Auteur : ran Hits : 760
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Voici ma premiére fiction poétique qui vous plaira je l'espere. N'hésitez pas à me laisser des reviews.
A ^.^

LES AILLES D'UN ANGE

En amour, est-ce que tout fini toujours bien ?
C’est la question qu’enfant je me suis souvent posée
Aujourd’hui je connais la réponse grâce aux histoires de chacun
Mais c’est surtout l’histoire de ma « belle-sœur » qui m’a aidée

Cette histoire je vais vous la raconter
Vous verrez si la réponse est oui ou non mais aussi
Comme moi vous saurez grâce à cette histoire passée
La vérité, alors, écoutez bien l’histoire que voici :

« « Le jour de son seizième anniversaire
Elle lui donna son dernier baiser de future mariée
Lui longtemps car l’amour est une éternelle lumière
Il ria avec dans ses bras sa bien-aimée. »

Voilà à quoi ressembler la fin des livres
Qu’Ailes avait lu depuis son enfance le soir
Elle pensait qu’elle aussi elle allait vivre
Avec celui qu’elle aimera la même histoire

Ailes avait vécu dans un orphelinat
Depuis qu’elle a été trouvée par Isabelle
Qui est la directrice de cet internat
C’est elle qui décida de l’appeler « Ailes »

Ce nom provient du médaillon du collier
En forme d’ailes de chauve souris
Qu’elle portait quand elle a été trouvée
Et qu’elle garde aujourd’hui aussi

Elle a grandi un peu loin des autres
Car son image se gravait dans leurs esprits
On la croyait capable d’un meurtre
Car elle avait une beauté sans souci

Elle était appelée « Sorcière de l’entretien »
Puisque sa beauté etait totalement naturelle
Mais également parfaite sans besoin de soin
C’est ainsi qu’etait traitée la pauvre Ailes

Mais un jour ce cauchemar pris fin
Et se transforma en un rêve plus triste encore
Elle tomba amoureuse enfin
D’un garçon qui hélas scella son sort

Ce jour la, mon frère, Angel, et moi
Venions de perdre nos parents la veille
Etant mineur nous n’avions pas d’autre choix
Que d’aller à l’orphelinat dés notre réveil

Mon grand frère avait passé la nuit dehors
A pleurer nos parents dans la terre mouillée
Où ils étaient après leur accident morts
Plein de boue, à l’orphelinat, il était arrivé

Sale comme un pou, il se mit à me chercher
Une chambre de fille où je pourrais cohabiter
Mais les filles lui fermaient, toutes, la porte au nez
Seule Ailes m’accepta et fit mon frère sale entrer

Lorsque je l’ai vu, Ailes était vraiment très belle
Sa taille fine, sa peau blanche, ses grands yeux
Tout était si parfait que pour moi, elle n’était pas réelle
Mais permi tout ce qu’elle possédait sa voix était le mieux

Sa voix était celle d’un ange du Paradis
Elle était une de celle à vous ensorceler
Moi, pour être honnête, aujourd’hui encore, je l’envie
Mon frère, lui, sans le vouloir l’avait toujours vénérée

Ailes, dés notre rencontre, nous avait avertis
Qu’elle n’avait pas une bonne image ici
Mais, sans l’écouter, nous sommes restés amis
Au risque d’être blâmés, nous aussi

Angel, pour retrouver sa chambre, nous avait quittés
Moi, pour installer mes affaires, je suis rester
Pendant qu’Ailles, dans la salle de bain, se lavait
J’ai, devant notre porte, de nombreuses lettres, trouvées

Ces lettres étaient toutes des menaces envers Ailes
Elle était mentionnée « sorcière » et « mocheté »
Mon frère était appelé « La Bête » et moi « La Belle »
Ces lettres racontaient qu’Ailes était un monstre affamé

Celles-ci étaient des avertissements pour Angel et moi
« A la nouvelle et à l’autre qui pu » était écrit
Leurs auteurs nous jugeaient sans connaître nos choix
Alors j’ai supprimé ces lettres de ma vie

Pour moi ces lettres ne disaient que des mensonges
Ailes était la plus gentille des filles que j’ai connues
Angel, lui, était plus beau que n’importe quel songe
Il ne s’occupait plus de lui car il se sentait abattu

La mort de nos parents l’avait beaucoup attristée
Et c’était triste de le voir comme ça sans vie
Surtout pour moi car longtemps en secret
J’ai été vraiment folle amoureuse de lui

Heureusement peu après Angel recommença à sourire
Et tout le monde trouva qu’il était beau à en mourir
Surtout Ailes que les gens cessèrent de haïr
Grâce à Angel, elles dirent la laisser tranquille à l’avenir

Angel appréciait beaucoup notre amie Ailes
Et Ailes n’était pas indifférente à ses charmes
Voyant ces deux timides et leurs sentiments réels
J’ai dit à mon frère de déclarer sa flamme

Il commença à nier puis il me déclara
Qu’il l’aimait plus que tout et qu’elle ne le sera jamais
Heureusement le jour de faire ses aveux arriva
Il du, à Ailes, sur ses sentiments, tout avouer

Ailes qui n’avait rien pour l’anniversaire qu’elle ignorait
Etait partie, en pleurant, se réfugier pendant un moment
Dans les toilettes des filles, Angel parti lui déclarer
Que pour ses quatorze ans, il souhaitait son cœur secrètement

Ils échangeraient leur premier baiser loin des regards
Et débutait leur amour invisible et existant
Et leurs câlins et baisers qu’ils faisaient seuls dans le noir
Apres les quatorze ans d’Ailes, ils l’annonceraient publiquement

Mais l’amour, comme son beau symbole La Rose
A ses épreuves et ses épines de douleur
Malgré ses douces patelles blanches, rouges ou roses
Pour Angel et Ailes, des malheurs, c’était l’heure

A SUIVRE ....
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