[ Voilà je revient avec une nouvelle fic en espérant qu'elle vous plaisent pour une fois je vais la faire se dérouler dans des contrées lointaines j'oublie la France pour faire vivre à nos héros des aventures dans des contrées orientale ^^
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Prologue :
Un jeune homme regardait la demeure s’éloigner de lui. L’obscurité la faisait disparaître, il ne reviendrait plus ici pas après ça. Non il avait osé toucher celle qui chérissait le plus alors qu’il n’en avait pas le droit. Non jamais il n’aurait due l’embrasser et encore moins de cette façon. Le jeune homme repensait à SON Oscar… Son Oscar comment osait-il l’appelé encore ainsi alors qu’il avait faillit commettre l’irréparable.
*Pardon mon amour… pardon mais après ça je ne pourrais plus te regarder en face je préfère partir même si je souffre mille mort plutôt que de rester après ce que je t’ai fait. Pardon à toi aussi grand-mère mais je n’avais pas le choix comment continuer ainsi après ce geste je me dégoûte si tu savais….*
Continuant ainsi son chemin les épaules affaissés comme si toute la misère du monde l’accablait lui, un simple roturier éperdument amoureux de la femme la plus belle mais aussi la pus inaccessible qui soit. Oui amoureux d’un ange de bonté, de pureté… Un ange merveilleux née dans la noblesse et qui à eu un dessin peu commun. Se secouant quelque peu André continua son chemin jusqu’à arriver au port le plus proche. Là il s’engagea sur un bateau en partance pour des contrées lointaines orientale encore jamais conquise disait-on. André voyait en cette éloignement de la France l’occasion unique de peut-être pouvoir apaiser ne serait-ce qu’un peu son pauvre cœur meurtrit de trop d’amour pour sa belle Rose blanche. Il ne se faisait pas d’illusion il savait que son amour pour elle était éternelle et que même des mers entre eux ne suffirais pas à éteindre le feu qui le consumait pour elle. Une fois sur le bateau il écrivit une longue lettre à sa grand-mère.
*Chère grand-mère,
Je t’écris cette lettre mais je t’en supplie ne la fait pas lire à Oscar je te le demande comme un service… Elle ne doit jamais ! je dit bien jamais savoir où je suis, mais à toi je peux bien le dire… Si je suis partit c’est pour elle. Comprend-moi je ne l’ais fait que parce que je l’aime plus que ma vie !!!! Oui je l’aime à en mourir au point d’avoir décidé de mettre des mers des Océans entre elle et moi pour ne pas la perdre. Je sais bien si tu étais près de moi tu me dirais que je ne devrais pas l’aimer que c’est impossible. Tout cela je le sais grand-mère, elle est noble et je ne suis que son serviteur… Mais vois-tu ce n’est pas pour cela que je suis partit non… Si je suis partit c’est parce que j’ai fait quelque chose que je n’aurais jamais due faire… Je l’ai embrassé moi… pauvre fou que je suis, et je l’ai anéantis moi-même… c’est impossible je le sais bien et puis elle ne me voit que comme son frère….Non ne me juge pas lâche parce que j’ai fuis grand-mère ! ce n’est pas ça mais je devais la protéger, la préserver et je risquerais de la perdre en restant à ses côtés. Je ne peux l’oublier grand-mère. Comprends moi bien, elle est si belle, si droite si douce, et à la fois si sauvage mon Oscar… Etre près d’elle est une bien douce torture… Mon cœur et mon être tout entier sont à l’agonie depuis que je suis parti depuis que je me suis volontairement éloigné de ma bien aimé, mais c’est pour elle que je l’ais fait pardonne-moi encore une fois d’être partie sans te dire au revoir grand-mère. Surtout ne t’inquiète pas pour cela je vais bien grand-mère et je pense à toi et à elle mon ange. Je t’ais envoyé cette lettre pour te faire part d’une nouvelle, je me suis engagé pour aller découvrire des contrées orientales alors surtout ne t’inquiète surtout pas je te donnerais de mes nouvelles très vite mais encore une fois ne dit rien à Oscar de cette lettre grand-mère ni ou je vais. Il ne faut pas qu’elle sache ou je suis je t’en pris si elle le savait j’ai peur qu’elle ne cherche a avoir des explications et je ne me sens pas à les lui donné j’ai si honte de ma conduite grand-mère… si tu savait. Veilles bien sur elle à ma place aussi.
Je t’aime ton petit fils André.*
Il cacheta le parchemin sur lequel il avait écrit sa lettre et la donna à un coursier avant d’embarquer sur le bateau qui mettrait les voiles le soir même. Assis sur son lit dans sa cabine, André rêvait à son oscar se demandant ce qu’elle pouvait bien faire à ce moment précis le cherchait-elle partout ? Il rit de sa bêtise il était bien évident que non elle devait lui en vouloir à mort. Il imaginait aisément une Oscar furibonde qui cherchait un dérivatif à sa rage sans devoir le voir cela ne pouvait-être que ça. Pendant ce temps à Jarjayes, la jeune femme était enfermée dans sa chambre, allongée sur son lit. Elle était perdue, et avait laisser sa main effleurer ses lèvres comme pour se rappeler du contacte chaud de celle du jeune homme.
*André… Pourquoi… Pourquoi toute ses sensations et ce vide… Que m’arrive –t-il je n’arrive pas à t’en vouloir… Mais je n’ose comprendre ce que je ressens je t’en pris aide-moi… Que m’as-tu fais pour que je sois ainsi… répond-moi !!!*
Grand-mère inquiète de ne voir ni son petit fils ni sa chère Oscar monta à l’étage pour la voir. Elle frappa à la porte.
- Ma petite Oscar tu vas bien ?
- ….
Seul le silence lui répondit Oscar ne voulait parler à personne elle se sentait si mal, si perdue que la seule chose qui lui venait à l’esprit tait la solitude.
- ...Laisse-moi grand-mère… je veux être seule s’il te plait.
- D’accord tu me diras ce qui va pas quand sa ira mieux…
La vieille femme repartit à ses fourneaux pensive, elle n’avait pas trouvé André et Oscar ne sortait pas de sa chambre. Que diable avait-il encore fait tout les deux elle se demandait si ils grandiraient un jour. Elle soupira et s’activa en cuisine pestant contre ce petit fils indigne qui laissait sa petite Oscar seule. Puis elle sortit de sa torpeur lorsqu’un autre domestique lui amena une lettre. Intriguée elle regarda et reconnu sans mal l’écriture de son petit fils. Elle alla se mettre dan un coin et décacheta la lettre pour commencer sa lecture de celle-ci. Elle la parcouru ses mains tremblant et des larmes coulant de ses joues à la fin de celle-ci. Ce qu’elle avait toujours craint lui était révélé dans ses lignes. Elle comprenait certaine chose et avait peur pour l’avenir de ses chers petits comment arriverait-il à vivre l’un sans l’autre.
A suivre… |