Chapitre 1 - La Peintre
Je ne savais pas comment me présenter à lui, j’étais arriver il y a peu de temps en ville où je devais exposer mes œuvres alors je lui avais envoyer une invitation, je ne pouvais décemment pas me présenter à son bureau et lui dire de but en blanc que nous étions parents.
Ce soir là en compagnie de Marie la propriétaire de la galerie ou j’exposais et un sourire un peu crispée aux lèvres, je recevais tout le gratin de la ville qui avait reçu une invitation pour mon exposition mais, le seul qui m’intéressait n’était pas encore arriver et je commençais à me demander s’il allait venir, c’est alors que je le vis entrer suivis par une belle jeune femme aux cheveux court et un homme aux cheveux brun, Marie qui les aperçu aussitôt me tira vers eux en disant.
- Monsieur Winch c’est un honneur et un plaisir que vous ayez répondu à notre invitation, je suis Marie Laval la propriétaire de la galerie.
- Bonsoir, voici mes amis et garde du corps Simon Ovronnaz et Joy Arden.
Je ne regardais que lui et il me tendit alors la main en disant.
- Vous devez être l’artiste.
- O… oui, Elisabeth Anne Dumond.
- Enchantée mademoiselle.
- Moi aussi monsieur Winch.
Je saluais ces deux amis et son acolyte essaya aussitôt de me charmer et fit naître un sourire sur mes lèvres puis, Marie Laval m’entraîna pour accueillir d’autre personne et je le perdis un peu de vue pourtant, il était le seul que je voulais voir.
A un moment de la soirée, je le vis arrêter devant une de mes premières œuvres, une petite fille seule au milieu d’un jardin de fleur et je m’approchais pour lui dire.
- C’est une de mes premières œuvres.
- Elle est triste mais, vous avez beaucoup de talent.
- Merci monsieur Winch.
- Tout vos œuvres on cet air un peu triste, pourtant la vie d’artiste ne devrait pas l’être ?
- Je mets dans mes oeuvres mon cœur.
- Êtes vous aussi triste que vos peintures, je ne peux pas le croire vous avez l’air de bien vous débrouiller et d’être bien entourer.
- Il y a deux façons d’être entourer, je sais que c’est rapide mais, voudriez vous déjeuner avec moi demain ou après je suis en ville pour un moment. J’aimerais vous parler d’une chose importante.
- Vous avez l’air bien sérieuse mais, je ne refuse jamais l’invitation d’une jolie femme. Je passerais vous prendre demain à votre hôtel à midi ?
- Bien, j’espère que nous pourrons être amis monsieur Winch.
- Je ne refuse jamais l’amitié d’une femme belle et talentueuse, appelé moi Largo comme mes amis.
- Mes amis m’appelé Liz et nous verrons.
Il me regarda en fronçant les sourcils devant mon air si grave tout d’un coup puis, voyant ces amis revenir vers lui je le laissais seul et vis Simon le taquiner et sa garde du corps me suivre du regard suspicieuse. Je n’eu pas l’occasion de reparler à Largo et lorsque l’exposition se termina bien après minuit, je pu enfin pousser un soupir et alors que j’allais hélé un taxi deux hommes en noir m’arrêtèrent.
- Mademoiselle vous allez devoir nous suivre cette fois.
- Je ne vous suivrais jamais.
- La commission veut juste vous voir.
- Dites lui que je ne suis pas à vendre.
Ils m’attrapèrent par les bras mais, je me défendis de mon mieux pourtant alors que je ne m’y attendait pas Largo et ces deux amis surgir pour m’aider et les mettre en fuite mais, en partant ils crièrent.
- Vous nous aiderez que vous le voulez ou non.
- Plutôt mourir que d’aidez la commission !
Cria-t-elle et dès qu’ils furent repartit sur les chapeaux de roue, la jeune femme se tournait vers Largo et ces compagnons pour les remercier.
- Merci de… m’avoir aider.
- Vous aviez l’air de vous en sortir très bien toute seule pourtant.
- Ce n’est pas la première fois que ces hommes essaye de m’enlever mais, ils m’on prit par surprise.
- De qu’elle commission parlait-il ?
- La même que vous combattez depuis que votre père vous a léguer le groupe.
- Comment savez-vous cela et qui êtes vous ?
Demanda aussitôt Joy méfiante.
- Qu’avez-vous à voir avec la commission mademoiselle Dumond ?
- Nous ferions mieux d’en parler ailleurs.
Suggéra Simon et la jeune femme montait donc avec eux dans leur limousine où elle prit place face à Joy et Largo à côté de Simon avant de répondre à leur question.
- La commission Adriatique a découvert mon existence lors de ma première exposition à Paris, je ne sais pas comment ils ont su mais, le fait est là que depuis ils sont après moi.
- Votre existence ?
- Ma mère était Suzanne Dumond et mon père… Nério Winch.
Leur regard était aussi incrédule que méfiant et la jeune femme poursuivit.
- Je n’ai découvert moi-même l’identité de mon père qu’à la mort de ma mère il y a 5 ans, elle m’a fournit un acte de naissance et un médaillon que mon père lui avait laisser, je ne vous demande pas de me croire mais, je voulais seulement vous rencontrez.
- Pensez vous que nous allons vous croire aussi facilement mademoiselle Dumond.
Demanda aussitôt Joy sur la défensive d’un ton dur par lequel la jeune femme malgré son ton calme était intimidé néanmoins.
- Je ne vous le demande pas… je voulais juste connaître Largo mais, je ne vous demande rien même pas d’apprendre à qui que ce soit qui je suis. Avant de vous faire savoir cela, j’aurais aimé que nous fassions un peu connaissance et je ne pensais pas que la commission me suivrait aussi vite, pourtant j’aurais dû savoir qu’il n’était pas loin de vous.
Largo ne disait rien, il ce contentait de plonger son regard dans le mien, j’avais les yeux de notre père et mes cheveux tresser était de la même couleur que les siens, mon cœur battait d’être si proche de mon demi-frère moi qui avait cru être seul presque toute ma vie.
- Vous pouvez me déposer à mon hôtel, je ne voudrais pas plus vous déranger.
- Vous n’y serez pas à l’abri, la commission pourrait encore s’en prendre à vous.
- Merci monsieur Ovro…
- Appelé moi Simon.
- Merci Simon mais, cela fait un moment que je fais avec.
- Simon à raison, vous allez venir dans un des appartements du groupe pour ce soir et on verra demain, la nuit porte conseil.
La jeune femme eut un pâle sourire, Joy ne disait rien mais, elle était contrarier de la décision de Largo pourtant elle ne disait pas un mot et peu après, la jeune femme se retrouvais dans les appartements de Largo et regardais autour d’elle car son père qu’elle n’avait pas connu avait vécu ici, bien que peut-être Largo est apporter quelque changement, elle espérait encore que quelque chose de leur père y subsistait encore. Largo fixait la jeune femme d’un regard intrigué, était-elle vraiment ce qu’elle disait être sa demi-sœur lui qui n’avait eu aucune famille jusqu’à présent qu’un père absent, elle avait le regard de Nério et bien que timide l’air farouche d’un Winch, elle regardait un peu partout comme si elle cherchait à découvrit qui était Nério, Simon et Joy les avait laisser seul malgré la méfiance de Joy la jeune femme avait finit par partir, Largo se tourna vers Liz pour lui dire.
- Je peux vous prêter un pyjama un peu trop grand pour dormir si vous voulez ? Voulez vous prendre une douche ?
- Ce ne serait pas de refus monsieur…
- Appelé moi Largo, bien que je ne sache pas si je dois croire votre histoire vous êtes mon invité Liz.
- Merci Largo.
Après une bonne douche elle passa le haut du pyjama que Largo lui avait prêter et qui lui arrivait presque au genoux laissant le pantalon trop grand pour aller retrouver Largo qui s’était endormit dans son fauteuil et sourit tout en le recouvrant d’une couverture qu’elle prit sur le lit avant de s’asseoir sur un fauteuil près de lui pour le regarder dormir enrouler dans un plaid pour finir par s’endormir à son tour.
Largo se réveilla en entendant des cris, c’était Liz qui était agiter par un cauchemar dans un fauteuil près de lui, il la secoua et elle ouvrit les yeux désorienter, elle avait l’air si perdu qu’il lui prit la main en disant.
- Allons ce n’était qu’un mauvais rêve, vous êtes en sécurité.
- Je suis désolé… Je ne voulais pas vous... réveiller.
- Mais non, parler moi de votre cauchemar.
- Toujours le même mais, je préfère ne pas en parler.
- Alors parlons d’autre chose, où avez-vous passé votre enfance par exemple ?
Il reprit place sur le fauteuil et la jeune fille lui parlait de son enfance avec sa mère en France comment elle avait découvert son talent d’artiste, elle lui raconta aussi des anecdotes amusante qui le fit rire et il lui parla lui aussi de son enfance pour finir par s’endormir sur le fauteuil dans les bras l’un de l’autre et ce fut Simon qui les découvrit au matin. |