Auteur :
majdoline
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Fictions Originales
>
Poésie
> Les rimes de mon coeur... >
1. Un jour, une vie...
2. L'espoir
3. Deuil d'un premier amour
4. Une nouvelle vie
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Introduction :
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Un mois s’est écoulé…
Et je ne cessais de peser lourd,
De mon corps et de mon cœur devenu sourd,
A force d’être privée de ta voix aimé.
Une fois de plus, tu es parti,
Laissant un immense vide derrière toi,
Je n’en puis plus, reviens moi je t’en pris,
Ne me laisse pas seule sans toi.
Pourquoi as-tu disparus ?
Sans même un motif apparent.
Je n’ai fais que t’aimer pourtant,
Alors, où es tu ?
Si tu savais où j’ai sombré,
Je ne dénombre plus les crises de boulimies,
Ni le temps de ma dépression infinie,
Si tu le savais, tu t’aurais montré ?
Comme j’en ris aujourd’hui,
De touts les serments de jadis,
De touts ce que je me suis promis,
Pour n’aimer que toi cher ami.
Et malgré tout je continue à espérer,
Je continue à t’aimer et à te chérir,
Au dépit des touts les martyres,
Parce que je sais que c’est toi mon aimé.
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Un mois s’est écoulé…
Depuis notre dernière rencontre,
Ce jour où j’ai haït la montre,
Qui me rappelait que le temps courait.
Je n’oublierai jamais cette promenade,
Où nous étions seuls toi et moi,
Où je désirais que tu sois mon roi,
Et c’est ainsi que finit notre balade.
Comme toujours, devant toi,
J’ai perdue toute mon assurance,
Par le trouble de ta présence,
Je te disais n’importe quoi…
Le moment venu de nous séparer,
Tu m’as soudainement embrassé,
De tendres baisers sur mes joues rosées,
De l’émotion que tu m’as procuré.
Dès lors, j’avais perdue la raison,
Je t’ai enlacé fort dans mes bras,
Je voulais que cet instant ne finisse pas,
Ayant perdue conscience du monde et du temps.
Un mètre de toi et tout s’étais brisé,
Le charme, la beauté et la magie de l’instant,
J’ai poursuivi mon chemin sous ton regard bien veillant,
Et plus rien n’en restait, tout s’en est allé.
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Un mois s’est écoulé…
Je ne vis que de ce dernier souvenir,
Privée de toi, même de ton doux sourire,
A cause de ton subit écart inexpliqué.
Même la technologie n’y pût rien,
J’ai tenté de te joindre une mainte fois,
Et pour réponse, je n’ai reçu qu’une voix,
Enfermée dans une boite à répéter son refrain.
« Votre correspondant ne peut être joint pour le moment,
Veillez réessayer ultérieurement »
J’ai tenté encore et encore mais en vain,
J’ai compris que la voix est une monteuse dans l’engin.
Puis ces des messages d’sms que je t’envoyais,
Me disant que tu ma juste bloqué,
Espérant que mes mots te parvenaient,
Mais rien, aucun écho ne répondait.
Pour remplir mon vide je n’ai trouvé qu’un moyen,
Me jeter sur la nourriture bourrée de calories,
Du samedi au vendredi, durant le matin ou en pleine nuit,
Je ne cessais de me torturer à la fuite du Rien,
Cela devait prendre fin,
Il fallait mettre un terme à la souffrance,
J’ai donc cherché « comment ? » dans divers livres de sciences,
Et sur Internet par touts les chemins.
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Un mois s’est écoulé…
Tant de choses se sont passés,
Sur mes études je m’acharnais,
Et la nuit tombée, je pleurais.
Des pleurs au goût amer,
Où les larmes restaient perchées,
Aux coins de mes yeux lassés,
Même pour l’être qui m’est le plus cher.
Chaque soir la douleur se manifestée,
Pour mourir doucement au silence de la nuit,
Quand je rejoignais le monde des rêveries,
Où rien n’est interdit, pas même l’impossible de la réalité.
Mes journées du matin au soir mélancolique,
Ne connaissaient que les sciences de math au physique,
Des fonctions et équation à l’épingle magnétique,
Pour s’achever sur les devoirs aux résultats pathétiques.
Seule une balle m’ouvrait la porte de l’évasion,
Quand je la frappais d’une raquette au mur prépondérant,
Résistant aux foudres de ma colère sans limites,
Qui me rangeait le cœur tels des termites.
Mais je sais que ce n’est jamais qu’une mauvaise passe,
Que le destin a mit sur ma vie pour fleurir,
Après être mûri et avoir apprit comment affronter l’avenir,
Bientôt, de cette amertume, n’en restera plus aucune trace.
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Un mois s’est écoulé…
J’ai appris tant de choses que j’écrirai en proses,
Et le hasard y est pour quelque chose,
C’est lui qui a mit entre mes mains une clef.
C’est la clef de la réussite,
En effet, j’étais tombé sur un livre,
Qui è ce jour, ses pages me délivrent,
Me projetant au temps qui cours vite.
Mais cette fois mon amour, je revis sans toi,
Pas besoin d’un homme pour sourire,
Pas besoin d’un homme pour éclater de rire,
N’empêche que tu manques pour éveiller ma joie.
Avec toi, c’est la patience au premier,
Pour espérer revoir ton éclipse et l’admirer,
Comme tu aimes être exceptionnellement adulé,
Puis la récompense vient en dernier.
Tu es et resteras à jamais mon seul radieux soleil,
Qui illuminera mes jours comme mes nuits,
Qui me prendra mon cœur, mon corps et ma vie,
Et je t’offrirai tous les trésors de merveilles.
Au prix de mes tourments passés,
J’ai pris conscience de mon ignorance,
J’en ai tiré des leçons d’importances,
Que je veux les faire partager.
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P'tit cadeau :
Impossible = I m possible = je suis possible...
Et rien n'est impossible quand je suis possible ^^
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