Ceci est ma première fic yaoi alors indulgence svp
Girodelle regardais par la fenêtre il contemplait Oscar comme presque tous les jours à présent quand on frappa à la porte. Sans quitter la fenêtre des yeux il cria à la personne d'entrer.
A_ Victor encore a la contempler...
V_ oui Alexandre je ne peux rien te cacher.
Alexandre était un vieil ami de Victor il se connaissait depuis tellement longtemps qu'il avait fini par le mettre dans la confidence de ses sentiments pour Oscar ainsi que de la féminité de celle ci
Alexandre sourit et se plaça derrière Victor.
A_ Victor ce que je vais te dire va te surprendre mais il faut que tu cesse de t'aveugler..
V_ mmhhhh
A_ Tu aimes Oscar car elle est le juste compromis entre ton inclination naturelle et les préjugés qu'on t'as inculqué depuis tout petit... Et oui Victor elle agit comme un homme parle comme un homme vis comme un homme mais une femme...
V_ Tu dis n'importe quoi regarde là elle est si belle elle a beau se vêtir comme un homme les trait de la femme percent si facilement sous l'austérité de l'uniforme...
A_ Si j'ai tort prouve le moi a part elle as tu eu un seul autre béguin pour une femme? Malgré toutes les conquêtes que tu as collectionné aucune ne t'a ne serait ce qu'un tant soit peu attachée tu n'aime pas les femmes...
Aucune réponse il cherchait dans sa mémoire le moindre béguin mais Alexandre avait raison il n'y en avait aucun puis il sentit deux mains se poser sur ses épaules et le guider comme un zombi dans la petite pièce adjacente devant un miroir dont il se servait pour se raser habituellement. Il était la devant ce miroir le visage d'Alexandre au niveau de son épaule il s'éloigna pour fermer la porte et la verrouiller puis revint à sa place. Victor n'avait pas bouger encore sous le choc de qu'il venait d'entendre. Alexandre commença à défaire la veste puis la chemise Victor ne bougeait pas. Partagé entre l'attrait de l'inconnu l'envie de savoir si c'était possible et l'idée que c'était mal qu'il ne devait pas. Tout se bousculait dans sa tête. Les sangles de son pantalon sautèrent et une main impudique se fraya un chemin dans les culottes pour trouver la virilité de son partenaire. Si au début aucune modification ne se fit sentir au bout de quelques va-et-vient la verge se gonfla doucement pour trouver la sortie triomphante et pointer à l'air libre.
Alexandre se plaqua contre Victor et continua son petit jeu de sa main libre il fit glisser le pantalon et caressa le corps ainsi mis a nu de son amant sentant son propre membre se dresser à son tour.
A ce moment là Alexandre se dégagea et défit les botte de Victor en se relevant il croisa le regard trouble de désir de ce dernier et sourit... A ce moment la il se retrouva plaquer contre le mur des lèvres plaquées sur les siennes des mains fébriles cherchant à défaire maladroitement son propre uniforme à son tour il se laissa faire docilement puis tendrement réfreina l'ardeur de son partenaire pour le conduire sur le lit.
Ils s'étendirent sur le lit sommaire et échangèrent caresses et baisers tantôt tendres tantôt passionnés. Puis Alexandre pris les choses en mains : ses lèvres descendirent sur le torse de Girodelle alors qu'une de ses mains s'attaquait a cette zone si sensible située juste derrière les testicules arrachant quelques soupirs de plaisir... puis sans arrêter ce massage apparemment si plaisant les lèvres envahissantes continuèrent leur chemin et enlacèrent une verge gonflée et tendue pour amorcer un balais sensuel...la langue tantôt s'attardant sur le frein arrachant des soubresaut de plaisir tantôt caressant le sexe avec douceur... après quelques minute de ces tortures combinées un râle plus profond libéra un orgasme de jeune éphèbe... a ce moment là Alexandre se redressa et remonta embrasser son amant dans un sourire puis l'invita à se mettre sur le ventre ce qu'il fit intrigué. S'entendant contre le dos de ce dernier Alexandre s 'introduisit doucement sans brusquerie et amorça une nouvelle danse très douce dans un premier temps puis ne sentant plus aucune résistance il invita son amant à se relever en même temps que lui c'est ainsi que Victor se retrouva à quatre pattes quand s'amorça la deuxième partie de la symphonie. D'une main les caresses impudique reprirent dans un rythme soutenu de l'autre les hanche battaient la mesure rapidement la tension reprit chez le couple la danse se faisant plus chaotique... On entendait entre les râles de plaisir des « arrête » à peine murmurait tandis qu'a chaque fois la danse s'acculerait puis dans un gémissement rauque les deux amant s'affaissèrent tendrement sur le lit essoufflés...
Soudain un bruit se fit entendre....
O_ Girodelle ou êtes vous? Girodelle! Jamais là quand on a besoin de lui il m'énerve!
A_ va la rejoindre allez et dis moi que tu n'as pas aimé à présent redis moi que j'ai tort... que tu l'aime elle
sans un mot Victor l'embrassa à pleine bouche.
FIN |