Auteur : Libe Hits : 2284
Lady Oscar > Le Domaine d'Alain > Parenthèse >
Cela fessait quelques mois qu’Oscar commandait les gardes françaises. Après des semaines difficiles pour elle le calme était revenu dans la caserne même si les soldats ne l’aimaient pas son rang social ils respectaient l‘ homme. Le Duc de breille qui avait apprit la véritable nature d’Oscar n’aimait pas du tout cette histoire. Il avait un plan pour faire comprendre à Oscar qu’une femme n ‘a pas sa place dans l’armé. Il la convoqua dans un lieu loin de toute habitation, elle devait prendre avec elle un seul de ses hommes, pour Oscar c’était tout trouve elle allait prendre André même si entre eux la tension
Était encore palpable, elle n’avait confiance qu’en lui. Mais le duc en décida autrement car elle devait prendre le sous officier le plus grader autrement dire Alain de Soisson. Oscar avait un mauvais pressentiment, pourquoi ce rendez-vous loin de tout seule. Ce n’était pas dans les habitudes du Duc qui aimait son confort. Mais avait elle seulement le choix? Le jour du rendez-vous arriva, ils partirent a l’aube, Alain et ses compagnons avaient décidé que le moment été venu de dire adieu au colonel.
Et les voila dans la nuit et le froid parcourrant la campagne. Pas un mot ne fut échangé. Et deux heure après leurs départ, ils arrivèrent enfin près de la clairière où ils avaient rendez-vous, la lueur d’un feu leurs fient comprendre qu’ils étaient les derniers. Plus que quelques mètres, Alain fixait le feu en pensant au bien fait qui lui procurera d’ici un instant. Enfin ils posèrent le pied a terre pour de suite tendre leurs doigts meurtris vers ce feu bienfaisant. Oscar ne voyant pas le duc Oscar prit la parole.

- Où est le Duc?
- il vont attend là bas sous sa tente.
- Bien, je vais le voir de ce pas.
Elle partie suivi d’Alain mais celui-ci fut retenu par un garde.
- Toi tu restes là.
- Ne me touche plus jamais. Dit il en repoussant la main de garde.
- Ça va aller Alain restez ici et réchauffez vous.
- Bien colonel.
Alain resta seul. Et Oscar elle aller être seule avec le Duc et quatre de ses hommes.
- Ha!!! Enfin vous voilà colonel. « Oscar s’inclina en signe de respect » Vous devez certainement vous demander les raisons de cette entrevu?
- Oui je dois vous l’avouez.
- Et bien c’est très simple, Votre nature en est la raison.
Oscar fut prise au dépourvu, elle était prête a toutes éventualité sauf a celle-ci. Elle ne pouvait pas parler tant la surprise fut de taille.
- Vous ne dite mot. Je prends ça pour un aveu.
Il fit un signe de la tête à ses hommes, deux attrapèrent Oscar par les bras et un autre la délesta de ses armes. Elle essaya bien de se dégager mais sans succès.
- Voyons Colonel, vous ne faite pas le pois. Vous voyez Oscar je ne suis pas pour qu’une femme soit dans l’armé, alors commander un régiment? Même si je dois dire que vous vous en êtes très bien sortie jusqu’à présents. Mais les gardes françaises ne sont pas aussi docile et bien élever que la garde royale. A Votre avis que se passera-t-il si vos hommes venaient à apprendre votre véritable nature.
-Ne vous en faite pas pour moi je serait me défendre. Elle était enfin sortie de son silence.
- J’en doute MA CHERE. Et vous allez très vite comprendre pourquoi.
Et sans donner plus d’explication il sorti avec deux hommes. Laissant Oscar seule avec les deux autres. L’un lâcha Oscar pour lui faire face, l’autres passa ses bras sous ceux d’Oscar puis derrière sa nuque. Elle ne pouvait plus bouger. Alain qui regardait en direction de la tente aperçu le duc partir mais pas Oscar, il se dirigea vers la tente. Il entra juste au moment ou l’homme en face d’Oscar découpa le bandage qui emprisonnait sa poitrine. Le visage d’Oscar était défait par la peur, Alain qui l’espace d’un instant était figeait sur la poitrine de son colonel puis sur son visage où il put lire la détresse et son appel a l’aide. Après l’effet de la surprise passer il frappa le premier homme si fort que celui-ci ne se releva pas. Quand au second qui avait lâché Oscar se jeta sur lui mais sans succès Alain se retourna et l’homme reçut une gifle d’une violence qu’il tomba à terre. Une fois les deux hommes neutralisés il s’approcha d’Oscar qui n’avait toujours pas bougé.
- Colonel!? Vous allez bien? Dit il tout en lui passant sa veste pour cacher sa poitrine. Il nous faut partir.
Comprenant qu’il n’rien rien d’elle, il la prit dans les bras et difficilement il arriva a la hissé sur son cheval. Mais depuis qu’Oscar était rentré dans la tente et maintenant la neige tombait à gros flocon. Impossible de rejoindre Paris dans ces conditions. Alain connaissait les environs il décida de trouver a abris dans le village le plus proche. Ils furent hébergés par une veuve. Oscar fut installe dans la chambre qu’elle partagea avec la vielle dame. Oscar se réveilla que le lendemain. La veuve lui donna une robe ce sont mes seules vêtements lui avait elle dit. Oscar la remercie. Alain lui avait expliqué la situation enfin le peu qu’il savait. Elle sortie de la chambre qu’a midi mais sans pouvoir regarder Alain dans les yeux qui lui aussi était très genêt par la situation. Une fois a table et toujours sans le regarder elle lui dit:
- Merci Alain.
- J’ai fait mon devoir.
- Mais pourquoi m’avoir sauver alors que vous me détester?
- Ce n’est pas parce que je ne vous porte pas dans mon cœur que je dois vous laisser vivre la pire des tortures pour une femme.
- Je vous doit une explication.
- Vous ne me devez rien.
-Merci.

Les jours passèrent la neige avait bloquer toutes les routes il était impossible pour nos deux amis de partir. Oscar découvrait peu à peu la vie quotidienne de ces gens à la compagne. Alain, qui ne quittait plus Oscar pris soin de prévenir toute ardeur de ceux qui auraient voulu la goûter. C’était un monde rude, surtout pour une si jolie femme et noble en plus. La veuve Jeanne qui devait avoir 15 ans de plus qu’Oscar, lui offrit son amitié. Elle lui appris à cuisiner, à coudre, mais aussi lui parla des plaisirs de l’amour. Oscar d’abord offusqué abandonna peu à peu sa pudeur extrême et appris à écouter son propre corps. Elle comprit rapidement que son corps réagissait quand elle se trouvé près d’Alain. Qui de son coté n’était pas insensible aux charme d’Oscar qu’il avait appris a connaître e tant que femme. Elle étai loin de sa vie, de son père, elle pouvait être elle-même laisser parler la femme qui est en elle.
Un jour où Oscar et Jeanne discutaient, un homme fit irruption dans la cuisine, essoufflé, le visage hagard.
- Alain est blessé, on a été prit en chasse par un loup.
Jeanne se leva suivit d’Oscar pour aller donner les premiers soins. Alain avait une côte fracturée et le bras ensanglanté.
Jeanne le déshabilla rapidement devant Oscar qui découvrit ainsi son corps bien fait.
Le torse nu de poils, les jambes fortes et minces, le sexe au repos si beau, ni trop gros, ni trop fin, parfait. Oscar interrompu dans ses pensées par Jeanne qui lui ordonna d’aller chercher de l’eau pour le laver. A l’aide d’un linge, elle lava ce corps meurtri. Alain était assoupi, la respiration saccadée, il souffrait visiblement.
La nuit tomba, Oscar veillait toujours, observant à la lumière des bougies les mouvements d’Alain. Elle regardait la lumière et l’ombre danser sur le corps si beau, si musclé. Elle ne put retenir ses doigts qui déjà courraient sur le torse du jeune homme. Elle caressa lentement sa poitrine jusqu’aux pansements, mais n’osa pas descendre plus bas. Ses carrasses avait réveillé Alain qui regardait la jeune femme les yeux pleins de tendresses. Soudain Alain lui murmura: dans ma poche il y a quelques chose qui vous appartient je crois. Oscar fouilla et y trouva sa médaille qui avait était arraché en même temps que ses chemises par les hommes du Duc. Elle sourit, s’approchant d’Alain, et vient délicatement poser ses lèvres sur les siennes et s’en alla.
Les jours passèrent Alain lentement se rétablissait. Oscar ne le quittait plus, l’aidant à marcher, faire sa toilette. Pourquoi réagissait elle ainsi? Parce qu’il lui avait évité de se faire violé? Peut être, mais il y avait autre chose, elle était attirait par Alain son corps lui avait fait comprendre. Alain loin d’être prude était intimidé par son colonel qui depuis qu’il était la avait laissé la place a une merveilleuse femme qui lui donner tant d’attention.
Un jour; alors qu’Oscar venait lui changer les pansements, voila que sans le vouloir est fixa le sexe du jeune homme. Aucun d’eux n’osaient parler, mais voyant Oscar caresser son membre des yeux, Alain ne peut empêcher son corps de réagir. Surprise par cette réaction, Oscar se pencha doucement et posa ses lèvres juste au dessus de se membre fièrement dressait. Puis elle descendit, elle ne savait pas se qu’elle fessait, elle savait tout simplement qu’elle en avait envie, elle n’avait pas peur. Alain n’avait jamais ressenti une telle vague de plaisir l’envahir depuis longtemps. Oh! bien sur il avait eu des amantes et quelles amantes. Mais jamais il avait ressenti cela avec elle. A son plaisir physique se mêlaient des sentiments amoureux qu’il avait toujours refuse par orgueil. L’amour c’est pour les hommes qui n’on sont pas. Et voila que cette femme renversait toutes ses idées reçues. Alors qu’Oscar commençait un mouvement de va et vient allant toujours plus loin, il l’arrêta et se dégageât de son emprise a regret.
- Oscar, ne le faite pas si vous en avait pas envie, je ne veux pas vous forcer.
Oscar surprise ne sut que rependre.
- Tu méritait d’être une femme heureuse, respecter et épanouis. Je ne veux pas que tu fasses des choses que te regretterais.
Pour toute réponse Oscar s’accroupit au dessus des cuisses d’Alain, le jupon relevait et d’un mouvement lent elle défit son corsage dévoilant sa poitrine. Elle saisit les mains du jeune homme et les déposta sur ses seins. Ses cuisses à l’air libre était déjà humide et venait frotter contre celles d’Alain qui comprit que cette fois ci il ne pourrait plus résister.
Malgré la douleur de sa côte, il s’écarta et allongea la jeune femme à ses cotés. De ses doigts il lui caressa lentement les cuisses puis remonta pour titiller ce bouton qui s’offrait a lui. Ne quittant pas des yeux sa bien aimée, il l’embrassa et doucement ses lèvres descendirent le long du corps de celle qui s’offrait à lui sans réserves. Oscar fermait les yeux pour mieux goûter ces sensations nouvelles, ces caresses si tendres.
Caressant chaque centimètre de sa peau si douce. Alain fini par embrasser son sexe, sa langue s’empara des pétales de sa rose avant d’atteindre ce bouton de tous les plaisirs. Ses mouvements s’accéléraient avant de ralentir et repartir de plus belle. Peu à peu la respiration d’Oscar s’accéléra; elle se mit à gémir, ne cachant plus ses émotions ni son plaisir. Ses cuisses s’écartaient toujours un peu plus pour mieux s’offrir encore. Elle n’en plus maîtresse de ses mouvements. Elle sentait ses mains si douces et fermes caresser ses hanches, sentait son souffle sur son intimité. Alain se releva regardant le corps parfait d’Oscar. La beauté de se corps nu l’avait ému dés ce fameux soir ou il avait empêcher le viole. Elle était ailleurs, plus rien n’existait, elle se livrait heureuse, n’écoutant plus que ses sens. Oscar était bien comme elle ne l’avait jamais était. Lorsqu’il commença à la pénétrer surprise elle ouvrit les yeux. Alain s’introduisait progressivement sentant une résistance naturelle, il comprit alors qu’il était le premier et que cette jeune femme si pure l’avait choisi lui. Il prit peur un instant mais le regard tendre d’Oscar si calme, si confiante le rassura bien vite. Il avançait centimètre par centimètre ne voulant pas la faire souffrir. Oscar gémissait et ses doigts crispés froissaient les draps. Sous le va et vient de son amant Oscar gémissait de plus en plus fort. Alain sentait peu à peu le corps de sa maîtresse se détendre, le conduit étroit qui enserrait son sexe lui donnait tant de plaisir. Il ne bougea plus cherchant dans le regard d’Oscar une réponse: la jeune femme ne souffrait plus elle murmura: viens. Alain déposa alors un baiser sur le front de celle-ci et commença un va et viens très lent. Il aimait cette chaleur autour de son sexe; il sentait les proies de l’intimité d’Oscar frotter contre lui. Leurs corps s’emboîtaient parfaitement, La magie opérait. Peu à peu, le jeune homme accéléra les mouvements, Oscar commença a éprouver du plaisir; le sexe si dur de son amant l’emplissait de joie. Les mouvements s’accéléraient encore, les deux amants gémissaient toujours plus fort, leurs respirations toujours plus saccadées. Ne perdant rien des réactions de sa partenaire, Alain sentait l’excitation monter… son sexe qui grossissait, les va et viens de plus en plus rapide eurent raison de lui…dans un ultime coup de rein, son corps se tendit, son visage se crispa. Il cessa tout mouvement. Oscar, le visage empourpré avait ouvert les yeux et fixé Alain qui lui souriait. Il l’embrassa à pleine bouche avant de s’étendre sur elle, le souffle coupé, le corps engourdi.
La jeune femme écrasée sous le poids de son amant senti son cœur battre. Peau contre peau, les deux amants ne fessaient plus qu’un. Alain reprit peu à peu ses esprits et lentement se retira de ce corps qui l’avait menait à la jouissance. Étendant ses cotés, il la prit dans ses bras. Oscar blottie au creux de son épaule, caressait son torse. Exténué mais heureux, le couple s’endormit.
Review Parenthèse


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