Coucou tous le monde !
Je suis une nouvelle venue et passionnée par Lady Oscar depuis novembre dernier ^^.
Je viens de finir une fic courte que je vais vous publier. J'en ai déjà écrire d'autres que je vous posterez plus tard ;)
Critiques et Conseils sont les bienvenues.
[ désolée pour les fautes d'orthographes ... ]
Bonne lecture !
~~Juste un rêve~~
Oscar et le peu d'hommes de sa compagnie s'étaient mis à l'abri sous les rues de Paris. La vue d'André baissait à une vitesse impressionnante. Il était quasi aveugle. Alain proposa de quitter ce lieu pour emmener André à l'abri chez Bernard Châtelet. Oscar acquesia. En sortant, un garde ennemi était posté devant leur entrée. Oscar eu le temps de sortir son pistolet et tira l'ennemi en pleine poitrine mais ce dernier tira en même temps. La balle destinée alors à Oscar se logea dans la poitrine d'André.
Il fallait faire vite. La compagnie regagna la place des Tuilleries où se trouvaient Bernard et les autres. Rien ne pouvait arrêter Oscar, pas même une centaine de mousquets. C'est comme si c'était sa vie qui était en jeu. André était sur le cheval d'Alain qui le maintenait. Une fois arrivés à destination, Bernard voyant André blessé clama aussitôt un médecin dans la foule. Hélas, la balle était trop prêt du coeur. Une opération l'achevrais. Il fut posé sur un lit de fortune. Oscar était à genou à ses côtés.
Oscar : André... tiens bon... On va te guérir...
André : Oscar... fait-il encore jour... ?
Oscar *dont les larmes ne s'arrêtaient de couler* : oui André... Il fait un temps magnifique... Tu entends les cloches sonnent en notre honneur...
André : Alors... les troupes... sont partis... le Roi... les rappellées...
Oscar : oui...
André : oh Oscar... pourquoi ces larmes alors... vais je mourir... ?
Cette phrase fut comme si on la poignardait.
Oscar : NON ! Tu ne va pas mourir !! Je t'aime tant tu peux pas mourir maintenant !! Tu verras quand tout ce cauchemars sera fini on se marieras... et on partiras vivre loin d'ici...
André *à bout* : Je ... je ne veux pas mourir... alors que tout commence... je t'aime...
Une larme coula de l'oeil d'André. Il était parti... Oscar continuait de lui parler puis quand elle le regarda, elle comprit que c'était fini. Il était plus là. Le vent se leva pour couvrir le visage d'André par le drap blanc. Oscar s'effondra à ses côtés.
Le corps d'André fut emmené dans une chapelle non loin de là, il fut recouvert de fleurs. Oscar était là, assise sur les marches devant la chapelle songeant à André. Pourquoi était-il parti ? Elle s'en voulait terriblement.
Alain vint à sa rencontre pour la couvrir. Elle lui demanda de prendre le commandement de la compagnie n'ayant plus le courage de se battre. Alain refusa estimant que c'était son devoir à elle, et qu'elle devait continuer pour la mémoire d'André.
La maladie d'Oscar prit le dessus. Elle se roula par terre toussant et crachant plus de sang. Elle se leva pour errer dans Paris. Dans une ruelle, elle fut rejoinds par son cheval. Elle monta puis galopa. Elle rêvait à tous ce qu'elle aurait pu vivre avec André. Son amour éternel. En passant sur un pont, un garde ennemi abattit son cheval.
Elle était seule. Les larmes coulèrent sur son visage. Elle se défendit puis s'enfuit. La nuit fut une des nuits la plus longue qu'elle est vécue. Le soleil se levait. Elle était allonger dans une ruelle.
Dans la rue principale, une foule en colère se ruait à la Bastille. Alors qu'elle se relevait, au bout de la ruelle, quelqu'un vint à sa rencontre.
Oscar *choquée* : ANDRE !!
A ses côtées, Grand-mère la réveillait.
Grd-mère : Oscar ! réveille toi !
Oscar *dormant* : André !! oh André !!
Puis elle se réveilla en sursaut, trempée de sueur dans son lit.
Grd-mère : calme toi Oscar ce n'est rien !
Oscar : Grand-mère ! André... André est mort ! Par ma faute !
Grd-mère : Mais non ma chèrie. André est aux écuries. Il prépare ton cheval. Descend si tu ne me crois pas.
Le jeune femme enfila un pantalon et une chemise puis dévala les escaliers pour se retrouver aux écuries. Elle vit son cheval attacher et André qui le brossait. Les yeux brillant, elle se jeta dans ses bras.
Oscar : Andréé!! Tu est bien là !! Je rêvait !!
André *surpris la serrant contre lui* : Où veut-tu que j'aille Oscar. Tu as vue dans quel état tu est ?
Oscar *pleurant dans ses bras* : oh si tu savait !! André !! je veux pas que me laisse ! Marions nous et quittons cet endroit...
André *posant sa main sur le front de la jeune femme* : Oscar ? Tu est malade ? Non tu n'est pas chaude...
Oscar *ne lâchant André* : Je ne suis pas malade ... Je t'aime André...
André : Dans ce cas nous sommes tous les deux malades... Je t'aime aussi Oscar...
Tous ceci ce fini par un baiser passionné. Oscar revoyait encore André sur ce lit de fortune agonissant et la nuit qu'elle passa à errer dans Paris seule pleine de remords. Tout ça ce n'était q'un cauchemars... |