors qu'elle discutais avec GIRODELLE dans son bureau elle eut un malaise et tomba dans les bras de son collègue.Inquiet, celui-ci la déposa sur le canapé et alerta le Général qui se précipita sur les lieux.
- G: Mon DIEU que s'est-il passé?
- GI: Votre fille a perdu connaissance.
- G: Allez chercher un médecin.
André ayant entendu des éclats de voix arriva et paniqua en voyant son amie inconsciente.
- A: Oscar, parle-moi,, je t en supplie.Son amie ne réagissant pas, il pâlit.
- G: Le médecin arrive.
André et le Général restèrent auprès d'elle jusqu'à ce que le médecin arrive en compagnie de GIRODELLE.
- Dr: C'est du surmenage, il lui faut du repos complet.
- Gi: Cela fait plusieurs jours qu'elle ne dort plus.
- A: Tout le monde lui dit de se reposer, elle ne nous écoute pas, elle nous rembarré Fersen et moi.
Chapitre 4 : RETROUVAILLES MUSCLEES
Informée par le surmenage d'Oscar, Madame DELAVIGNE lui rendit visite.
- AD: Alors petite tête de mûle, on en fait qu'à sa tête? la taquina-t-elle.
Oscar alla à sa rencontre et la prit dans ses bras.
-O: Madame DELAVIGNE, je suis contente de vous revoir.
- AD: D'après ce que j'ai compris, vous n'avez écouté personne ces derniers temps.
- O: C'est vrai, je l'amdets.
-AD: Il parait que vous avez rembarré tout le monde.
-O: C'est peu dire.
- AD: Même André.
- O: Oui, même lui.
- AD: Le pauvre, il va avoir des cheveux blancs avant l'âge avec vous. Ironisa-t-elle.
-O: Je le crains.ironisa-t-elle à son tour.
- AD: Vous me rappelez mon fils, vous êtes aussi têtue que lui.
Un beau jour, les deux amies se promenèrent et Oscar vit l'ignoble individu qui l'avait jetée le jour deqs obsèques de sa mère et lui cracha sa haine.
- O: Comment osez-vous venir ici après votre attitude odieuse de la dernière fois, votre présence est inadmissible.
- H: Je suis là pour votre père, pas pour vous. Rétorqua-t-il avec mépris.
FOLLE DE RAGE, celle-ci lui décocha un uppercut dont il ne se releva pas. Anne ne boudant pas son plaisir ajouta : bien fait.
André et le Général présent apprécièrent le spectacle.
- A : Jolie droite, Oscar.
- O: Merci
-G: Je crois que vous avez compris, chez les JARJAYES on ne plaisante pas avec l'honneur alors disparaissez.
-AD: Vous plairiez à mon fils, il adore les femmes de caractère.
-O: Je ne demande qu'à le connaitre. Conclut-elle dans un éclat de rire.
Une fois sa vengeance assouvie, elle reprit son travail calme et apaisée. |